Au suivant...

Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller,
A vos côtés une femme gisant assassinée
et la marque de l'islam, comme l'on puis remarquer,

bonne chance au suivant

Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller,
A vos côtés une femme gisant assassinée
et la marque de l'islam, comme l'on puis remarquer,
Le bourrage de crane à l'odeur nationale ne t'as pas épargné.

hum....ça part en vrille...

spandrell a écrit:Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller,
A vos côtés une femme gisant assassinée
et la marque de l'islam, comme l'on puis remarquer,
Le bourrage de crane à l'odeur nationale ne t'as pas épargné.

ne t'ont pas épargné

"Ne t'as pas épargné" Désolé mais il n'y a qu'un seul sujet, le bourrage de crane

Swann,

Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller,
A vos côtés une femme gisant assassinée
et la marque de l'islam, comme l'on puis remarquer,
Le bourrage de crane à l'odeur nationale ne t'as pas épargné.

Vous trouverez une raison cachée derrière ses mots
A vos sombres dessins qui sonnent bien trop faux

Swann a écrit:"Ne t'as pas épargné" Désolé mais il n'y a qu'un seul sujet, le bourrage de crane

Swann,

Ah oui, j'avais lu "Le bourrage de crane ET l'odeur nationale ne t'as pas épargné."

pheukiou a écrit:

Swann a écrit:"Ne t'as pas épargné" Désolé mais il n'y a qu'un seul sujet, le bourrage de crane

Swann,

Ah oui, j'avais lu "Le bourrage de crane ET l'odeur nationale ne t'as pas épargné."

(il) ne t'a pas épargné

et faudra jeter un oeil à la boîte et refaire aussi la distribution

il suffit que j'aille pisser et c'est le bordel dans l'atelier...

Pareil que moi, dès que j'quitte le clandé c'est le bordel, j'te raconte pas la zone à mon r'tour.
Putain, patron c'est pas un job de tout repos.

Dédé.

Lalou a écrit:Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller,
A vos côtés une femme gisant assassinée
et la marque de l'islam, comme l'on puis remarquer,
Le bourrage de crane à l'odeur nationale ne t'as pas épargné.

Vous trouverez une raison cachée derrière ses mots
A vos sombres dessins qui sonnent bien trop faux

Sinon vous trouverez voilé
Le hasard impérieux qui n'épargne personne
Ni la raison ni la beauté volées
Par quelques gardiens aveugles que le ciel abandonne
Au vide.

Ailleurs et loin de tout
On pouvait voir,
Un fusil planté comme un obstacle sur les dunes du Sinaï, la nebka lui fait un promontoire comme le socle d'une statue, mais une statue de sable. Ce trophée a déjà trop fait parler de lui.

Mystère Périodique
Synodique sadique
Rire sardonique
Va en clinique
Voir ta clique
Phallique
Quouic !

*

Promis, avant la fin du WE j'aurais mis une suite à cette nouvelle avancée proposée par Lalou.

Nilo, cochon qui s'en dédit.

Je suis hors règles (à cause de Ratoune..) Mais qu'à cela ne tienne, peut-être accepteras-tu, Nilo, de laisser mon post en préambule de ce poème que je qualifierait d'"actualité" (y'a-t-il un terme plus approprié ?)

En souvenir de Victor Hugo quand il rentre en 1870, au seuil de la vieillesse, quittant la terre d'exil, il écrit l' "Année terrible". Ses vers paraissent dans les journaux, ils sont lus et récités partout, apportant un grand secours moral et matériel (leur produit est consacré à la fonte des cannons, à l'équipement des compagnies de marche et aux victimes de la guerre.
En face de l'invasion, dans les heures tragiques, alors que les nouvelles alarmantes étreignent d'angoisse tous les cœurs, il jette ce cri sublime : "Je n'ai jamais connu l'art de désespérer".

Vers admirable qui sera le viatique du soldat au moment du danger. Toute son énergie, toute sa foi dans les destinées de la patrie, il les dépense à flétrir l'œuvre de dévastation, de carnage, de violation du droit des gens dont les hordes allemandes donnent de si lamentables et si cruels exemples. Aujourd'hui les mêmes atrocités se renouvellent avec des raffinements de tortures et de crimes contre l'humanité.

