journée paysages

La pluie me fait peur, elle enserre la ville d’un amour exubérant.
Les murs d’eau de son érotisme sont comme des étranglements.

Je suis sorti respirer l’air et l’eau
J’ai trempé mes chaussures et mon soleil
C’est ainsi qu’il n’y a aucune étoiles
Le jour écarte les rêves de la nuit
C’est le règne des hommes
Une fille prise sur le fait avec son portable me jette un regard coupable et disparait
Un banquier pédéraste fait régner l’ordre

Certains jour, je cherche l’été dans une journée hivernale quand le lumière passe a travers les fentes des stores.
Et j’ouvre ma fenêtre
Et il y a le bruit
Je sais alors que je ne suis pas seul
Je sais alors que je suis –tout simplement-

Je lis ta poésie depuis pas mal de temps et j'apprécie à chaque mot les voyages offerts, les souffrances qui s'y cache et les images que l'on pourrait peindre.

Un poète écrit
LE poète écrit

Merci de nous offrir ici ton talent.

Au plaisir

Sylvie

J'aime la beauté qui se dégage de mots simples, des mots où se lit la présence de l'homme poète...et je souhaite que la pluie ne cesse de manifester son amour exubérant et de vivifier ainsi la sensibilité des sculpteurs de mots.

J'aime.

Nilo, juste ça, et c'est déjà pas mal.

Le regard est inhabituel, les mots nous livrent d'autres visions à méditer... J'aime toujours autant cette plume et les songes éveillés qu'elle nous propose.

C'est - tout simplement - de la belle poésie.

Z, rain.

une écriture que j'apprécie entre les lignes depuis longtemps mais "je sais si mal ce que veut dire écrire"


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