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Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
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Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
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Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
Dédé: Salut les gonzesses. C'est Dédé.
Dédé: Oubliez pas les Kleenex.
Dédé: Rassurez vous j'ai pas l'intention de vous faire pleurer. Ceci dit j'suis pas sûr qu'vous allez pas pleurer quand même. Pour une fois que j'ai rien à dire j'vais pas m'priver.
Dédé: Ca vous la coupe ça que j'ai rien à dire. C'est pas comme vous qu'avez tellement de choses à dire que vous dites jamais rien. C'est vrai que vous les fermez bien vos gueules, c'est comme ça quand on a trop de choses à dire, on dit rien à cause de l'embarras du choix. Pas un mot qui dépasse, tous bien alignés sur le discours officiel, le doigt sur la couture du pantalon de la bien-pensance et aux ordres du soto-capo dei tutti soto-capi. Vous avez bien de temps en temps une petite tache sur la culotte mais vous la cachez bien pour pas qu'on voit les traces des éjaculations aussi précoces qu'incontrôlées qui vous sortent de la torpeur tiédasse de votre contentement et de votre bonheur de patauger dans les allées du pouvoir qui vous laisse vous exprimer librement du moment que vous fermez bien la gueule. Et vous la fermez bien, trop contents de pouvoir jouir de la liberté du silence.
Dédé: A part ça vous avez lu la presse ces jours-ci ? La presse people, OK. Mais c'est pas la bonne réponse. Vous avez regardé la télé ? Ecouté la radio ? Ah oui, "Secret Story" et "SkyRock". Vous m'en direz tant. Et les gens qui causent dans les restes du monde ça vous intéresse pas ? Ceux qu'on met en cabane pour les mots subversifs qui viennent troubler l'ordre établi qui sent la merde et abrite les mouches qui le colporteront jusque dans les prétoires bruissant des aveux furtifs et du repentir mou qui font bander les foules.
Dédé: Allez pas croire que je me fous de votre gueule mais tant qu'elles bandent autant que vous les branliez les mouches à merde. Elles adorent ça. Comme tout un chacun en fait. Mais elles en plus elles croient que c'est pasque vous les aimez, que vous êtes reconnaissants de tous les bienfaits qu'elles distribuent, semant de-ci de-là, leurs douces exemptions et justes punitions. Les allées du pouvoir sont pleines de mouches à merde, c'est pas ce qui manque. Vous voulez les adresses du pouvoir. Vous avez qu'à m'écrire, j'vous donnerai des noms.
Dédé: Au bistro des fois avec Papy on en croise des mouches à merde. Papy il les aime pas et il leur envoie pas dire. Ca leur plait pas, alors elles appellent leurs copines, et elles pleurent. Et ça fait des "bouh hou" et ça fait des "à mort", et ça pique et ça crie, et ça rameute les foules. Ca présente même des "preuves". Un peu du même genre que celles qu'on exhibe dans les tribunaux d'exception. Vous savez, comme en Iran. Ah ben non vous pouvez pas savoir puisque vous lisez que "Voici" qu'vous regardez que "Secret Story" et que vous écoutez "SkyRock". Excusez moi de vous parler de choses que vous connaissez pas.
Dédé: Chez nous l'âyatollâh des mouches à merde y parle et y pleure comme une gonzesse. C'est pas compliqué il a du être émasculé à la naissance pour avoir à ce point là pas de couilles. J'crois bien qu'il a même pas le souvenir d'en avoir eues Oups, "couilles" ça m'a échappé, j'voulais écrire "burnes", excusez moi. J'espère que ça me sera pardonné pasqu'un mot comme ça c'est un coup à me retrouver au purgatoire de la poésie avec le poids de tous les péchés des restes monde à porter sur mon pauvre petit dos déjà bien endolori par les rhumatismes à force de nager en eaux troubles . Et pas à la veille d'en sortir en plus pasque le paradis c'est que pour les ceusses qui causent politiquement correct.
Dédé: Enfin bref, j'en étais à vous conseiller de branler les mouches à merde. Mettez quand même un masque et des gants, pasque ça pue et ça tache. Et c'est pas pasque vous êtes entre vous que vous sentirez rien. Remarquez, vous êtes peut-être habitués à l'odeur à force de patauger dans la fosse à purin des compromissions. Mais quand même, ça pue et ça tache. Enfin, vous faites comme vous voulez, moi je m'en tape. Si vous vous sentez bien dans la merde restez-y. Mais n'oubliez pas de branler les mouches.
