"vieilles cuirasses"

Tout le bonheur de l'air du soir est pour moi !
La rubrique des couleurs
 
Grandes années de fleuves nommés ou imaginaires
L’avenir en peinture rupestre
 
Je me souviens encore de lui comme de quelqu'un de bien.
Et de longues histoires en bord de mer.
L'été à rester ici peut-être ?
 
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La chaleur, le bonheur, tout cela se respire
La mécanique ardente sous le ciel
« vielles cuirasses »
Le monde entier est millénaire
 
Peu de chances à l'extrême nudité
 
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Ne crois pas que l’on nous invite à cette table. Je ne veux pas de compagnie. J’ai du mal à sourire. Je sors respirer un moment. La nuit est tiède. Et le silence factice. La nuit est encombrée d’amants. Nous somme juste à quelques heures du jour, ce vieux film américain.
Notre langage est quasi automatique
L’expérience est différée, diffusé.  
…
Je veux ne plus rentrer, je souris. « Idiot, tu passes ! »
Décade et siècle sont identique, hors de porté
En revanche je vieillis.
Je luttais avec des cochonneries, un bestiaire naïf de pratiques pornographique
(Tout bêtement sexuelles)
Vous pouvez croiser des jeunes filles à l’air désespéré dans les rues, qu’il fasse beau ou qu’il pleuve.
Sans doute n’avez  rien à leur dire.
Je comprends
…
« Mais à la fin, qu’est ce qui te fait souffrir, tes mâchoires, l’âme (avec respect), la vie ?
On en est à de petites choses.
Des mesquineries, et ça suffoque.
(Je connais bien les miroirs déformant et plus tard les images d’aujourd’hui.)

Tous ces reflets forcément déformés ; tu les évoques subtilement.

La souffrance, l'amour et tous les ressentis que l'on exploite
seront toujours différents de ceux des autres même pour une
cause similaire.

Mais on veillit tous ! ( notre seule égalité avec le monde )

Un poème sous forme d'intérrogation qui m'a plue.