Les blessures secrètes

Les blessures secrètes


Celles...

...Dont on ne parle pas
Que personne ne voit.

Un voile de pudeur
Jamais enlevé.

Les cris sont ailleurs
Là, où l’autre ne va pas.

La tête bien droite,
Le faire-semblant parfait.

Un ailleurs caché,
Un cœur fissuré.

Les douleurs secrètes,
Pas toujours d’amour.

La désespérance,
Autre que l’absence.

H.

A trop vouloir se cacher on finit par se détruire...
Je t'ai suivie Hortense, je viens me cacher avec toi.

Viens ma Belle...

Nous parlerons de Macadam !

H.

Ah, si seulement souffrir était aussi gentillet qu'il le parait après lecture...

"les cris sont ailleurs"

Donner le change, le désespoir muet pour ne pas déranger l'entourage, le jardin secret dévasté derrière les beaux parterres fleuris...

Effectivement, pas de cris, pas de gémissements, pas de plaies à vif, juste une souffrance qui se fait discrète et pudique.

Comme je comprends ce poème

Il parait doux comme H.
Il est dur pourtant

Cette douleur est la prison du coeur

Mais je sais qu'on peut s'en sortir même si parfois ce n'est que momentané.

Heureuse de te lire encore douce H.

Sylvie

Merci à tous !

H.