Dédé: Remarquez, si vous préférez peigner les girafes vous pouvez aussi mais faut savoir prendre de la hauteur et j'suis pas sûr qu'ce soit à votre portée. Ben oui, avec la tête sous le boisseau c'est pas facile de regarder en l'air. C'est pas qu'j'ai envie de vous plaindre mais si j'étais compatissant j'pourrais. Sauf que Papy y m'a dit "Dédé faut pas plaindre les cons ça leur donne une bonne raison d'le rester". Papy c'est un peu un apôtre, son sacerdoce à lui c'est de fustiger la connerie. Des fois ça se passe pas comme y voudrait pasque les cons ça se déplace souvent en bande et que lui il est tout seul (enfin même si j'suis là j'lui suis pas d'un grand secours avec ma gueule d'ours en peluche). Et une bande de cons c'est souvent redoutable. Me dites pas qu'vous savez pas ça.
Dédé: Donc, peigner la girafe on va abandonner l'idée puisque vous avez pas les moyens de prendre de la hauteur. J'sais pas c'que j'pourrais vous proposer. A part lécher les bottes et cirer les pompes j'vois pas. Mais ça vous l'faites déjà.
Dédé: Vous savez jouer au rami ? Pasque ça vous devriez pouvoir le faire. C'est un jeu de vieux, j'ai jamais vu personne se fâcher en jouant au rami. Touchez pas au poker surtout, c'est pas un jeu pour vous, vous avez plus à perdre qu'à gagner.
Dédé: Faut que j'vous aime pour vous dire ça pasque moi, à y jouer avec vous j'crois bien qu'j'aurais plus à gagner qu'à perdre. Mais c'est pas grave et de toute façon j'étais pas v'nu pour jouer au poker avec vous.
Dédé: Putain, quand j'y pense, et surtout quand je pense à c'que vous pourriez faire j'me rends compte que vous êtes pas bons à grand-chose en fait les gonzesses. Pleurer dans le giron des garde-chiourmes peut-être. Ca ouais, ça devrait vous allez, surtout que comme vous m'avez bien écouté depuis l'début vous avez déjà les kleenex et que si y sont mouillés d'vos larmes de crocodile y pourront quand même encore vous servir pour branler les mouches.
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé: Salut les gonzesses. C'est Dédé.
Dédé: Oubliez pas les Kleenex.
Dédé: Rassurez vous j'ai pas l'intention de vous faire pleurer. Ceci dit j'suis pas sûr qu'vous allez pas pleurer quand même. Pour une fois que j'ai rien à dire j'vais pas m'priver.
Dédé: Ca vous la coupe ça que j'ai rien à dire. C'est pas comme vous qu'avez tellement de choses à dire que vous dites jamais rien. C'est vrai que vous les fermez bien vos gueules, c'est comme ça quand on a trop de choses à dire, on dit rien à cause de l'embarras du choix. Pas un mot qui dépasse, tous bien alignés sur le discours officiel, le doigt sur la couture du pantalon de la bien-pensance et aux ordres du soto-capo dei tutti soto-capi. Vous avez bien de temps en temps une petite tache sur la culotte mais vous la cachez bien pour pas qu'on voit les traces des éjaculations aussi précoces qu'incontrôlées qui vous sortent de la torpeur tiédasse de votre contentement et de votre bonheur de patauger dans les allées du pouvoir qui vous laisse vous exprimer librement du moment que vous fermez bien la gueule. Et vous la fermez bien, trop contents de pouvoir jouir de la liberté du silence.
Dédé: A part ça vous avez lu la presse ces jours-ci ? La presse people, OK. Mais c'est pas la bonne réponse. Vous avez regardé la télé ? Ecouté la radio ? Ah oui, "Secret Story" et "SkyRock". Vous m'en direz tant. Et les gens qui causent dans les restes du monde ça vous intéresse pas ? Ceux qu'on met en cabane pour les mots subversifs qui viennent troubler l'ordre établi qui sent la merde et abrite les mouches qui le colporteront jusque dans les prétoires bruissant des aveux furtifs et du repentir mou qui font bander les foules.
Dédé: Allez pas croire que je me fous de votre gueule mais tant qu'elles bandent autant que vous les branliez les mouches à merde. Elles adorent ça. Comme tout un chacun en fait. Mais elles en plus elles croient que c'est pasque vous les aimez, que vous êtes reconnaissants de tous les bienfaits qu'elles distribuent, semant de-ci de-là, leurs douces exemptions et justes punitions. Les allées du pouvoir sont pleines de mouches à merde, c'est pas ce qui manque. Vous voulez les adresses du pouvoir. Vous avez qu'à m'écrire, j'vous donnerai des noms.
