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Pose Stressing
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Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
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Pose Stressing
Pose Stressing
(Après la pose stretching)
- Je regrette, je regrette...
- Si ça t’intéresse plus au moment où ça devient passionnant... Si ça t’fait peur.
- C’est pas qu’ça m’fait peur, dit-elle
- Alors c’est quoi, dis-le !
- Non, je ne peux pas...
Violence ou absence... Silence - je n’avais pas le choix - pitié -, silence !
- Ah, je vois, tu ne peux pas... (silence)
Violence ou absence, silence...
- Mais non, je t’en prie, c’est pas qu’ça, dit-elle encore - y’a plus que ça.. j’sais pas moi ?
Tu vois que toi, c’est ça - tu vois que toi et tu te fous bien de ce que je peux éprouver - c’est tout !
- C’est faux, reprit Viral - tu le sais bien, ce que j’éprouve pour toi... C’EST FAUX ! Et puis pour ce qui est de ne “regarder que moi”, je crois que la discussion peut s’arrêter là - elle porte sur un sujet qui ne me regarde plus - à des lustres... C’est toi ! c’est toi au tréfonds de toi avec de l’avant, du pendant et de l’après. Du toujours. C’est toi que je veux. Moi, je m’en contre fous de moi, dans l’histoire !
- C’est faux. Non, dit le modèle - c’est pas vrai - tu as parlé de cadres tout à l’heure ?...
- C’est juste. Ce soir sur la grève. Mais c’était à propos du pay-sage ; c’est toi qui me demandais la différence entre les deux mots : Nature et Cadre...
- Mais non, s’énerva-t-elle, (comme elle avait tenu bon au fil).
Tu sais très bien ; tout à l’heure tu m’as dis que si tu avais deux grands cadres, tu mettrais de suite ces deux grands dessins au mur, sans hésiter - pour toi ! Et c’est bien pour te montrer un peu, dis moi ? Mais moi, je te répète et j’insiste que je n’y tiens pas - que tu montres ça de moi - comme ça : cette bague.. ce doigt.
- Bien, c’est bien ce que je pensais, dit Viral. Tu refuses le travail et mon évolution.
Il sourit gravement en la regardant, plein d’hésitation, levant des yeux froids sur elle, pour masquer sa crainte, aussi froid qu’il pû, si bien, si froids qu’ils trahissaient son propre Et-Moi, montrant avec d’autant plus de force qu’en fait, il pensait autrement : “ Elle est super jalouse ! ”
Elle n’était pas jalouse. Mal interprété, pensa Viral, trop tard, en hochant la tête ; Elle est admirable : comme la nature... comme un pied ! Ce qu'elle ne pouvait pas me dire, c'est que peut-être on n'est pas forcément attiré par les choses qu'on aime ; on fera mieux la prochaine fois.
Ça tombe mal quand même.. avec Paxa, ça tombe mal - qu’est-ce que j’ai fait ?...
- “ ... Rien ! Tu n’as rien fait, fit-elle, joyeusement ironique - c’est de ma faute en plus ! Toi, tu t’en sors bien, encore une fois. Comme toujours.
- Ne crois pas ça, Paxa. Tu vois pas dans quel état ça m’met, cette histoire - un vrai coup d’Étart ! Je ne te demande pas la lune !
Violence ou fuite, il fallait choisir - silence !
La fille préféra garder le silence, où tout simplement n’avait-elle rien à répondre là ; elle se contenta de tourner les talons pour aller faire un tour.
Viral, lui, s’était vidé et pouvait regarder avec calme tout autour de lui - mais il manquait quelque chose à ce décor-désordre de tubes, de gadgets tue-temps, et de toiles punaisées au mur lambrissé.
Il manquait... et il rêvait d’une fille dans le Sud avec lui. Peut-être même d’elle, la même : Paxa - la même... ou plutôt une autre : la même autrement...
Au bout d’un quart d’heure qui lui paru une éternité, Paxa rentra en claquant involontairement la porte (car le mistral venait de se lever).
Elle fit tant de manières pour faire oublier son entrée (qu’elle voulait discrète en coup de vent), qu’elle m’appela : “ Vite ! vient vite - Regarde. ”
En une seconde je fus derrière elle.
