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Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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Amor Amor
Voyez celle
Par qui le scandale arrive
Sensuelle
Impudique et lascive
Elle hante son corps
Comme une aristocrate
Déchue
Se perfuse, anémique,
A vos caresses fades
- Pantomime cynique -
Hante les rues blafardes
La démarche féline
Sur le tranchant luisant
De ses nuits disloquées.
Aucun fil à la patte
N'entrave la noyade
De sa chaloupe triste
Libre ?
Amor, amor
Dis-moi, tu t'imagines
En grignotant des bras
Les mirages des autres
Et en offrant tes cuisses
Au désir anonyme
Combler ce trou béant
Qui hurle ses pourquoi ?
Assassiner les rats
Qui te bouffent le ventre ?
Foutaises ! Tu te noies, tu le sais
Voyez toutes,
Douces et molles épouses
Voyez-la
Avide et licencieuse
Qui agrippe des yeux
Vos maris démariés
Subjugués
Le temps d'une lampée
Agglutinés
Comme de vieux papillons
Au néon terne et glauque
De sa danse grotesque.
Succube anéantie
Elle
Caresse des prunelles
Leurs bas-ventres tendus
Et roule sous les doigts
Affamés et joufflus
De leurs ombres voraces
Désirée ?
Amor, amor
Dis-moi, tu t'imagines
En jetant ta détresse
Dans ces mains sans visages
Et en ouvrant ton sexe
A ces fantômes nus
Combler ce trou béant
Qui grouille de pourquoi,
Assassiner les rats
Qui t'infestent le ventre ?
Foutaises ! Tu crèves et tu le sais.
Elle a le feu au coeur
Et l'incendie ravage
Jusqu'aux gémissements
De son plaisir blessé
Qui s'échoue au silex
De votre indifférence.
Elle cueille à vos bouches
Le goût d'une rémission
S'attarde,
Le temps d'une prière
Sourde et désenchantée
Entre vos bras brûlants
Se couche
Chaude et docile
Sous vos corps impatients
Et sous vos mains fébriles.
Tant que vous la voyez
Que vous la regardez
Que vous en jouissez
Elle vivra bien un peu...
Voyez, Voyez bonnes gens
La femelle lubrique
Qui vogue à la dérive
Et rebondit de corps en corps.
Celle qu'on prend et qu'on jette
Et qu'on oublie si vite
Pour redevenir sobre.
Celle qui aime tant ça
Qu'elle en veut toujours plus,
Et rit de toute une gorge
Pour ne pas en mourir.
Amor, amor
Tu ne sais plus
Comment
Combler ce trou béant
Qui hurle ses pourquoi,
Assassiner les rats
Qui te rongent le ventre...
Et tu quittes la scène
Les laissant se repaître
De ta dépouille creuse.
Par qui le scandale arrive
Sensuelle
Impudique et lascive
Elle hante son corps
Comme une aristocrate
Déchue
Se perfuse, anémique,
A vos caresses fades
- Pantomime cynique -
Hante les rues blafardes
La démarche féline
Sur le tranchant luisant
De ses nuits disloquées.
Aucun fil à la patte
N'entrave la noyade
De sa chaloupe triste
Libre ?
Amor, amor
Dis-moi, tu t'imagines
En grignotant des bras
Les mirages des autres
Et en offrant tes cuisses
Au désir anonyme
Combler ce trou béant
Qui hurle ses pourquoi ?
Assassiner les rats
Qui te bouffent le ventre ?
Foutaises ! Tu te noies, tu le sais
Voyez toutes,
Douces et molles épouses
Voyez-la
Avide et licencieuse
Qui agrippe des yeux
Vos maris démariés
Subjugués
Le temps d'une lampée
Agglutinés
Comme de vieux papillons
Au néon terne et glauque
De sa danse grotesque.
Succube anéantie
Elle
Caresse des prunelles
Leurs bas-ventres tendus
Et roule sous les doigts
Affamés et joufflus
De leurs ombres voraces
Désirée ?
Amor, amor
Dis-moi, tu t'imagines
En jetant ta détresse
Dans ces mains sans visages
Et en ouvrant ton sexe
A ces fantômes nus
Combler ce trou béant
Qui grouille de pourquoi,
Assassiner les rats
Qui t'infestent le ventre ?
Foutaises ! Tu crèves et tu le sais.
Elle a le feu au coeur
Et l'incendie ravage
Jusqu'aux gémissements
De son plaisir blessé
Qui s'échoue au silex
De votre indifférence.
Elle cueille à vos bouches
Le goût d'une rémission
S'attarde,
Le temps d'une prière
Sourde et désenchantée
Entre vos bras brûlants
Se couche
Chaude et docile
Sous vos corps impatients
Et sous vos mains fébriles.
