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Autobiographie en château If hexagonal
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Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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Autobiographie en château If hexagonal
Autobiographie en Bastille If Goulag hexagonaux
Moi, j'étais boursier du gouvernement français,
Un jeune homme comme Edmond Dantes,
Dans ce pays plein de pede.gés et des collaborateurs volontiers,
Par amertume j'ai "marié" la précarité (presque même avec une certaine amitié),
Pire est la misère de l'amitié à la française "raffinée",
Malheureusement la tuberculose finalement m'a touché,
Je me retrouve alors à l'Hôpital du Parc de Taverny en Val d'Oise, mais...
Qu'est-ce qu'ils m'ont fait!,
D'abord la médisance mélangée avec envie des infirmières vieillissantes et obsédées,
Je ne fais pas partie de votre harem, Madame, vous savez,
Même que je n'étais qu'un pauvre étranger,
Je ne vous paie pas par ma dignité en Christ Rachetée,
Le personnel Lepenisé, lumpenisé eux-mêmes, sans la paix,
La pneumologie, pourtant sur leur coeur le "Mein Kampf" est imprimé, cela se sait,
Après les trois mois de convalescence passés c'était encore pas assez,
Sur mon chemin est un jeune prêtre polonais,
Qui en parlant en contraste avec de bienveillance, finalement essaie de m'attoucher,
Lui qui travaillait tout le temps avec des petits enfants à la crèche juste à coté,
Le caractère de ses mouvement même envers moi le trahissait:
Un intérêt, l'aproche particulier vers des enfants malcomprenants,
Cela se sent, vous comprenez,
Je l'ai soupçonné et j'essayais d'en parler aux gens,
La paroisse de Taverny, encore Sodome réincarné,
Une vieille nonne s'est rapidement activée,
On dirait c'est une mère des aliens,
Celle qui visite des malades sans sincérité,
Et vote toujours pour maréchal Petin,
Elle court se plaindre aux médecins à l'Hôpital du Parc, toute acharnée,
Disant comme quoi c'est moi, et pas lui évidemment, qui l'a scandalisé, choqué
Par mon comportement indigné,
Néanmoins comme le comportement de Suzanne biblique de ma part, je dirais,
Mais les méchants au Parc par là ont réalisé
Que je ne suis qu'une brebis sans un troupeau aucun à coté en mes journées françaises,
Mon médecin traitant, une certaine Anny, me dit alors avec un grand dedans, en recevant le droit de me juger,
Que je dois partir tout de suite en hiver sans abri, même me sentant encore pas bien, toute ma souffrance méprisée,
Une grande bouche ouverte béante pour avaler,
Et quand j'ai dit que c'est méchant (avant on s'est bien accordé ensemble différemment) elle s'est sournoisement emportée,
Elle part précipitée pour me prescrire un neuroleptique et une consultation d'un psy, sans cause enragée,
Actrice s'est armée des mécanismes administratives comme d'un scalpel de guillotine en main de sa mauvaise volonté,
Probablement la récidive de collaborationnisme dans l'air s'est propagée,
L'épidemie à la française, pire que la phtisie, dont on crève pour l'éternité,
La psy arrive après et se présente comme une infirmière de cardiologie et une pratiquante catholique, c'est pas vrai,
Et comme je ne me laisse pas faire par ses duperies - elle est complètement fâchée sans se cacher,
Elle dit finalement exactement cela:"mais vous savez: mon chef Satan chez vous m'a envoyé!" -
C'est pour à tout prix me déstabiliser -
Et elle clignote à l'infirmière surveillante de pneumologie qui se retrouve en ce moment à son coté,
Comme quoi c'est marrant pour les deux bonnes femmes la comédie pour sbires crachant, complètement affolées,
Après elle est partie toute mécontente,
Elle dit que je dois être "dangereusement intelligent" si je ne me suis pas fait,
Et moi je vais chez le pneumologue de service en cette journée, un certain Vincent,
Pour dire que le neuroleptique m'humiliant je dois cessé (presque sans commencer),
Lui, bien malveillant même à mon arrivée avant, me répond que dans ce cas il part téléphoner
Pour m'envoyer en psychiatrie (est-ce que je devais céder à prix de ma santé?!),
Alors je m'évade sans attendre qu'on m'y jette en état terrorisé,
Je reste en rupture de traitement nécessaire un certain temps, le vital danger,
Même sans abri encore malade, j'ai la pleurésie avec épanchement, un prisonnier d'après la guerre froide cruellement torturé,
En France sans famille comme un orphelin sur le glacial plancher, une personne injustement accusée,
La peur de me readresser dans le système médical français sans argent comme une chaîne me cernait,
Fascistes en droit de me corriger pour mon orthodoxe chrétienne mentalité en pleine sincérité,
Sodome, les 120 journées,
Le film où ils ont handicapé
Ceux des orphelins qui ne se sont pas soumis à leur perversité,
À vie, vous vous félicitez, le peuple français, de bizutage mortel d'un boursier, la francophone et hospitalière hospitalité,
La rupture de traitement a fait la tuberculose de nonrésistante la résistante, la résistance trafiquée
Par collaborateurs malignisés,
La maladie comme bête sur l'arène ancienne de Collysée
Qu'ils ont artificiellement dopé,
Le cirque des galants français,
Et quand en retrouvant le reste de mes forces je retourne en Russie mortellement blessé
Probablement par ma tuberculose mon père s'est contaminé,
Après il est mort par ce fait,
Et les méchants maniaques même maintenant essayeraient de me malinterpreter,
Ce qu'ils ont fait déjà quand de Moscou je les ai appelé,
Même on dirait qu'ils se glorifient comme des "dog's hunters" volontiers et des superpoliciers,
Des chasseurs aux têtes des indiens, les skinheads officialisés et surcivilisés
Par son passeport français
Qui dans ce cas même sans visa ouvre les frontières de l'enfer pour mafia en mal consolidée.
