Au suivant...

Sur une proposition d'Ysaé qui n'ose pas commencer...

Un vers ici, pour un poème en construction à poursuivre (un seul vers par contribution) en alexandrin, charge à chacun de reprendre tout depuis le début...
Je reviendrai de temps en temps pour collationner et compiler.

La lune qui se prend pour le nombril du monde
...

Nilo, au suivant.

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
a oublié qu'elle-même se doit de suivre une ronde

Yzaé ( avec un Z comme Zlatko le baptiseur )

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
a oublié qu'elle-même se doit de suivre une ronde ( alexandrin là ? )
Eternelle est la boucle enroulée sur elle-même

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
a oublié qu'elle-même se doit de suivre une ronde ( alexandrin là ? )
Eternelle est la boucle enroulée sur elle-même 13 ?
qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime

(pour retomber sur nos pieds je propose deux trois petits graissages de pignons)

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l' aime

Voilà, le chef d'atelier est passé remettre tout ça d'aplomb (ce qui m'a évité d'avoir à mettre les mains dans le camboui).
Nous en sommes donc à :

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l' aime

Nilo, reprenons.

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l' aime

Et son croissant lumière , sourire de Joconde

Non, ce serait trop facile !
continuons donc, en respectant les règles que tu as établies toi-même.

Nous en étions là :

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime

Et son croissant lumière, sourire de Joconde

Et j'y vais d'une nouvelle contribution, après une petite réparation.

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière immonde

Nilo, ...

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière immonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne

Swann, dur dur la poésie...

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière inonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne
c'est elle qui allume les soleils a la ronde

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière inonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne
C'est elle qui allume une étoile Gorgone. (*)

La nuit met un faux col aux habits de lumière
_____________________________________________

Je me suis permis de rétablir une rime au dernier vers de Lalou, qu'elle veuille bien me pardonner...

c'est pas la peine d'écrire en petit Nilo !! je t'ai vu !

lol...

t'as bien fait ! j'y arrivais pas du tout.....

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière inonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne
C'est elle qui allume une étoile Gorgone. (*)

La nuit met un faux col aux habits de lumière
Essouffle au firmament les voiles familières

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière inonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne
C'est elle qui allume une étoile Gorgone.

La nuit met un faux col aux habits de lumière
Essouffle au firmament les voiles familières
Dans un vent de folie qui fait tourner les têtes

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Eternelle est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière inonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne
C'est elle qui allume une étoile Gorgone.

La nuit met un faux col aux habits de lumière
Essouffle au firmament les voiles familières
Dans un vent de folie qui fait tourner les têtes,
Déchaîne des tourments qui font hurler les bêtes.

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Éternelle* est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière inonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne
C'est elle qui allume une étoile Gorgone.

La nuit met un faux col aux habits de lumière
Essouffle au firmament les voiles familières
Dans un vent de folie qui fait tourner les têtes,
Déchaîne des tourments qui font hurler les bêtes.

Des sons froissant le ciel où l'orage se cabre
Visages excavés dont les yeux se délabrent

Mes line * j'aime bien les accents sur les majuscules

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Éternelle* est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière inonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne
C'est elle qui allume une étoile Gorgone.

La nuit met un faux col aux habits de lumière
Essouffle au firmament les voiles familières
Dans un vent de folie qui fait tourner les têtes,
Déchaîne des tourments qui font hurler les bêtes.

Des sons froissant le ciel où l'orage se cabre
Battent la démesure au front du métronome (*)

* J'ai remplacé le dernier vers de Messaline par celui-ci puisque la règle, je le rappelle est : un vers par contribution.

Nilo, si j'puis m'permettre ...
il aurait fallu une rime en " abre "
mais tu vas nous arranger tout ça ...
c'est dommage, t'aimes bien les métronomes !
Yzaé, maniaque

Bon d'accord, je change ça.
Mais justement j'avais envie de prendre un peu de liberté avec la tournure que commençait à prendre cette affaire.
OK, je m'y colle.

Nilo, rime en quoi ?

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Éternelle* est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière inonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne
C'est elle qui allume une étoile Gorgone.

La nuit met un faux col aux habits de lumière
Essouffle au firmament les voiles familières
Dans un vent de folie qui fait tourner les têtes,
Déchaîne des tourments qui font hurler les bêtes.

Des sons froissant le ciel où l'orage se cabre
Tocsinnent aux clochers de Toscane en Calabre

Bon, on va le finir.
J'ai apporté, par-ci, par-là, quelques petites retouches, fait de minuscules raccords et lustré le tout à la peau de chamois.
Maintenant il est temps de livrer.


La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Éternelle* est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière inonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne
C'est elle qui allume une étoile Gorgone.

La nuit met un faux col aux habits de lumière
Et souffle au firmament ses voiles familières
Dans un vent de folie qui fait tourner les têtes,
Déchaînant des tourments qui font hurler les bêtes.

Des sons froissent le ciel et l'orage se cabre,
Aux visages cavés dont les yeux se délabrent
Posant sur les contours des ombres sur le sol
Comme le nœud qui vient pour leur serrer le col.


C'est fini, qu'on se le dise.

c'est fini, et bien fini ...
alors, au suivant !!!!

La lune qui se prend pour le nombril du monde,
A oublié pourtant de survivre à la ronde
Éternelle* est la boucle enroulée d'elle-même
Qui doit comprendre alors sans savoir que je l'aime.

Son croissant de sourire emprunte à la Joconde
Comme un reste d'ennui qu'une lumière inonde
Et dans ce ciel obscur où ma raison frissonne
C'est elle qui allume une étoile Gorgone.

La nuit met un faux col aux habits de lumière
Essouffle au firmament les voiles familières
Dans un vent de folie qui fait tourner les têtes,
Déchaîne des tourments qui font hurler les bêtes.

Des sons froissant le ciel où l'orage se cabre
Visages excavés dont les yeux se délabrent
des mots terrés disent un silence encore

...il était fini Ormuzd...

Il fallait donc en commencer un autre ...

BOn ben j'me lance, je met un truc comme ça hein...




Voilà :
"Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller"




Si vous voulez pimenter le truc, vous pouvez placer deux vers sur chaque ligne : lame, oreiller.

Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller
A vos côtés une femme gisant assassinée