BATERMAGLOU ( Synthèse)

Voici la synthèse des travaux et études réalisés par l'académie et les définitions retenues.
BATERMAGLOU
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En fait "Batermaglou" est une déformation du "Batermagol" Elixir bien connu au XIXème siècle et création du professeur Bastien Mangol. Cet élixir, fortement alcoolisé était exporté dans plusieurs pays d'Afrique et du Moyen Orient où les boissons alcoolisées étaient interdites pour des motifs religieux sous couvert de son intérêt uniquement pharmaceutique.
En effet, il était censé guérir outre la cataracte, les vapeurs de l'âme, le prurit des aisselles et les fistules anales.
En usage agricole, il était radical contre la piéride du choux et contre le choux également, d'ailleurs.
En usage vétérinaire, il est malheureusement responsable de la disparition du dromadaire versicolore pourtant si apprécié jadis afin de passer inaperçu dans le désert.

Le principe actif est toujours utilisé, à présent, comme puissant défoliant sous le vocable d'agent orange;

Swann, descendant du célèbre professeur
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Batermaglou: n.m. du pseudo-latin "bater bater" qui signifie "battre le neurone", et de l'esquimo-grec "maglou" qui signifie "gateau d'igloo"
Le batermaglou est un petit space-cake très rare, spécialité inuit servie en petite part individuelle et se consommant généralement à l'ombre d'un igloo, à l'heure de la sieste. Du fait de la température très basse sous laquelle le haschich est conservé, celui-ci sera servi généralement sous forme de gelée délicatement versée sur la surface du gateau, comme une crème glacée sur un vacherin de noël. Ce mode rare de fabrication procure au consommateur des effets désirables à faire fondre icebergs et calottes glacières.
Les causes du réchauffement climatique sont donc encore à déterminer.
-----------> "Faire batermaglou": offrir son savoir à l'intérêt général.


TOF enfantdeNovembre_________________________________________________________________________

Saint Jean Baptiste officiant aux thermes de Glou (lieu-dit de Haute Palestine en Terre Sainte dans les temps reculés de l'avant JC) eut un jour à immerger un ivrogne récalcitrant à l'époque des basses eaux du Jourdain.
L'intempérant refusant tout net cette atteinte à sa liberté de ne pas mettre d'eau dans son vin fit des pieds et des mains, se débattant et urinant tant et tant que le fleuve et la mer dans laquelle il se jetait furent à tout jamais privés de toute vie.
Depuis la Mer Morte s'enfonce inexorablement dans le désert, ses rivages plongeant dans les secrets des bacs à sables imbibés d'eau bénite où surnagent les restes rédhibitoires des noces de Cana que les sybarites étaient venus déposer dans les poubelles d'un Capharnaüm du bord du lac après ce triste épisode du baptême avorté de l'homme connu dans la Bible sous le sobriquet de Dédé en mémoire de son bégaiement chronique qui l'empêchait de lire correctement ne serait-ce que le titre du précieux Décalogue. Enfin, connu des seuls exégètes qui ont eu connaissance des secrets des manuscrits de la Mer Morte.
Ces érudits nous ont laissé entendre qu'un coin de page préservé de l'acidité de l'urine de l'anti-abstème faisait état de cet épisode du baptême en qualifiant l'endroit où il s'est déroulé du nom de "Bas Thermes à Glou" faisant référence au faible étiage du fleuve à cette époque. Les déformations scripturales qui ont suivi nous ont légué le nom commun sous son orthographe actuelle de "batermaglou" qui signifie désormais (le baptême n'ayant plus grand sens de nos jours) : lieu où l'on dessaoule un ivrogne.