Dédé: Au bistro des fois avec Papy on en croise des mouches à merde. Papy il les aime pas et il leur envoie pas dire. Ca leur plait pas, alors elles appellent leurs copines, et elles pleurent. Et ça fait des "bouh hou" et ça fait des "à mort", et ça pique et ça crie, et ça rameute les foules. Ca présente même des "preuves". Un peu du même genre que celles qu'on exhibe dans les tribunaux d'exception. Vous savez, comme en Iran. Ah ben non vous pouvez pas savoir puisque vous lisez que "Voici" qu'vous regardez que "Secret Story" et que vous écoutez "SkyRock". Excusez moi de vous parler de choses que vous connaissez pas.
Dédé: Chez nous l'âyatollâh des mouches à merde y parle et y pleure comme une gonzesse. C'est pas compliqué il a du être émasculé à la naissance pour avoir à ce point là pas de couilles. J'crois bien qu'il a même pas le souvenir d'en avoir eues Oups, "couilles" ça m'a échappé, j'voulais écrire "burnes", excusez moi. J'espère que ça me sera pardonné pasqu'un mot comme ça c'est un coup à me retrouver au purgatoire de la poésie avec le poids de tous les péchés des restes monde à porter sur mon pauvre petit dos déjà bien endolori par les rhumatismes à force de nager en eaux troubles . Et pas à la veille d'en sortir en plus pasque le paradis c'est que pour les ceusses qui causent politiquement correct.
Dédé: Enfin bref, j'en étais à vous conseiller de branler les mouches à merde. Mettez quand même un masque et des gants, pasque ça pue et ça tache. Et c'est pas pasque vous êtes entre vous que vous sentirez rien. Remarquez, vous êtes peut-être habitués à l'odeur à force de patauger dans la fosse à purin des compromissions. Mais quand même, ça pue et ça tache. Enfin, vous faites comme vous voulez, moi je m'en tape. Si vous vous sentez bien dans la merde restez-y. Mais n'oubliez pas de branler les mouches.
Dédé: Remarquez, si vous préférez peigner les girafes vous pouvez aussi mais faut savoir prendre de la hauteur et j'suis pas sûr qu'ce soit à votre portée. Ben oui, avec la tête sous le boisseau c'est pas facile de regarder en l'air. C'est pas qu'j'ai envie de vous plaindre mais si j'étais compatissant j'pourrais. Sauf que Papy y m'a dit "Dédé faut pas plaindre les cons ça leur donne une bonne raison d'le rester". Papy c'est un peu un apôtre, son sacerdoce à lui c'est de fustiger la connerie. Des fois ça se passe pas comme y voudrait pasque les cons ça se déplace souvent en bande et que lui il est tout seul (enfin même si j'suis là j'lui suis pas d'un grand secours avec ma gueule d'ours en peluche). Et une bande de cons c'est souvent redoutable. Me dites pas qu'vous savez pas ça.
Dédé: Donc, peigner la girafe on va abandonner l'idée puisque vous avez pas les moyens de prendre de la hauteur. J'sais pas c'que j'pourrais vous proposer. A part lécher les bottes et cirer les pompes j'vois pas. Mais ça vous l'faites déjà.
Dédé: Vous savez jouer au rami ? Pasque ça vous devriez pouvoir le faire. C'est un jeu de vieux, j'ai jamais vu personne se fâcher en jouant au rami. Touchez pas au poker surtout, c'est pas un jeu pour vous, vous avez plus à perdre qu'à gagner.
Dédé: Faut que j'vous aime pour vous dire ça pasque moi, à y jouer avec vous j'crois bien qu'j'aurais plus à gagner qu'à perdre. Mais c'est pas grave et de toute façon j'étais pas v'nu pour jouer au poker avec vous.
Dédé: Putain, quand j'y pense, et surtout quand je pense à c'que vous pourriez faire j'me rends compte que vous êtes pas bons à grand-chose en fait les gonzesses. Pleurer dans le giron des garde-chiourmes peut-être. Ca ouais, ça devrait vous allez, surtout que comme vous m'avez bien écouté depuis l'début vous avez déjà les kleenex et que si y sont mouillés d'vos larmes de crocodile y pourront quand même encore vous servir pour branler les mouches.
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
_________________
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
Re: Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
Voilà une humeur de " chien " Dédé, une humeur qui mord aux chevilles, aux licous, aux lourds bâts qui ne blessent plus les cous bovins.
Mais une humeur de vent aussi, elle passe sur l'éternel silence des ombres, l'éternel sourire en coin des passants.
Elle ne peut rien agiter de plus que la pâte à marcher, le compost à penser, les doigts dans le pot de confiture.
Personne ne lâchera rien.
Il souffle en ces moments " un vent mauvais " de printemps à retardement, quelque chose des " rafles " anciennes par les rues dignes, un saut dans le vide aigre.
Il rampe une haleine de " droit gosier" dans la torpeur.
