Laid-tu es

Vous...La démarche du mouton..La haine a fait tout...Vous..Et voilà que vous riras-tu?
enseveli et concluant tu vas..rabotant les reliefs tu vas..encore? hier à te saouler à
si sage, la tête basse lasse..vers ce chapitre et sourire..t'écorner d' être pauvre le
en pas cadencés inhumant les..plaindre ta poésie pour que..pauvre cocu fauché à profit
recueils des ires et rituels..les chiens n'aient pas leur..pillé de sa signature et de..
Vous...tu vas où quand tu as..place dans ton passé...vous..pensées sans même le...vous
la chair si chère et pauvre,..tu enterres tes pensées tes..ta chair si chère en toit à
ta tête orientée droite vive..idées et ta plume effrontée..larmes tuilées à engraisser..
virant au gré de leur vent à..ta honte d'exister en prose..les pompes de ces armées ta
venir te siffler la moralité.."ici gient mes artifessiés"..vue derrière leurs souliers

Vous...tu sais toi je te tue..Tu sais toi que je te voue,..Tu y as songé toi quand je
toi contrôlé stéréo du coeur..pour ne pas te blesser, met..Te voue toi et que je conte
opéré, branché exigé à l'ISO..respect aux hors-d'oeuvres...le rôle de ce vous à moitié

Je marche comme vous sur mes..Je vieillis comme des pages..Je lie, je relis même ratée
propres poussières étouffées..jusqu'à l'impubère debrisée..la partition mèlée d'or des..
le cul en laides toiles afin..Folies nues redites mais il..chants, la beauté chapitrée..
d'avancer entre les rides du..faut bien ça comme complets..votre gloire comme la folie
parchemin des fêtes et faits..et cérémonies des orientés...bergère décapitée de...vous
Vous...tu y avais pensé à ta..Mais dans tes hayons...vous..ta tête au creux de ton lit..
guerre? à ta terre..jardinée..tu te sentais bien élevé à.. défait insomnies doutées et
où ta gloire voulait si bien..l'eau de tes roses à rangée..qui engendrent ta pierre en
pousser jetant le pauvre toi..sur ces bouts de papier ici..des draps-lune mal étripés
noir où tu te laisses tomber..où tes coudes se sont usés...sentiers bras cognés prisés

Vous...tu es moi quand tu es..Et tu te tais, tué ...vous..Vous...tu te tais rasant tes
toi branché sur un coeur art..détransfusé et furieux des..couloirs où tu mourrais afin
l'hymne exigée typée aux os!..trempés dans l'encre noire..de te rassembler à écrire ça

Je titube comme vous sur les..Ces heures comme vous j'ai..Je me suis endormie et votre
vers troublés, sur du marbre..tué le temps les yeux durs..papier de verre, ta toile d'
macabre solidement assemblés..le coeur mouillé, le corps..aime qui rit, qui t'use, ta
au cimetière des livres mués..mourant muet et souffrant...joue meurtrie sur tes genoux
Vous le savais-tu sometimes-..La marche du condamné vous..Ah! que tu es quand tué vous
heures où tu te tais moi je.. je l'ai suivie suicidée au..encore à minuit pour qui son
me suis tuée comme toi surci..papier mâché inondé par la..heure allali hare à li sus à
épais coeur de l'es-tu aussi..connerie de ne pas oser l'..lui sonner au corps crucifié
ici à ne pas vouloir creuver..imparfait toi juste à côté..vous...tu n'es point né tué.


Sylvie Girardot
Ittre le 25/11/2009

Surtout ne lâche rien de ce travail de joaillier à relire comme on veut cul par-dessus mot ou tête par dessous cul !

nous, vous, îles
je jubile sur les mots que tu mêles...






B....ez

Superbe !

quand l'immonde côtoie le beau et l'incommensurable originalité
des dispositions temporairement acquises, il est à suivre le regard
du mot tant il écorche la saveur du rime, alors vous soyez ?

Je ne suis pas surprise de voir Ez avec son travail. Tiens, encore un bijoutier. C'est le Lavoir ce macadam !

Merci à vous....Et merci à EZ pour cette oeuvre qui ne peut que toucher.



Sylvie

Un déluge de mots qui s'empilent et s'agencent en constructions poétiques qui vous embarquent dans leur labyrinthe - heureux lecteur qui s'y aventure !

Ce n'est pas parce que j'ai du mal avec ces agencements que je vais me priver de répondre à l'invitation du Mur à Dédé.
Et à ce que je lis ci-dessus je pense que ce texte mérite mieux que ma difficulté à le lire et à le comprendre.
Alors je vous l'offre à nouveau.

Nilo, une pierre du mur dans mon jardin.

Chaque lecture est une nouvelle découverte (multiple) - je me comprends !

l'aventure continue

Encore un passage sur le Mur à Dédé qui vient donner de l'oxygène à un texte qui mérite plus l'attention que l'indifférence.

Nilo, j'y étais.

Le texte est superbe... Mais il me rappelle irrésistiblement cette blague de l'aveugle à qui on tend un morceau de toile émeri: que c'est écrit petit!

Swann,

Impressionnant.
Je ne vois pas d'autres mots.
Comme disait je ne sais plus qui: un travail d'orfèvre.

Merci à Nilo pour avoir tapé dans le mur.

Swann, pour qu'on puisse voir l'ensemble, j'ai du poster ainsi mais si tu appuies sur la touche CTRL et que tu tournes la molette de ta souris, tu vas pouvoir lire même sans lunettes

Merci à vous tous.

Sylvie

Superbe !
Envie de le redire!

Pif remonte !

Allo , alloooooooooo ?
apparament je tombe directement sur le répondeur...
oeuf de poule ou de dinde ?
ou alors eux de canne à pèche
je me demande quel poison mordrait à l'hameçon, une pèche en leurre...
oeufs me diras-tu et comme tu as raison, mais
le problème c'est que dès qu'ils mordent ils se cassent.
J'aurais préféré qu'ils plient comme les roseaux
j'aurais alors gagné autre chose que des coquilles
ce répondeur n'est pas un coucou en tout cas...
dead silence sur la ligne
j'attends encore un peu
et puis je m'en vais
après tout je n'ai pas très faim
(tout juste un espoir de coquille sans un seul coucou
Moi j'aime bien les coucou
mais les coucou n'aime pas les pèches
ni même les cannes)

Pas de chance... ou pas de danse...
Je vais comme un pou dans le fou a lier.

j'tm j'tm j'tm...

k(yù !

ps : impressionnant !

J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Seizième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...

Dédé.