Sur Terre

1.

Sur Terre
.
le jour enfante la nuit
la nuit s'éclipse devant l'aube
Rose_ levant
Vermeil_ couchant
.
Yin yang
.
un équilibre soumis à la justice des saisons
une lumière accordée à la faveur des latitudes
et l'homme cherche - entre sommeil et passion
.
sa hauteur

2.

Omniprésence bleue
le jaune solaire pose
un reflet embryonnaire
- son souffle vert au parfum de terre -
telle une spirale de vie _ se déploie harmonieux
.
Végétal et humain naissent du même accord
et forment une fraternité écologique.
L'arbre se reconnaît dans l'âme silencieuse.

3.

Les arbres martelés
qu'une couleur chaude stigmatise
attendent - fiers - leurs bourreaux
droits parmi leurs frères
.
Les hommes affaiblis par la vie
reçoivent les regards de mépris
comme une sentence de mort - seuls
ils avancent marqués par les leurs
.
Le safran d'un geste respectueux endigue la haine
.
.
.

Là n'en vlà d'la réponse claire qui fait avancer l'débat.
Bravo.

Heureuse si ce poème est parvenu à vous toucher, chello.

Zenobi, je croyais avoir été claire, j'ai bien compris que vous n'aimez pas mon écriture, je ne peux pourtant pas m'arrêter sur votre jugement. Je vous avais dispensé de critiquer mes poèmes mais vous n'en tenez pas compte. Non que vos critiques me déstabilisent, elles sont tout simplement inutiles. Quand j'ai une notification et qu'elle vient de vous, je perds mon temps à venir la lire, et vous perdez également votre temps à l'écrire. Alors de grâce, épargnons-nous cela !
Ce qui m'amuse beaucoup, par contre, est que je me suis retenue de vous adresser les critiques que vous  formulez à l'égard de mes écrits, car ces critiques collent parfaitement aux vôtres. Lisez-vous et relisez votre critique vous le constaterez par vous-même. 
Me lire vous insupporte. Je ne parviens pas à vous lire également. Nous sommes quittes.
Au-delà de nos divergences en poésie, nous représentons, face à la vie, deux attitudes aux antipodes l'une de l'autre.

Je comprends que je dois encore, un certain temps, m'abstenir de publier sur Macadam, puisque vous vous obstinez à me commenter. Je le regrette et vous pouvez jubiler.

Je vous trouve profondément incorrect.

Vos choix sont vôtres, et il serait lâche et malhonnête de me les faire supporter.
Je ne vous agresse pas, je critique vos textes- qui souvent, je l'avoue, me font rire tant je les prends comme un patchwork de clichés, d'images convenues cherchant le pouétique.
Je le dis.
J'ai déjà détaillé ma critique.
Cela vous agace ?
Tant pis.
Vive l'expression libre- et merde aux censeurs et aux chantres de la pensée unique !

"Vos choix sont vôtres, et il serait lâche et malhonnête de me les faire supporter."

Vos propos sont révélateurs. Pensez-vous être le maître des lieux ici. Certes, vous pouvez faire fuir beaucoup de personnes et quand vous serez seul serez-vous enfin heureux ? Vous irez sévir ailleurs avec votre mépris de la poésie contemporaine qui ne vous honore pas.

J'ai toujours aimé
ta poésie variée 
qui m'emporte dans de nombreux voyages
TES voyages mais qui ne sont que les miens. 

MOI !

Oui, et c'est bien pour cela que je viens partager de temps en temps, et vous lire.
Chaque écriture ouvre sur un univers, et chaque lecteur est libre de le teinter des couleurs de sa propre sensibilité.

Ou, écœuré par la fausse monnaie, chaque lecteur peut, aussi, la dénoncer.
Poliment, bien sûr.
Entre deux fous rires.

zenobi a écrit:Ou, écœuré par la fausse monnaie, chaque lecteur peut, aussi, la dénoncer.
Poliment, bien sûr.
Entre deux fous rires.

"écoeuré" tel par la fausse monnaie , là où y'a rien à vendre ou à voler, me  semble un mot un peu fort, surtout  pour un texte; et poétique de surcroît , qui ne vise personne,  sauf de réveiller un sentiement, une idée, une façon de retranscrire une vision personnelle des éléments ou des situations qui habitent l'auteur. Alors que, pour un grand nombre de lecteurs , nul besoin de de souligner le conditionnel des "fouS rireS" pour demeurer courtois....

Oui, comprendre la référence à Diogène, c'était un peu difficile.
D'où, j'imagine, cette réponse stupide.

zenobi a écrit:Oui, comprendre la référence à Diogène, c'était un peu difficile.
D'où, j'imagine, cette réponse stupide.

Comme d'hab  on se retrouve  hors contexte. On dira qu'un empire contre-attaque, tant le la phrase sous le texte sous couvert de l’Encyclopédie d'un  pseudo Général pierre Cambronne

Un troll, oui, voire: un programme de logorrhée automatique ?
Mais Carmen P. a su trouver le chemin de son son cœur.

zenobi a écrit:Un troll, oui, voire: un programme de logorrhée automatique ?
Mais Carmen P. a su trouver le chemin de son son cœur.

là je n'ai rien entravé de  cette lumière noire d'empreinte à je n'sais qui ou quoi ! Es-tu bouvard ou pécuchet ? copiste toi même ! Et là tu piges ?

L'incident est clos et ne se reproduira plus sur l'un de mes posts.

Je ne dirai rien de plus.