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Les lotus qu’on éclate
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Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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Les lotus qu’on éclate
Loin, derrière les lotus éclatés
Comme une serrure qu’on crochète
Pour éviter la pétrification
Je maudis les morts et les vivants
Les années, lumières de minutes éparpillées
Dans la poussière des greniers
Qu’un vent de coton vient blêmir
Une robe si belle et ces sourires d’avant
Chut… la voilà !
Danseuse rouge, la maitresse insomniaque
Je dormirai dans le trou que l’on creuse
Quand viennent crever les illusions
Et je regarderai, impuissant, s’écrouler les histoires
La figure contrite et les mains incapables
De ceux qu’on fusille à bout portant
Et je dirai. « je rentre de voyage. »
Re: les lotus qu'on éclate
Et je dirai. « je rentre de voyage. »
Poème magnifique mais la dernière phrase m'intrigue : j'attendrais comme on voit venir au point du jour un ami poète rentrer d'un long voyage, tel Ulysse qui rentre enfin au bercail...
Poème magnifique mais la dernière phrase m'intrigue : j'attendrais comme on voit venir au point du jour un ami poète rentrer d'un long voyage, tel Ulysse qui rentre enfin au bercail...
Re: Les lotus qu’on éclate
Certains voyages peuvent entraîner d'autres voyages ... où...
"D'autres voyages"
comme un sans crédit
Le cerveau quand il vieillit
Ne nous plonge plus dans abstrait.
Je n'ai plus le [Temps]
de le perdre [.]
" C'est temps" disait le trompettiste
avant de porter son instrument
à ses lèvres suceuses/
" Sept ans que je jazze ma vie "
hurlait la voix roque .
" Je suis la plaine des corps
aux herbes sans méfiance
libérant les neurones qui se taisent
Révoltées, insoumises
se fixant en fumée goulûment avalée."
Quant aux je t'aime cachés
Il les sème aux quatre vents des prés
Son souffle affamé réveillant les dispersées.
qu'il avait aux quatre vents, je t'aime, quand(t)
Le cerveau a vielli
C'est sans crédit.
Un soir de pleine lune
Hé oui
"D'autres voyages"
comme un sans crédit
Le cerveau quand il vieillit
Ne nous plonge plus dans abstrait.
Je n'ai plus le [Temps]
de le perdre [.]
" C'est temps" disait le trompettiste
avant de porter son instrument
à ses lèvres suceuses/
" Sept ans que je jazze ma vie "
hurlait la voix roque .
" Je suis la plaine des corps
aux herbes sans méfiance
libérant les neurones qui se taisent
Révoltées, insoumises
se fixant en fumée goulûment avalée."
Quant aux je t'aime cachés
Il les sème aux quatre vents des prés
Son souffle affamé réveillant les dispersées.
qu'il avait aux quatre vents, je t'aime, quand(t)
Le cerveau a vielli
C'est sans crédit.
Un soir de pleine lune
Hé oui
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