Tant que vous la voyez
Que vous la regardez
Que vous en jouissez
Elle vivra bien un peu...
Voyez, Voyez bonnes gens
La femelle lubrique
Qui vogue à la dérive
Et rebondit de corps en corps.
Celle qu'on prend et qu'on jette
Et qu'on oublie si vite
Pour redevenir sobre.
Celle qui aime tant ça
Qu'elle en veut toujours plus,
Et rit de toute une gorge
Pour ne pas en mourir.
Amor, amor
Tu ne sais plus
Comment
Combler ce trou béant
Qui hurle ses pourquoi,
Assassiner les rats
Qui te rongent le ventre...
Et tu quittes la scène
Les laissant se repaître
De ta dépouille creuse.
Re: Amor Amor
Une leçon de morale discutable mais le tout est très bien tourné.
Libre? il est évident qu'on peut se poser la question, mais qui l'est vraiment?
Une bonne lecture en tout cas.
"L'ennui avec la morale, c'est que c'est toujours celle des autres"LF
Libre? il est évident qu'on peut se poser la question, mais qui l'est vraiment?
Une bonne lecture en tout cas.
"L'ennui avec la morale, c'est que c'est toujours celle des autres"LF
spandrell- MacadAccro
- Messages : 573
Date d'inscription : 14/09/2009
Re: Amor Amor
Trèèèèès loin de moi l'idée de donner une leçon de morale, rassure-toi.
Juste l'expression d'une tranche d'existence qui en vaut bien une autre, un morceau de détresse que j'ai essayé d'explorer.
Merci Spandrell :-)
Juste l'expression d'une tranche d'existence qui en vaut bien une autre, un morceau de détresse que j'ai essayé d'explorer.
Merci Spandrell :-)
Re: Amor Amor
Une musique un peu bancale et surtout : pourquoi faire aussi long ? La répétition du "refrain" est lassante à la longue.
Écoutez : "Je ne suis pas de celle", de Bénabar. Tout est dit, et plus joliment, encore.
Z, mélomane.
Écoutez : "Je ne suis pas de celle", de Bénabar. Tout est dit, et plus joliment, encore.
Z, mélomane.
Zlatko- MacadAccro
- Messages : 1621
Date d'inscription : 30/08/2009
Age : 33
Localisation : Centre
Re: Amor Amor
Je ne connais pas la chanson de Benabar, mais j'écouterai, merci.
Pour la longueur, c'est comme ça. Généralement j'aime écrire long. Si ça lasse, on peut prendre la tangente.
Pour l'originalité, heureusement qu'on ne se tait pas dès que quelqu'un a dit les choses mieux que nous, sinon on n'oserait plus commettre grand chose en matière de poésie. Je pense qu'écrire ne devrait pas correspondre à une tentative de "faire mieux que", mais simplement à un besoin de dire, soi aussi, de laisser son empreinte.
Merci de ton passage.
Pour la longueur, c'est comme ça. Généralement j'aime écrire long. Si ça lasse, on peut prendre la tangente.
Pour l'originalité, heureusement qu'on ne se tait pas dès que quelqu'un a dit les choses mieux que nous, sinon on n'oserait plus commettre grand chose en matière de poésie. Je pense qu'écrire ne devrait pas correspondre à une tentative de "faire mieux que", mais simplement à un besoin de dire, soi aussi, de laisser son empreinte.
Merci de ton passage.
Re: Amor Amor
Ce n'est pas que je veuille (re)lancer un débat. Je ne suis ici que par la faute ou la grâce du Mur à Dédé.
Je joue donc le jeu, je commente et donne à de nouveuax lecteurs l'occasion de se prononcer.
Pour ma part je trouve également ceci trop long et répétitif. Mais d'autres y trouveront peut-être leur compte.
Nilo, [re]frein.
Je joue donc le jeu, je commente et donne à de nouveuax lecteurs l'occasion de se prononcer.
Pour ma part je trouve également ceci trop long et répétitif. Mais d'autres y trouveront peut-être leur compte.
Nilo, [re]frein.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Amor Amor
Le mur étant ce qu'il est l'amour ce qu'on empierre nous voilà avertis !
Ratoune- MacadAccro
- Messages : 1891
Date d'inscription : 01/09/2009
Re: Amor Amor
Et j'en profite pour faire un relatif mea culpa : humeur du jour peut-être, je me suis trouvé un peu dur. A la relecture ce texte dit joliment les choses, et explore son thème avec finesse.
Z, d'habitude c'est dans l'autre sens.
Z, d'habitude c'est dans l'autre sens.
