слово

Rien. La licence poétique est valable, comme l'étourderie. Khlebnikov : "Une coquille est parfois un artiste remarquable".

Mais si se demander à quel sujet se rapporte un verbe dans une phrase c'est du chipotage...
Si pointer les faiblesses d'un texte n'est pas élever le débat...
M'ouais... J'ai des doutes et vous comprendrez.

Quelle agressivité Comateen !!...Où ai-je dit que tu disais du mal de l'auteur?...j'ai juste parlé de ce que tu avais envoyé à dedzaz ( d'où ma citation) et vu que je désirais avoir aussi une réponse..j'en ai fait la demande ! rien d'autre.

Sur ce, je n'y reviendrais pas !

Sylvie

Apparté pour Les filles: vous vous êtes mal comprises...

et pour le reste, la coquille est notée la je pense..et Z, elle fait battre des records à ton texte, comme quoi !!!!!!!! ^^

Impossible de rester indifférent devant la qualité de ce texte, comme un uppercut qui te cueille au menton. S'il y est question de mots, de maux, il serait judicieux d'éviter de se poser mille questions, sauf si celles-ci débouchent sur un tel résultat, alors trace ta route, elle est lumineuse "petit ! " ( j'emploie ce vocable avec affection ). Ton soleil juvénil réchauffe et c'est là l'essentiel, laisse les imbus entrelacer leurs licous, tu ne saurais vivre à l'attache, embouche les trompetttes de ta renommée et s'il est question de musique dans ce texte et si par bonheur Euterpe t'inspire autant que la muse de la poésie, nul doute que la vie s'étalant devant toi, bien des oreilles attentives devraient se dresser.
Impressionnant !
Je ne suis pas étonné du nombre de curieux qui comme moi ont lu ce "petit" joyau, simplement le suis-je du nombre ayant laissé un signe d'intérêt patent, pas tant que ça en fait.
Cordialement admiratif,

Ah ouais, au fait :

Je ne me réfère jamais à Hugo. Je l'admire, comme beaucoup de monde, mais je ne comprend pas que l'association "alexandrins-Hugo" soit si prompte à se faire dans "certains" esprits. Il me semble qu'Hugo n'est pas le seul à avoir écrit des alexandrins.

Si tu vois pas en quoi ta chiée monotone d'alexandrins en solde a été ramassée dans une décharge hugolienne, ça veut dire que tu risques de faire, maladroitement qui plus est, du "à la manière de" pendant très longtemps.
Ça peut être en but en soi, mais j'aime les défis hasardeux et je vais parier que t'auras un style intéressant le jour où tu auras digéré ton modèle au lieu de nous faire tes petits rots terribles, légendaires et contemplatifs.

( Si j'atteins pas le demi-mètre après ça, je commande un mètre de demis.)

J'avais déjà lu ça quelque part. Donc tu radotes. J'avais déjà dit ce que je pensais de ton point de vue sur ce forum.

Swann, trois centimètres

Ah Léon, Léon, Léon roi de Bayonne...roi qui rayonne...
Ah Léon Léon Léon j'crois qu'y mal-donne quand on graillonne
Ah Léon, Léon, Léon dans le Cambrone et la diarhée.
La jalousie n'est-elle pas le pire des sentiments ?

Je m'en mêle parce que je pense que ça ne mènera nulle part d'en rajouter.
Le mieux serait de se détendre, tout a été dit je pense, le meilleur comme le pire.
Ce qui pourrait être ajouté dorénavant ne serait finalement qu'huile sur le feu.

Nilo, machicoulis.

Il ne parait évidemment pas sain de laisser se propager des opinions nauséabondes sur un site dédié à l'écriture non au tir au pigeon, simplement...les opinions de cet acabit ont-elles une légitimité avérée ?

Ira furor brevis est.
Faudra-t-il que je me répète ?

Nilo, qui habet aures audiendi, audiat.

Merci de ton soutien, Garonne.

Z.

Vous savez quoi ?

Lalou a écrit:Vous savez quoi ?

Je crois que oui.
Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue (Albert Einstein).

Nilo, moi non plus.

Mais il existe aussi de si belles choses !
Merci le mur à Dédé !!

Merci Z!

Oulà ! Je ne me rappelais pas que ce texte avait aussi mal tourné

Merci pour l'up Lalou.

Z.

"L’amour du mot m’appelle et m’agite sans fin..."


Qu'il ne cesse de t'appeler et de t'agiter !

H.

J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Deuxième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant sans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...

Dédé.

Encore un très beau poème de ta main. Cela fait maintenant quelques-uns de tes textes que j'ai lu et il y a vraiment de la matière tant sur le fond que sur la forme.
C'est pour cela que très humblement je fais une suggestion : Si tu essayais d'abandonner le confort rassurant de l'alexandrin et des rimes classiques pour te laisser plus encore guider par les mots, les sonorités et les rythmes.
L'exercice est difficile (je crois que tout exercice d'une liberté nouvelle est une épreuve) mais il en vaut la peine...