Par Dimitri Khokhlov
Dédicace à Anny DARDOUR qui travaille maintenant comme pneumologue à l'Hôpital d'Aincourt (groupe hospitalière de Vexin) avec les meilleurs recommandations de l'Hôpital du Parc de Taverny je suppose, POUJOL Vincent qui était avant un simple pneumologue et maintenant est même devenu le chef de service de pneumologie en Hôpital du Parc de Taverny en Val d'Oise et encore directeur adjoint (il travaille aussi dans l'Hôpital privé de PARLY II Chesnay, Yvelines), et aussi le silencieux ancien chef de service pneumologie VETTERL François qui est devenu après même le directeur adjoint de l'Hôpital du Parc de Taverny en Val d'Oise.
Une autre histoire meurtrière là-bas une année plus tard
http://www.leparisien.fr/val-d-oise/l-hopital-du-parc-de-taverny-change-de-direction-22-05-2001-2002183364.php
Moi, j'étais boursier du gouvernement français,
Un jeune homme comme Edmond Dantes,
Dans ce pays plein de pede.gés et des collaborateurs volontiers,
Par amertume j'ai "marié" la précarité (presque même avec une certaine amitié),
Pire est la misère de l'amitié à la française "raffinée",
Malheureusement la tuberculose finalement m'a touché,
Je me retrouve alors à l'Hôpital du Parc de Taverny en Val d'Oise, mais...
Qu'est-ce qu'ils m'ont fait!,
D'abord la médisance mélangée avec envie des infirmières vieillissantes et obsédées,
Je ne fais pas partie de votre harem, Madame, vous savez,
Même que je n'étais qu'un pauvre étranger,
Je ne vous paie pas par ma dignité en Christ Rachetée,
Le personnel Lepenisé, lumpenisé eux-mêmes, sans la paix,
La pneumologie, pourtant sur leur coeur le "Mein Kampf" est imprimé, cela se sait,
Après les trois mois de convalescence passés c'était encore pas assez,
Sur mon chemin est un jeune prêtre polonais,
Qui en parlant en contraste avec de bienveillance, finalement essaie de m'attoucher,
Lui qui travaillait tout le temps avec des petits enfants à la crèche juste à coté,
Le caractère de ses mouvement même envers moi le trahissait:
Un intérêt, l'aproche particulier vers des enfants malcomprenants,
Cela se sent, vous comprenez,
Je l'ai soupçonné et j'essayais d'en parler aux gens,
La paroisse de Taverny, encore Sodome réincarné,
Une vieille nonne s'est rapidement activée,
On dirait c'est une mère des aliens,
Celle qui visite des malades sans sincérité,
Et vote toujours pour maréchal Petin,
Elle court se plaindre aux médecins à l'Hôpital du Parc, toute acharnée,
Disant comme quoi c'est moi, et pas lui évidemment, qui l'a scandalisé, choqué
Par mon comportement indigné,
Néanmoins comme le comportement de Suzanne biblique de ma part, je dirais,
Mais les méchants au Parc par là ont réalisé
Que je ne suis qu'une brebis sans un troupeau aucun à coté en mes journées françaises,
Mon médecin traitant, une certaine Anny, me dit alors avec un grand dedans, en recevant le droit de me juger,
Que je dois partir tout de suite en hiver sans abri, même me sentant encore pas bien, toute ma souffrance méprisée,
Une grande bouche ouverte béante pour avaler,
Et quand j'ai dit que c'est méchant (avant on s'est bien accordé ensemble différemment) elle s'est sournoisement emportée,
Elle part précipitée pour me prescrire un neuroleptique et une consultation d'un psy, sans cause enragée,
Actrice s'est armée des mécanismes administratives comme d'un scalpel de guillotine en main de sa mauvaise volonté,
Probablement la récidive de collaborationnisme dans l'air s'est propagée,
L'épidemie à la française, pire que la phtisie, dont on crève pour l'éternité,
La psy arrive après et se présente comme une infirmière de cardiologie et une pratiquante catholique, c'est pas vrai,