Elle pointa son doigt vers le ciel - le grand cèdre déchiré, destroy, par les rafales de vent n’était plus majestueux du tout à mes yeux. Mais derrière ce gribouillis, tel un hublot de sous-marin éclairé dans le noir de l’océan, la lune.
Je restai un moment sans rien dire, à observer...
Mais je délire ! on est à Paris !!!
Un tant soit peu troublé alors, je pris mon plus bel air piteux pour dire : “ Oui, c’est la pleine lune. ”
- Tiens, pas étonnant, s’exclama t-elle en raillant : “ Ce soir, c'était la Pleine Lune ! ”
Mais la nuit porte conseil...
- Fais de beaux rêves.
*
Bien plus tard dans son rêve, il sortira et il verra un croissant de lune tout mince, comme un ongle sur la table. Il se voyait aussi, sur une plage déserte, avec des montagnes d'algues, lui avec elle, seuls tous les deux autour d'un feu d'enfer - parce que je t'aime toujours et que tu n'es jamais là : je souffre toujours.
Et bien, je vais souffrir au soleil dans le Sud - loin d'ici loin de tout - et me noyer au large de la grosse bouée jaune - sous les algues que les dernières tempêtes auront amassées sur la plage.. Incompréhensible.. c'est impossible !
“ Oui... et bien non ! c'est clair : il y a un monde tranquille et juste, sous les algues - plus tard, quand on m'aura retrouvé, demain s'il faut, je serai enfoui là, sous les algues, au fond de la mer. ”
*
Il se réveilla en sursaut, et les gouttes qui perlaient sur son front brûlaient ses yeux, laissant un goût salé dans sa gorge desséchée.
“ Tu comprends que j'ai envie de faire des choses neuves, mais qu'il faut finir ça avant et que cela me presse.
. . . Et la dessus, il y a des histoires de coeur, des amis qui passent, qui. .
Surtout qui partent !
Démon de la solitude, D. S. - AU SECOURS !
silence. . .
“ Non, c'est dur... C'est très dur.
On ne peut pas te demander d'écrire.
“ Personne ne me demande ! Qui est passé aujourd'hui : je ne m'y attendais pas ... La chose n'est pas passée - n'est pas digérée - et alors ?...
Il faut que tu l'écrives, c'est tout - vas-y - te pose pas d'questions, personne ne te demande, c'est vrai. Je ne suis pas une personne, ma parole ! Je suis une Force.
“ Ça tombe bien, que je suis faible en ce moment, j'ai besoin de forces - aide-moi - dicte- moi...
Mais qui te dit que ça n'est pas un piège ?
“ C'est toi qui fait tout maintenant - un piège, une chance - mais dans les deux cas, c'est sur toi que ça tombe. Responsable. N'oublie pas, c'est toi.. c'est toi qui commande. T'as mis du temps à le comprendre, mais moi, je te rappelais à l'ordre sans cesse, pour te donner ta chance, parce que je crois en toi, moi, Ta Force - mais tu dois croire en moi avant tout et surtout, tu dois faire ce que je te dis et c'est tout. ”
Celui qui t'aime n'est pas humain, il n'est pas né encore : c'est une force.
C'est "moi”, crois-y - avance, allez !
Va de l'avant ; maintenant tu as commencé d'écrire, mais donne toi au monde - donne tout ce soir, ce qui t'accable te nuit, t'empêche, te bouffe dans le noir - décharge ta haine et tes sanglots : défonce toi.
Ravale tes sanglots et décharge tes armes, défonce toi. Fait ça pour moi et... je te donnerai ce qu'il te faut : LA FORCE.
Tu ne peux rien attendre des humains pour ce que tu veux faire, et ce que tu es... Crois-moi, avec eux tu perdras ton temps.
Je suis seul à pouvoir t'aider. Je suis La Force qu'il te manque, tu n'as pas le choix - regarde toi !...
Vraiment tu n'as pas le choix.
Après, on pourra t'aimer - très fort - mais sans m'avoir suivi avant, personne ne t'aimera jamais.. jamais !
“ personne ?
Ton histoire alors, c'est quoi ?
