Toi, ma Terre

La lune si claire quand le soleil l’éclaire

Et toi, toi, ma terre, ce soleil peuplé vieux d’hivers
Tu t’élimes en fines ciselures d’argent
Que le givre diamante sous le dôme armorié
Des brisures serpentent ; fleurs de lis noir
Ou Cheveux d’anges dénoués épousant
La frange charnelle des rivages éventrés
L’écorce anéantie délivre les entrailles

L’œil incandescent pleure et sa sève en longues
Coulées de magma d’or plonge dans mon silence

J'ouvre le bal à Carmen et sa poésie que je découvre. Au plaisir de suivre ce fil.

Je suis RATOUNE

Un poème qui coule fort bien à la lecture.

Sylvie

Je vous remercie Ratoune et Sylvie pour votre lecture.

je pense que ce poème peut paraître trop "enluminé", mais j'ai voulu traiter ainsi ce sujet.

Un clic de Dédé et je retombe sur ton poème Carmen et c'est avec plaisir que je te dis que je l'ai relu avec plaisir !!

Sylvie

Moi aussi c'est un clic à Dédé qui m'a conduit ici.
C'est vrai que c'est un peu "ampoulé" mais ça se tient et le sujet peut mériter ces enluminures.

Nilo, doré à l'or f(e)in(t).

Clic-Dédé et où je tombe !!

ben encore ici !! c'est fou nan??