Léger accroché au vent

... Mille “objets” de substitution pour se satisfaire pleinement. Homme objet, je te hais ! Femme fatale... et joueuse à la cour des tous petits
Chasseuse Sportive Inépuisable
Star des stades désertés
Opérant seule sous les projos du diable
À tous les stades de la vie
Désabusé, hors course, l’homme, déshonoré
La terre est une boule de feu rouge
Désabusé, l’homme hors course, recule
L’homme désabusé, hors course, recule toujours
Désabusé, hors course
Désabusé
............................
Elle a planté son feu vert pour moi
Pourquoi ?
Pourquoi tu l’as laissé au vert
Derrière moi

*

Tant qu'il y aura un doute
Je serai en déroute

La vie plus dure
Au fur et à mesure
Nos révoltes sublimes
L'imperfection des cimes
C'est pour ça qu'on s'anime
Au matin ô lumière divine !
Cette foule en mal de crime
Agitée affamée mordant les rangs
Fuyant les bancs
Sous le ciel menaçant
De nos rêves déments
Mais si grands...

Solitude révoltée
Révulsée de l'enfant
Rebelle effacé toujours fuyant
Et revenant
Mains nues, tête nue sans les gants
Ses doux rêves en ses champs
... Sur les marches du temps
Les pas de vent


Léger accroché au vent

Dam.

Un vent de révolte.
...et l'homme, sensé être un animal plus évolué !
Un cri partagé...enfin, moi je ne crie pas...impression de sombrer dans le vide...souvent.
Et puis la sensation de légèreté revient.
Un poème qui réveille des échos. Un poème dont j'apprécie la forme et le ton.

...j'ai pas tout compris....


tu m'eclaires?