“ C'est ça, mon histoire, tout compte fait. C'est tout à fait ça.
Non !
“ Oui.. après, si on veut, je peux me répéter et ça sera moins bien - je peux dire cent fois la même chose aussi et ça sera ridicule, cent fois ridicule - et là, plus personne ne m'aimera jamais ! mais par ce que moi, je crois encore...
Oui, d'accord, c'est juste - vas y, tu as raison, parle, je t'écoute.
“ La vie.. ne donnera rien sans ça, ce que je fais.. écrire, peindre - c'est sûr.
Non ! Tu te trompes ; pas encore en tout cas - tu n'es pas prêt encore - tu as déjà beaucoup fait et regarde-toi, ce qui t'arrive, c'est beau !
Alors, tu racontes ?
Tu la ponds ton histoire ? !
... Comme on te le demande ; comme on est six milliards à te demander !
“ Ah, non alors, j'y crois pas - c'est un piège !
“ Canular du soir, bon ciel ”. Ah, Ah !!!
- Je savais bien aussi - j'avais reconnu la voix : c'était la mienne.
*
Voila. J'aurai pas tenu longtemps la chandelle au Messi "Ménon"; pas assez longtemps pour lui brûler les pieds et qu'elle décharge enfin, à bout de souffle, tout ce qu'elle a sur moi - toute sa haine.
Dam.
(Après la pose stretching)
- Je regrette, je regrette...
- Si ça t’intéresse plus au moment où ça devient passionnant... Si ça t’fait peur.
- C’est pas qu’ça m’fait peur, dit-elle
- Alors c’est quoi, dis-le !
- Non, je ne peux pas...
Violence ou absence... Silence - je n’avais pas le choix - pitié -, silence !
- Ah, je vois, tu ne peux pas... (silence)
Violence ou absence, silence...
- Mais non, je t’en prie, c’est pas qu’ça, dit-elle encore - y’a plus que ça.. j’sais pas moi ?
Tu vois que toi, c’est ça - tu vois que toi et tu te fous bien de ce que je peux éprouver - c’est tout !
- C’est faux, reprit Viral - tu le sais bien, ce que j’éprouve pour toi... C’EST FAUX ! Et puis pour ce qui est de ne “regarder que moi”, je crois que la discussion peut s’arrêter là - elle porte sur un sujet qui ne me regarde plus - à des lustres... C’est toi ! c’est toi au tréfonds de toi avec de l’avant, du pendant et de l’après. Du toujours. C’est toi que je veux. Moi, je m’en contre fous de moi, dans l’histoire !
- C’est faux. Non, dit le modèle - c’est pas vrai - tu as parlé de cadres tout à l’heure ?...
- C’est juste. Ce soir sur la grève. Mais c’était à propos du pay-sage ; c’est toi qui me demandais la différence entre les deux mots : Nature et Cadre...
- Mais non, s’énerva-t-elle, (comme elle avait tenu bon au fil).
Tu sais très bien ; tout à l’heure tu m’as dis que si tu avais deux grands cadres, tu mettrais de suite ces deux grands dessins au mur, sans hésiter - pour toi ! Et c’est bien pour te montrer un peu, dis moi ? Mais moi, je te répète et j’insiste que je n’y tiens pas - que tu montres ça de moi - comme ça : cette bague.. ce doigt.
- Bien, c’est bien ce que je pensais, dit Viral. Tu refuses le travail et mon évolution.
Il sourit gravement en la regardant, plein d’hésitation, levant des yeux froids sur elle, pour masquer sa crainte, aussi froid qu’il pû, si bien, si froids qu’ils trahissaient son propre Et-Moi, montrant avec d’autant plus de force qu’en fait, il pensait autrement : “ Elle est super jalouse ! ”
Elle n’était pas jalouse. Mal interprété, pensa Viral, trop tard, en hochant la tête ; Elle est admirable : comme la nature... comme un pied ! Ce qu'elle ne pouvait pas me dire, c'est que peut-être on n'est pas forcément attiré par les choses qu'on aime ; on fera mieux la prochaine fois.
Ça tombe mal quand même.. avec Paxa, ça tombe mal - qu’est-ce que j’ai fait ?...
