Varsovie

Varsovie


Le jour naissant repousse la nuit,
Efface les rêves, redonne vie.
J’entends le vent balayer la pluie
Contre le mur blanc, sale et défleuri.

Première pensée, elle est pour toi,
De quel avion es-tu descendu ?
Entre toi et moi qu’elle est la distance
Celle qui chaque jour, t’éloigne de moi ?

Es-tu à Varsovie ?

Puis s’étale la nuit sur le jour gris.
Seule, désemparée, je peux te maudire,
Je n’en ferai rien, tu le sais bien,
Ma mémoire fidèle ne garde que le bien.


H.

De quel avion as-tu atterri ?
Ah non !
De quel avion es-tu descendu ?
ou autre chose à votre choix, mais pas cette tournure sans queue ni tête.
A part ça, égale à vous-même vous faites dans la simplicité qui vous caractérise.

Nilo, terminal N.

Je suis tout à fait d'accord avec vous
J'ai hésité...longuement !

Merci de votre passage

H.

JOli billet Hortense...rien que "Varsovie" lui donne une dimension spéciale.

Peut être peur (de) (descendre)?

Oui...encore un poème de H. qui fleuri la poésie.



Sylvie