Echec

Ne bouge plus ! Regarde toi !
Au soir de ta vie tu es aux abois
Alors tu allumes des feux de joie
Dans tes brumes quand tu te noies

Regarde toi singer ton « moi »
Luisant de sueur que lèche
La lueur de ces flammèches
Maintenant que tu es sur la brèche.

Laisse ton « moi » parler de toi.
Bien sûr sans le crier sur les toits
Juste le confier à qui de droit
C'est-à-dire…à toi.

Alors sous cette fausse lumière
Il se gausse de façon cavalière
Sur sa vie ratée.
Il voulut être roi pour une reine
Voulut, de Troie ramener Hélène
Et tant d’autres choses
Sorties de son paysage morose.
Il se regarda surpris
Par un flagrant délit
De croire à son miroir
Qui un soir l’a laissé choir.
Encore une bonne rasade
Avant qu’un rire en cascade
Ne s’achève sur des pleurs.
Echec.

J'ai lu. Jusqu'au bout. Mais j'ai du me forcer un peu.
Ces rimes répétitives et souvent forcées à mon sens sont lourdes et nuisent à ce que ce texte pourrait avoir de fluidité si tu avais libéré la parole (l'écrit ?), au profit du fond et du sens.

Nilo, et mat.

Je suis d'accord avec Nilo.
Tes rimes laissent une impression de forcé et ça alourdit l'ensemble.
J'aurais envie de dire : lâches- toi!

Bonjour,
Nilo, Lalou,
Merci pour vos commentaires
Pour une première...c'est raté alors, désolé...
Consolation perso........."le titre" comme prémonitoire
Bel après midi

Ne présageons pas de la suite....

Nilo, à suivre.