On peut aussi espérer que de ce même gosier sans voix, sortira sous peu un rot rabelaisien, un renvoi sauvage puant la tripe et la viscère engorgées.
On peut espérer et fourbir ses mots.
On peut.
Mais une humeur de vent aussi, elle passe sur l'éternel silence des ombres, l'éternel sourire en coin des passants.
Elle ne peut rien agiter de plus que la pâte à marcher, le compost à penser, les doigts dans le pot de confiture.
Personne ne lâchera rien.
Il souffle en ces moments " un vent mauvais " de printemps à retardement, quelque chose des " rafles " anciennes par les rues dignes, un saut dans le vide aigre.
Il rampe une haleine de " droit gosier" dans la torpeur.
On peut aussi espérer que de ce même gosier sans voix, sortira sous peu un rot rabelaisien, un renvoi sauvage puant la tripe et la viscère engorgées.
On peut espérer et fourbir ses mots.
On peut.
Ratoune- MacadAccro
- Messages : 1891
Date d'inscription : 01/09/2009
Re: Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
Mais qui sans doute blessent encore le cou des ânes.Ratoune a écrit:Voilà une humeur de " chien " Dédé, une humeur qui mord aux chevilles, aux licous, aux lourds bâts qui ne blessent plus les cous bovins.
Nilo, ne se mouche pas avec les doigts.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
Espérons-le, mais il semble que les " ânes " eux-mêmes à braire en cadence,oublient leur cou meurtri.
Ratoune- MacadAccro
- Messages : 1891
Date d'inscription : 01/09/2009
Re: Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
Waouuuuuuuuuuuuuu !! Dédé.......le truc que j'aime lire et entendre mais tu sais, peigner la girafe serait idéal sauf que personne ou peu ne possède d'échelle et du coup, ça reste en bas à brouter les lacets des joueurs de foot!
J'ai appris doucement, avec du temps à comprendre des choses qu'une personne se tuait à me hurler dans les oreilles:
Ecoute la radio
Regarde la TV
Lis les genres "voici"
Va, va et demain tu te lèveras encore plus con puisque ta vie est ailleurs et que tu finis par l'oublier !
Mais TOI, quand tu mourras, tu crois que tu feras la "une"?
Alors, j'ai pris l'échelle de secours car je n'avais que celle là sous la main, et je suis partie pour atteindre le cou de la girafe...J'y suis presque mais je dois surtout maitriser le vertige qui va avec et ça c'est pas encore gagné.
Mais j'y vais!
Super chronicle!!
Merci Dédé
Sylvie
J'ai appris doucement, avec du temps à comprendre des choses qu'une personne se tuait à me hurler dans les oreilles:
Ecoute la radio
Regarde la TV
Lis les genres "voici"
Va, va et demain tu te lèveras encore plus con puisque ta vie est ailleurs et que tu finis par l'oublier !
Mais TOI, quand tu mourras, tu crois que tu feras la "une"?
Alors, j'ai pris l'échelle de secours car je n'avais que celle là sous la main, et je suis partie pour atteindre le cou de la girafe...J'y suis presque mais je dois surtout maitriser le vertige qui va avec et ça c'est pas encore gagné.
Mais j'y vais!
Super chronicle!!
Merci Dédé
Sylvie
Re: Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
Merci les gonzesses.
Et faites attention à pas trop les branler quand même les mouches pasque sinon chez Libé y z'auront plus rien à foutre et ça les emmerderait vu qu'y z'ont qu'ça à foutre.
Dédé.
Et faites attention à pas trop les branler quand même les mouches pasque sinon chez Libé y z'auront plus rien à foutre et ça les emmerderait vu qu'y z'ont qu'ça à foutre.
Dédé.
_________________
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
Re: Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
La dernière fois que j'ai " ébranlé " une mouche, elle m'a crié " va donc patate c'est l'abeille qu'il faut..." je n'ai pas entendu la fin de sa réplique car mon chat l'a engloutie sans frémir.
Je ne lui en veux car je ne saurai quoi faire de l'orgasme d'une mouche si bleue fut-elle...
J'envie Sylvie d'être au cou de la girafe quand je n'ai pas encore le peigne pour y grimper
Je ne lui en veux car je ne saurai quoi faire de l'orgasme d'une mouche si bleue fut-elle...
J'envie Sylvie d'être au cou de la girafe quand je n'ai pas encore le peigne pour y grimper
Ratoune- MacadAccro
- Messages : 1891
Date d'inscription : 01/09/2009
Re: Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
Putain d'greffier !
Dédé.
Dédé.
_________________
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
Re: Oubliez pas les Kleenex. (Chronicle)
J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Sixième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...
Dédé.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...
Dédé.
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Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
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