Aux enfants, victimes des coups...

"Parfois, sa mère le berce
parfois, elle le brutalise
Quand sa mère le berce,
elle le brutalise.
Parfois, une accalmie l’apaise
parfois, elle le menace
Quand une accalmie l’apaise,
elle le menace.
Parfois, les coups le meurtrissent
parfois, il les supporte
Quand les coups le meurtrissent,
il les supporte.
Parfois, la mort l’attire
parfois, elle l’effraie
Quand la mort l’attire,
elle l’effraie."

Jolis mots tissés pour une chose bien terrible, la plus terrible qu'il soit..

Beau travail Astrid .

Avec eux aussi,

Mouais, les rimes sont un peu faciles tout de même.

C'est un sujet dangereux que les enfants cognés, il est difficile de ne pas s'empêtrer dans des clichés, dans la facilité du bon sentiment qui, seul, nous fait part d'une évidence trop souvent répétée.

Tu n'es, pour moi en tout cas, pas parvenue à éviter ces clichés.

Merci pour vos commentaires.
D'accord avec "le sujet dangereux", les clichés qui peuvent en découler.
J'ai eu besoin d'aligner quelques lignes, sans aucuns artifices, allégories ou autres ; besoin de mots simples pour ne pas 'alourdir' le "sujet", le dévier de sa réalité tragique ; besoin d'évoquer l'ambivalence... succinctement...
Ce n'est pas un grand texte, c'est certain, et la beauté 'pure' de la simplicité en écriture est ce qu'il y a de plus difficile. Heureusement, j'ai à priori encore des années devant moi pour y travailler.
Bonne journée à tous les deux,
Astrid.

clic-Dédé et ça tombe bien car j'ai une question à te poser:

AS-TU UN BLOG ???

Si NON...pense à en faire un car ici, c'est + un forum communautaire.

VIVE LE MUR à Dédé

Sylvie