révélation public sur fond de pudeur

ça y est j'y repenses
je ne devrais pas,je le sais
me laisser ainsi dévaster
je prépares avec soin et minutie
mon suicide social

trempage à l'encre indélébile
et essorage à la main de mon image
mais cette déclaration inachevée
me donne un gout de reviens y
reviens y dans ton passé
pour en effacer les souillures
ça y est,j'en ai encore trop dis
écorchée,abimée l'image

la pudeur,elle,n'a pas bronché
elle ne s'est pas levé
elle n'a peut être pas osé
mais bordel réveille toi
fait quelque chose
on t'as mis en moi pour m’arrêter
me protéger de l'amertume et la culpabilité

mais j'ai une pudeur fainéante
et l'air un peut condescendant

le public n'est pas conquit?
n'en aurais je pas assez dis?

mon suicide social

explication de social dans ce contexte

c vrai que ce mot était peut être en trop,merci pour le contexte.la connerie est universelle ami de la poésie bonjour

quelque chose ici est entrain de germer...j'attends la récolte prochaine.

Dommage que tant de fautes émaillent ce fond de pudeur, au risque de le rayer.

Nilo, détartrant, pour ne pas dire décapant.

la faute était promise,je ne sais pas faire sans.la rayure est de mise sur le plateau du vivant.le décapage implique une bonne dose de non sens.je me suis fait un plaisir de vous lire