Zlatko- MacadAccro
- Messages : 1621
Date d'inscription : 30/08/2009
Age : 33
Localisation : Centre
Re: Amor Amor
Je rejoins les autres pour la longueur peut-être... Mais je me suis plongée dans ton texte, et ne m'en est ressorti que des belles images... Peut-être l'euphorie du jour, en tout cas moi j'aime !
Re: Amor Amor
Mince... c'est amusant ça.
J'avais plus mis les pieds ici depuis une éternité, trop occupée ailleurs, et puis ce soir, une impulsion... et voilà que je tombe sur des com récents postés sur ce vieux (et unique à ce jour) texte de moi ici.
Clin d'oeil que je prends au sérieux, c'est dit, je repasserai plus régulièrement !
Même si, depuis, ce texte a été un peu retravaillé et modifié, merci néanmoins pour les avis, et en particulier pour le relatif mea culpa de Zlatko, apprécié à sa juste valeur. Cela dit, tu n'avais pas été "si" dur, et tu avais donné ton avis, c'est déjà nettement mieux que l'indifférence polie !
Re: Amor Amor
Mais oui Tinuviel, j'ai lu la version "retravaillée" sur ton site, et je trouve qu'elle donne, pour moi en tout cas, une autre vision de ton poème, j'avais parlé d'un côté "moralisateur" à l'égard de cette femme et du coup avec la partie rajoutée, ma vision du poème a changée.
Tu veux pas nous l'envoyer ton "Amor à mort" new look?
Tu veux pas nous l'envoyer ton "Amor à mort" new look?
_________________
le silence se fait entendre
spandrell- MacadAccro
- Messages : 573
Date d'inscription : 14/09/2009
Re: Amor Amor
Merci Spandrell pour ton intérêt (ici et là-bas) !
Alors, puisque c'est demandé si gentiment, voici la version actualisée de ce texte :
Amor à mort
Voyez celle
Par qui le scandale arrive
Sensuelle
Impudique et lascive
Elle habite son corps
Comme une aristocrate
Arrogante et déchue,
Hante les rues blafardes
Sur le tranchant luisant
De ses nuits disloquées,
Se perfuse - anémique -
À vos caresses fades
Distraitement singées.
Aucun fil à la patte
N'entrave la noyade
De sa chaloupe triste
Libre ?
Amor, amor
Dis-moi, tu t'imagines
En grignotant des bras
Les mirages des autres
Et en offrant tes cuisses
Au désir anonyme
Combler ce trou béant
Qui hurle ses pourquoi
Assassiner les rats
Qui te bouffent le ventre ?
Foutaises ! Tu te noies, tu le sais
Voyez toutes
Douces et tièdes épouses
Légitimes femelles
Voyez-la
Avide et licencieuse
Qui agrippe des yeux
Vos maris démariés
Le temps d'une lampée
Accolés
Comme de vieux papillons
Au néon terne et glauque
De sa danse grotesque.
Succube anéantie
Elle
Va et vient
Caresse des prunelles
Leurs bas-ventres tendus
Et roule sous les doigts
Affamés et joufflus
De leurs ombres voraces
Désirée ?
Amor, amor
Dis-moi, tu t'imagines
En jetant ta détresse
Dans ces mains sans visages
Et en ouvrant ton sexe
À ces fantômes nus
Combler ce trou béant
Qui grouille de pourquoi
Assassiner les rats
Qui t'infestent le ventre ?
Foutaises ! Tu crèves et tu le sais
Étourdie
Elle quête à vos lèvres
Le goût d'une rémission
S'attarde
Le temps d'une imposture
Entre vos bras brûlants
Se couche
Chaude et docile
Sous vos corps trop pressés
Et sous vos bouches avides
Qui bâclent agacées
Quelques lèchements tristes.
Et vous
Aveugles insouciants
Vous consommez ce ventre
Et sa moiteur obscène
Pétrissez sa détresse
Et cueillez en vainqueurs
Les noirs gémissements
De son plaisir blessé.
Et quand le rose tendre
Du jour qui ressuscite
Arrose de lumière
Vos yeux vides et lâches
Suant la dérobade...
Comme à chaque naufrage
Elle s'écorche au silex
De votre indifférence
Et rit de toute une gorge
Pour ne pas en mourir.
« Bye, bye, chéri... »
Alors, puisque c'est demandé si gentiment, voici la version actualisée de ce texte :
Amor à mort
Voyez celle
Par qui le scandale arrive
Sensuelle
Impudique et lascive
Elle habite son corps
Comme une aristocrate
Arrogante et déchue,
Hante les rues blafardes
Sur le tranchant luisant
De ses nuits disloquées,
Se perfuse - anémique -
À vos caresses fades
Distraitement singées.