Nilo, noceur à Cana..
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C’est l’expression à forte intonation qui se fait entendre lors de l’arrivée du TER en temps de grèves : BATERMAGLOU !
Ce cri choral est salvateur car il fait oublier les aléas du touche à touche forcé, évitant un bouche à bouche trop désagréable qui pendrait au nez de tout un chacun ! Ce cri libératoire sonne comme un immense éternuement dans un mouchoir de poche ; il raisonne dans les galeries souterraines, son échos en boucle ininterrompu donne le La d’un tube du métro au métronome endiablé dont voici quelques couplets :
BATERMAGLOU, OU uuu
Glou... Ermaglou...
Ouuu Ter mag Ba !
Lou Ta mer Bou Ouuuu...
Galère Bou ouuu Bat
*
(second couplet)

Mater lou ou ou
glou glou

Le mater de fou
qu'on boit à la bouteille
et qui murmure aux oreilles

glou glou
Mater lou!

J'ai bu tout le mater
le materglou
ou ou
et vous?

*

Dam, avec le «concours» de Sylvie, merci à elle..
Dam
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Batermaglou : ancienne interjection limousine qui a chaud aux fesses concernant sa présence dans la prochaine édition de ce dictionnaire tant elle est peu usitée... Elle est généralement utilisée en fin de phrase et fait part, selon l'intonation douce ou martelée, d'une joie subite (en un seul mot) ou d'un mécontentement trop longtemps larvé qui explose, libérateur. Une forme abrégée a vu le jour au XXème siècle, ne conservant que la version exaltée de l'interjection (la fin du mot, est partie avec l'eau du bain) : bath : génial, super, chouette etc.
Sous cette forme, elle fut chantée par des artistes célèbres tels que Ferré :
(La rue c'est un' pépée
Qu' est bath qu' est bath
Allez !...)
ou encore, Ottawan (t'es ok, t'es bath, t'es in) (oui, j'ai honte ! )

Mais déjà aux temps jadis, sa forme chantante attirait les poètes :
"...La Joana qu’es la pus bringa
Es chambariera au chasteu
E totas quatre, fotringa, batermaglou !
Las se serven de lors linga
Tanben coma daus pesteus... "

(La Jeanne c’est la plus volage,
Elle est servante au Château ;
Et toutes les quatre, fichtre, sacrebleu !
Elles se servent de leur langue
Comme des battoirs.)


extrait de LAS LAVAIRITZ (les lavandières) de Jean Rebier

Vivant
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Le Batermaglou est une espèce d'âne (Batus masinus gloutus) originaire de Nubie.

Il mesure en moyenne 1,75 m au garrot. Il a une robe grise à mauve et porte une croix dite de St André foncée sur l'épaule ; le museau, le ventre et la face interne des membres sont poivrés.
Cet âne est à l'origine du saucisson Corse, reconnu pour son goût marqué.. Cette race est chassée pour faire des remèdes, notemment pour résoudre les problémes gastriques et de ballonements. Elle est aujourd'hui en voie de disparition.
Son nom tire ses racines d'un appetit féroce pour les légumineuses qu'il a pourtant un mal fou à digérer: d'ou les "glou glou" émis par son ventre .

Le batermaglou est aujourd'hui une espéce protégée.


Lalou
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Le Batermaglou

Grand cru des années 1563 où la sècheresse était telle que le macadam, à cette époque fut inventé par accident. Un type avait simplement jeté un pot de peinture noire et il a durci. ( ça c'est en +)
Donc, je disais, grand cru qui se buvait à la cuillère en bois afin de garder le goût parfait. La fameuse cuillère en bois, s'appelait : Bater et lorsque le roi voulu boire un peu de Batermaglou

Il dit à son valet

"Apporte moi ma bater que je puisse boire de ce vin"

et le valet dit
"Mon roi, voici votre Bater , ma glou glou " au lieu de majesté.
Le roi n'en fut point offensé et déclara que cette délicieuse boisson porterait désormais le nom de BATERMAGOU.

Sylvie
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Encore une belle entrée du Dictionnaire de l'Improbable.
Je me dis que décidément ça pourrait faire un beau livre ça, quand nous aurons épuisé ne serait-ce qu'un mot par lettre de l'alphabet.

Nilo, envie des 26.