Redoute

Hello, was missing

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redoute l’homme qui jongle dans le soir

les aboiements de son ombre
qui dévalent des coteaux
sont ta mise-en-garde

les champs orangés sa propagande

redoute tout ce qui s’amuse dans l’immense
sous le complot des nuages
couvert par l’essaim des fumées

quant aux vents rouges délirent les grands rapaces

Même pas un seul com pour ce poème aux "grandes jambes" ???

Pourtant il a de la classe et les mots sont bien trouvés.

J'ai pensé , en te lisant, aux infos où l'on nous bassine bien
avec des conneries pendant que dans notre dos on, nous "nique ! ( pardon pour le mots mais y a pas
plus juste !)

J'ai vraiment apprécié ma lecture ...Merci de ta présence

Oui, redouter ce qui de mesure n'a plus que commune mesure.
Il faut voir plus haut plus loin plus vaste

Quelques mots et oui , c'est puissant.

Le Nain jaune 'héros laid’ à qui il manque une case...

Dam.

Sylvie à l'âme belle a sauvé mon poème, je sauve
sa mémoire.

s'il sied à Dam d'éclairer ses propos
intriguants, je serai

ravi.

ben pour les suites en cascades. Ton poème fait tourbillonner gravement, c’est fort.

Une vision qui éveille en moi des échos multiples.

Une vision qui éveille en moi des échos multiples.

le plus beau des

commentaires.

Le propos est clair, la poésie est belle, et le passé sans
doute brutal.

La sensation que j’en garde est un peu bancale, inquiète mais
résolue...

quelle justesse de la sensation, Papaver -

bouleversant

Il y a des soirs d'oubli, des soirs de lassitude, des soirs de médiocrité où tout parait mesquin, inutile (Philippe Soupault).

Nilo, de passage.