Aucun fil à la patte
N'entrave la noyade
De sa chaloupe triste
Libre ?
Amor, amor
Dis-moi, tu t'imagines
En grignotant des bras
Les mirages des autres
Et en offrant tes cuisses
Au désir anonyme
Combler ce trou béant
Qui hurle ses pourquoi
Assassiner les rats
Qui te bouffent le ventre ?
Foutaises ! Tu te noies, tu le sais
Voyez toutes
Douces et tièdes épouses
Légitimes femelles
Voyez-la
Avide et licencieuse
Qui agrippe des yeux
Vos maris démariés
Le temps d'une lampée
Accolés
Comme de vieux papillons
Au néon terne et glauque
De sa danse grotesque.
Succube anéantie
Elle
Va et vient
Caresse des prunelles
Leurs bas-ventres tendus
Et roule sous les doigts
Affamés et joufflus
De leurs ombres voraces
Désirée ?
Amor, amor
Dis-moi, tu t'imagines
En jetant ta détresse
Dans ces mains sans visages
Et en ouvrant ton sexe
À ces fantômes nus
Combler ce trou béant
Qui grouille de pourquoi
Assassiner les rats
Qui t'infestent le ventre ?
Foutaises ! Tu crèves et tu le sais
Étourdie
Elle quête à vos lèvres
Le goût d'une rémission
S'attarde
Le temps d'une imposture
Entre vos bras brûlants
Se couche
Chaude et docile
Sous vos corps trop pressés
Et sous vos bouches avides
Qui bâclent agacées
Quelques lèchements tristes.
Et vous
Aveugles insouciants
Vous consommez ce ventre
Et sa moiteur obscène
Pétrissez sa détresse
Et cueillez en vainqueurs
Les noirs gémissements
De son plaisir blessé.
Et quand le rose tendre
Du jour qui ressuscite
Arrose de lumière
Vos yeux vides et lâches
Suant la dérobade...
Comme à chaque naufrage
Elle s'écorche au silex
De votre indifférence
Et rit de toute une gorge
Pour ne pas en mourir.
« Bye, bye, chéri... »
Re: Amor Amor
Moi aussi, j'ai lu en premier la version actualisée sur ton blog.
J'aime beaucoup ce refrain, je trouve qu'il "passe" très bien dans le poème, mieux que ça même : ce "Assassiner les rats" est très fort. Et cette façon de l'apostropher, de lui parler, lui donne vie, valeur, et beauté. Tu lui parles avec tendresse, tu nous la fais connaitre, autrement.
J'ai adoré.
Messaline
J'aime beaucoup ce refrain, je trouve qu'il "passe" très bien dans le poème, mieux que ça même : ce "Assassiner les rats" est très fort. Et cette façon de l'apostropher, de lui parler, lui donne vie, valeur, et beauté. Tu lui parles avec tendresse, tu nous la fais connaitre, autrement.
J'ai adoré.
Messaline
Messaline- MacadAccro
- Messages : 635
Date d'inscription : 29/08/2009
Age : 66
Localisation : Dans une étagère
Re: Amor Amor
J'ai préféré d'autres textes de toi !
H.
H.
hortense- MacadAccro
- Messages : 832
Date d'inscription : 19/09/2009
Re: Amor Amor
ce n'est pas la longueur et encore moins le propos qui m'ont gênés, j'aime cette rage poétique parfumée de règlements de compte...
je trouve seulement la longueur des vers trop courtes et du coup ce texte devient scandé, ce qui pour moi lui enlève pas mal de force (pourquoi se prendre la tête avec cette bon dieu de métrique...)
une idée un verre, une idée une claque, une idée un vers.
amitiés Loic dixit meaban...
je trouve seulement la longueur des vers trop courtes et du coup ce texte devient scandé, ce qui pour moi lui enlève pas mal de force (pourquoi se prendre la tête avec cette bon dieu de métrique...)
une idée un verre, une idée une claque, une idée un vers.
amitiés Loic dixit meaban...
Re: Amor Amor
J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Seizième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...
Dédé.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...
Dédé.
_________________
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
Re: Amor Amor
J'ai apprécié les deux versions (une comme l 'autre ne donnait de leçons à personne) et j'ai pris le refrain exactement comme dans une chanson , cette répétition au contraire me plaisait assez...
printemps d'avril- MacadMalade
- Messages : 357
Date d'inscription : 09/01/2011
Age : 67
Localisation : québec au québec
Re: Amor Amor
Un coup dans le mur qui ne date pas d'hier
Ratoune- MacadAccro
- Messages : 1891
Date d'inscription : 01/09/2009
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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