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(chanson)
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Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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(chanson)
Poète..sale type ! (chanson)
T'as les mots qui racolent une gueul' d'inventaire
Tout en haut sous ton front dans tes yeux d'acajous
Qu'on dirait qu't'as fouillé dans l'tiroir à colères
Qu'on dirait qu't'es tombé d'un nuage à genoux
C'est la rim’ qui t'efface en tes nuits de lumières
Sous la lampe à déprime où t'arrives contre jour
Qu'on dirait qu't'as vendu des visages de misère
Pour du vent qu'on imprime au papier de velours
Avec plein ton chapeau, avec plein ta vitrine.
Plein ton rêve insensé, dans un coin d‘autres cœurs.
Quand ta voix pour casser met la rime assassine.
Face à tant d'éventails, face aux pleurs pour des leurres.
Dans tes planques halogènes au plancher trop chauffant.
Quand tes mains te retiennent au clavier trop grinçant.
A fouiller dans sa lettre une humeur dans ta veine.
À nous tendre des miettes à nous tendre du vent.
Dans ta langu' sans faux-pas découpée de rancunes.
Dissipant des senteurs des couleurs du plein ciel.
L'aube grise des pleurs ou tes yeux se consument.
Des visions camouflées sous un fond d'aquarelle.
T'es du bluff pardonné du brillant dans ton ventre.
Pour tes yeux parsemés de pépites aux éclats.
Pour ton bec azuré des ivresses des encres.
Pour ta min' crève-cœur à la tête des rois.
T'as l'cheveu Rock n'roll et la danse de derviche.
T'as du rêv' maquillé des faux airs du printemps.
T'es du poil à gratter à bouffer du caniche.
À toujours rechercher dans la Rose-des-vents.
C'est la clope que t'oublies enfumé de prières.
C'est l'amour qu'a jauni des absences et de toi.
Une trace dans tes lign's qu'ont fait l'tour de la terre.
Poursuivant ton nuag’ demeuré sous un toit.
T'es la mer bavard’ quand les mauves transpirent.
T’es qu'un cri qu'on effleure au matin rouge sang.
Des goélands au ressac où des gueules chavirent.
Où tu chantes les heurts au plus clair de tes dents.
À saper du kaki dans tes vertes rengaines.
À défendre ta plume…
Il faut bien que tu vives…
À la Une à la haine au drapeau pour les cons.
Brancardier dans tes vein's comme coule l'eau vive.
Aux syllabes noyées et la mort en sourdine.
Aux satires de l'ode à tes sables mourants.
Aux paroles qu'on ose à cell's qu'on assassine.
T'as la gueul' du hasard à croquer du carcan.
T'es pas toi, tu t'consoles.
T'es tout l'monde et pourtant.
On dirait qu't'es poète, t'es du rêve qui fout l'camp.
« Poète… sale type » Est une expression de Léo Ferré dans « Poètes, vos papiers ! »
T'as les mots qui racolent une gueul' d'inventaire
Tout en haut sous ton front dans tes yeux d'acajous
Qu'on dirait qu't'as fouillé dans l'tiroir à colères
Qu'on dirait qu't'es tombé d'un nuage à genoux
C'est la rim’ qui t'efface en tes nuits de lumières
Sous la lampe à déprime où t'arrives contre jour
Qu'on dirait qu't'as vendu des visages de misère
Pour du vent qu'on imprime au papier de velours
Avec plein ton chapeau, avec plein ta vitrine.
Plein ton rêve insensé, dans un coin d‘autres cœurs.
Quand ta voix pour casser met la rime assassine.
Face à tant d'éventails, face aux pleurs pour des leurres.
Dans tes planques halogènes au plancher trop chauffant.
Quand tes mains te retiennent au clavier trop grinçant.
A fouiller dans sa lettre une humeur dans ta veine.
À nous tendre des miettes à nous tendre du vent.
Dans ta langu' sans faux-pas découpée de rancunes.
Dissipant des senteurs des couleurs du plein ciel.
L'aube grise des pleurs ou tes yeux se consument.
Des visions camouflées sous un fond d'aquarelle.
T'es du bluff pardonné du brillant dans ton ventre.
Pour tes yeux parsemés de pépites aux éclats.
Pour ton bec azuré des ivresses des encres.
Pour ta min' crève-cœur à la tête des rois.
T'as l'cheveu Rock n'roll et la danse de derviche.
T'as du rêv' maquillé des faux airs du printemps.
T'es du poil à gratter à bouffer du caniche.
À toujours rechercher dans la Rose-des-vents.
C'est la clope que t'oublies enfumé de prières.
C'est l'amour qu'a jauni des absences et de toi.
Une trace dans tes lign's qu'ont fait l'tour de la terre.
Poursuivant ton nuag’ demeuré sous un toit.
T'es la mer bavard’ quand les mauves transpirent.
T’es qu'un cri qu'on effleure au matin rouge sang.
Des goélands au ressac où des gueules chavirent.
Où tu chantes les heurts au plus clair de tes dents.
À saper du kaki dans tes vertes rengaines.
À défendre ta plume…
Il faut bien que tu vives…
À la Une à la haine au drapeau pour les cons.
Brancardier dans tes vein's comme coule l'eau vive.
Aux syllabes noyées et la mort en sourdine.
Aux satires de l'ode à tes sables mourants.
Aux paroles qu'on ose à cell's qu'on assassine.
T'as la gueul' du hasard à croquer du carcan.
T'es pas toi, tu t'consoles.
T'es tout l'monde et pourtant.
On dirait qu't'es poète, t'es du rêve qui fout l'camp.
« Poète… sale type » Est une expression de Léo Ferré dans « Poètes, vos papiers ! »
Re: (chanson)
maintenant qu'on a le texte reste la musique et la vidéo
bravo, pour le hit de cet été
bravo, pour le hit de cet été
nouga- MacadAccro
- Messages : 617
Date d'inscription : 13/01/2015
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