Et comme je ne me laisse pas faire par ses duperies - elle est complètement fâchée sans se cacher,
Elle dit finalement exactement cela:"mais vous savez: mon chef Satan chez vous m'a envoyé!" -
C'est pour à tout prix me déstabiliser -
Et elle clignote à l'infirmière surveillante de pneumologie qui se retrouve en ce moment à son coté,
Comme quoi c'est marrant pour les deux bonnes femmes la comédie pour sbires crachant, complètement affolées,
Après elle est partie toute mécontente,
Elle dit que je dois être "dangereusement intelligent" si je ne me suis pas fait,
Et moi je vais chez le pneumologue de service en cette journée, un certain Vincent,
Pour dire que le neuroleptique m'humiliant je dois cessé (presque sans commencer),
Lui, bien malveillant même à mon arrivée avant, me répond que dans ce cas il part téléphoner
Pour m'envoyer en psychiatrie (est-ce que je devais céder à prix de ma santé?!),
Alors je m'évade sans attendre qu'on m'y jette en état terrorisé,
Je reste en rupture de traitement nécessaire un certain temps, le vital danger,
Même sans abri encore malade, j'ai la pleurésie avec épanchement, un prisonnier d'après la guerre froide cruellement torturé,
En France sans famille comme un orphelin sur le glacial plancher, une personne injustement accusée,
La peur de me readresser dans le système médical français sans argent comme une chaîne me cernait,
Fascistes en droit de me corriger pour mon orthodoxe chrétienne mentalité en pleine sincérité,
Sodome, les 120 journées,
Le film où ils ont handicapé
Ceux des orphelins qui ne se sont pas soumis à leur perversité,
À vie, vous vous félicitez, le peuple français, de bizutage mortel d'un boursier, la francophone et hospitalière hospitalité,
La rupture de traitement a fait la tuberculose de nonrésistante la résistante, la résistance trafiquée
Par collaborateurs malignisés,
La maladie comme bête sur l'arène ancienne de Collysée
Qu'ils ont artificiellement dopé,
Le cirque des galants français,
Et quand en retrouvant le reste de mes forces je retourne en Russie mortellement blessé
Probablement par ma tuberculose mon père s'est contaminé,
Après il est mort par ce fait,
Et les méchants maniaques même maintenant essayeraient de me malinterpreter,
Ce qu'ils ont fait déjà quand de Moscou je les ai appelé,
Même on dirait qu'ils se glorifient comme des "dog's hunters" volontiers et des superpoliciers,
Des chasseurs aux têtes des indiens, les skinheads officialisés et surcivilisés
Par son passeport français
Qui dans ce cas même sans visa ouvre les frontières de l'enfer pour mafia en mal consolidée.
Par Dimitri Khokhlov
Dédicace à Anny DARDOUR qui travaille maintenant comme pneumologue à l'Hôpital d'Aincourt (groupe hospitalière de Vexin) avec les meilleurs recommandations de l'Hôpital du Parc de Taverny je suppose, POUJOL Vincent qui était avant un simple pneumologue et maintenant est même devenu le chef de service de pneumologie en Hôpital du Parc de Taverny en Val d'Oise et encore directeur adjoint (il travaille aussi dans l'Hôpital privé de PARLY II Chesnay, Yvelines), et aussi le silencieux ancien chef de service pneumologie VETTERL François qui est devenu après même le directeur adjoint de l'Hôpital du Parc de Taverny en Val d'Oise.
Une autre histoire meurtrière là-bas une année plus tard
http://www.leparisien.fr/val-d-oise/l-hopital-du-parc-de-taverny-change-de-direction-22-05-2001-2002183364.php
Dimitryet- MacadMalade
- Messages : 212
Date d'inscription : 09/09/2015
Re: Autobiographie en château If hexagonal
Io Kanaan a écrit:Une chronique intéressante.
Ce que je me dis aussi en ce moment (11.15)
Dimitryet- MacadMalade
- Messages : 212
Date d'inscription : 09/09/2015
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