éthéré

S’évaporent,
des journées,
en sourdine.

Quand la mer se retire,
laissant l’étal sans âmes,
et l’espoir oublié.

Le chant alors,
devient cri,
anonyme.

Mais perdurent les sons,
d’un écho racoleur,
cherchant encore la mort.

Puis l’écume,
le ressac,
s’évapore.

Ecume, ressac, chagrins et mise à sac...
Je te préviens, ici, peu de commentateurs- ou alors claniques.
C'est comme ça.

j'ai l'habitude
merci a toi

Il est toujours difficile de constater et de s'arrêter
si je puis dire, sur les éléments qui montrent
que le temps s'écoule ( et nous avec !! )

Comme il est dit dans ton poème ...

Beaucoup de choses se font dans le silence et l' habitude!

Dommage car l' habitude fait oublier les choses

Dommage car l' habitude fait oublier les choses

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c'est vrai l'habitude tue a petit feu
merci a vous

Une excellente découverte ! Une écriture serrée, compacte, universelle qui se libère des convenances académiques et des ritournelles champêtres. On se rapproche à la lecture de ce poème d'un instinct de mort soigné presque hygiénique.

Bienvenue, nouga, sur ce forum littéraire et artistique.

A bientôt

léo

merci de votre accueil

Merci de tes belles contributions !

Comme quoi il aurait du se taire..

Mais Oui, un arrêt sur celui ci ...pour les appels aux sens.

J'aime..

merci