Extrait de la préface de PRO PATRIA, Gustave Simon, Mai 1915.


L'Art au service de l'Homme dans ces moments de flottement où la folie n'est pas très loin, de le voir capituler - chèvre, mouton, capon : gare !

*

Lalou a écrit:
Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller,
A vos côtés une femme gisant assassinée
et la marque de l'islam, comme l'on puis remarquer,
Le bourrage de crane à l'odeur nationale ne t'as pas épargné.

Vous trouverez une raison cachée derrière ses mots
A vos sombres dessins qui sonnent bien trop faux
___________________________

Et si on a raté, on repasse en blanc, (dit le marmot)
Tu sais : la vérité dans la bouche des enfants.


D...

Mais bien sûr Dam.

Nilo, pas contrariant.

euh juste pour info, c'est pas moi qui ai lancé le "truc" , c'est Pheukiou , j'ai juste mis les 2 derniers comme tout le monde!!

Ben oui, c'est bien ce que je disais.

Nilo, précision.

Je le sais bien Lalou... L'atelier est un lieux foisonnant de doutes et idées, de pensées bonnes et mauvaises, de tout un tas de choses que j'ai tenté d'exprimer aussi en marge de l'exercice principal de poésie. Pourtant, sans le croire utile, cela me semble important.

Dam, ça n'engage que moi.

_____________________________________
*et puis je devais me racheter après mon faux pas "comique"

Bon, c'est vrai que je suis pas mal en retard mais c'est de la faute aux grumeaux dans les tuyaux internet par chez moi.

Alors je reprends à la suite de Lalou...
_____________________________________________

Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller,
A vos côtés une femme gisant assassinée
et la marque de l'islam, comme l'on puis remarquer,
Le bourrage de crane à l'odeur nationale ne t'as pas épargné.

Vous trouverez une raison cachée derrière ses mots
A vos sombres dessins qui sonnent bien trop faux

Vous trouverez aussi, pour peu que vous cherchiez,
Une rose fanée au pied du lit défait
Sous le drap de soie blanche accroché aux épines
D'où perlera le sang d'un Dieu qu'on assassine.

Nilo, à suivre.

Et alors, personne ne vient en remettre une couche ?
A quoi ça sert que Papy y se décarcasse à la suite de Dam ?
Vous êtes pas joueurs ou quoi ?

Dédé.

Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller,
A vos côtés une femme gisant assassinée
et la marque de l'islam, comme l'on puis remarquer,
Le bourrage de crane à l'odeur nationale ne t'as pas épargné.

Vous trouverez une raison cachée derrière ses mots
A vos sombres dessins qui sonnent bien trop faux

Vous trouverez aussi, pour peu que vous cherchiez,
Une rose fanée au pied du lit défait
Sous le drap de soie blanche accroché aux épines
D'où perlera le sang d'un Dieu qu'on assassine.

Il vous faudra alors être bien perspicace
faire preuve de courage et ne pas être lâche.

Quand décide t'ont de la fin d'un texte ?

Vous trouverez une lame planquée sous l'oreiller,
A vos côtés une femme gisant assassinée
et la marque de l'islam, comme l'on puis remarquer,
Le bourrage de crane à l'odeur nationale ne t'as pas épargné.

Vous trouverez une raison cachée derrière ses mots
A vos sombres dessins qui sonnent bien trop faux

Vous trouverez aussi, pour peu que vous cherchiez,
Une rose fanée au pied du lit défait
Sous le drap de soie blanche accroché aux épines
D'où perlera le sang d'un Dieu qu'on assassine.

Il vous faudra alors être bien perspicace
Faire preuve de courage et ne pas être lâche
Car la fin viendra bien à l'heure du trop tard
Ecrire un dernier mot au verso du buvard.

Nilo, Fin. (A moins que...)

Il rêvait son retour : "Quand les hommes seront grands."

up

Oh putain !
Presque un an que personne n'avait rien posté ici.
Et voici que Pheukiou, notre spécialiste des trucs décalés nous le réanime.
Bravo Pheuk... Au moins un qui s'intéresse.

Nilo, bravo.