Crépuscule des Pieuvres

J'ai apprécié ce "Crépuscule des pieuvres "
Originale écriture

H.

Crépusculaire et frémissant, j'aime ça.

Original !
Une ambiance qui donne le frisson...pour ces pieuvres qui aspirent à un lieu plus chaleureux

"La mécanique de tes fluides m’absorbe ,
je domestique nos clapotis, tu glisses, obscurément.

Au plus fort de nos marées, tu te donnes enfin !"

une ambiance marine qui me plait et me parle.

Aimé aussi!

J'ai vraiment apprécié ce morceau de bravoure, car il en faut pour affronter le froid du matin.
Entre impressionnisme et surréalisme des mots doux et durs qui résonnent comme les pas dans les rues vides, comme le claquement du vents dans les haubans.

Nilo, quai des brumes.

J'aime étrange et fort!!!

A suivre
Assurément ;
Absolument

Pour que LC commente, tu peux être flattée, Roseline ! Miracle de Noël?

Pour ma part, moins séduit que le reste de mes camarades. Je n'ai tout simplement rien ressenti.
A une prochaine lecture donc.

Z.

Le vent en poulpe...
Il parait que les pieuvres ont 3 coeurs... de quoi alimenter un amour tentaculaire

C'est pas plutôt 3 cerveaux, Vivant ?
Plaisanterie mise à part, j'ai lu ton poème avec amertume et espoir, j'ai bu la tasse et respiré un grand bol d'air à l'arrivée. Une longue apnée en quelque sorte.

Dam, il fallait le faire.

Original et mouvant.

Il y a tellement de publications dans cette rubrique que le crépuscule m'a fil-é sous le nez, me laissant malgré tout quelques pieuvres accrochées.

Il est des mots qui vous marquent à jamais d'une empreinte tentaculaire...

J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Quinzième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...

Dédé.