- “ ... Rien ! Tu n’as rien fait, fit-elle, joyeusement ironique - c’est de ma faute en plus ! Toi, tu t’en sors bien, encore une fois. Comme toujours.
- Ne crois pas ça, Paxa. Tu vois pas dans quel état ça m’met, cette histoire - un vrai coup d’Étart ! Je ne te demande pas la lune !
Violence ou fuite, il fallait choisir - silence !
La fille préféra garder le silence, où tout simplement n’avait-elle rien à répondre là ; elle se contenta de tourner les talons pour aller faire un tour.
Viral, lui, s’était vidé et pouvait regarder avec calme tout autour de lui - mais il manquait quelque chose à ce décor-désordre de tubes, de gadgets tue-temps, et de toiles punaisées au mur lambrissé.
Il manquait... et il rêvait d’une fille dans le Sud avec lui. Peut-être même d’elle, la même : Paxa - la même... ou plutôt une autre : la même autrement...
Au bout d’un quart d’heure qui lui paru une éternité, Paxa rentra en claquant involontairement la porte (car le mistral venait de se lever).
Elle fit tant de manières pour faire oublier son entrée (qu’elle voulait discrète en coup de vent), qu’elle m’appela : “ Vite ! vient vite - Regarde. ”
En une seconde je fus derrière elle.
Elle pointa son doigt vers le ciel - le grand cèdre déchiré, destroy, par les rafales de vent n’était plus majestueux du tout à mes yeux. Mais derrière ce gribouillis, tel un hublot de sous-marin éclairé dans le noir de l’océan, la lune.
Je restai un moment sans rien dire, à observer...
Mais je délire ! on est à Paris !!!
Un tant soit peu troublé alors, je pris mon plus bel air piteux pour dire : “ Oui, c’est la pleine lune. ”
- Tiens, pas étonnant, s’exclama t-elle en raillant : “ Ce soir, c'était la Pleine Lune ! ”
Mais la nuit porte conseil...
- Fais de beaux rêves.
*
Bien plus tard dans son rêve, il sortira et il verra un croissant de lune tout mince, comme un ongle sur la table. Il se voyait aussi, sur une plage déserte, avec des montagnes d'algues, lui avec elle, seuls tous les deux autour d'un feu d'enfer - parce que je t'aime toujours et que tu n'es jamais là : je souffre toujours.
Et bien, je vais souffrir au soleil dans le Sud - loin d'ici loin de tout - et me noyer au large de la grosse bouée jaune - sous les algues que les dernières tempêtes auront amassées sur la plage.. Incompréhensible.. c'est impossible !
“ Oui... et bien non ! c'est clair : il y a un monde tranquille et juste, sous les algues - plus tard, quand on m'aura retrouvé, demain s'il faut, je serai enfoui là, sous les algues, au fond de la mer. ”
*
Il se réveilla en sursaut, et les gouttes qui perlaient sur son front brûlaient ses yeux, laissant un goût salé dans sa gorge desséchée.
“ Tu comprends que j'ai envie de faire des choses neuves, mais qu'il faut finir ça avant et que cela me presse.
. . . Et la dessus, il y a des histoires de coeur, des amis qui passent, qui. .
Surtout qui partent !
Démon de la solitude, D. S. - AU SECOURS !
silence. . .
“ Non, c'est dur... C'est très dur.
On ne peut pas te demander d'écrire.
“ Personne ne me demande ! Qui est passé aujourd'hui : je ne m'y attendais pas ... La chose n'est pas passée - n'est pas digérée - et alors ?...
Il faut que tu l'écrives, c'est tout - vas-y - te pose pas d'questions, personne ne te demande, c'est vrai. Je ne suis pas une personne, ma parole ! Je suis une Force.
“ Ça tombe bien, que je suis faible en ce moment, j'ai besoin de forces - aide-moi - dicte- moi...
Mais qui te dit que ça n'est pas un piège ?
“ C'est toi qui fait tout maintenant - un piège, une chance - mais dans les deux cas, c'est sur toi que ça tombe. Responsable. N'oublie pas, c'est toi.. c'est toi qui commande. T'as mis du temps à le comprendre, mais moi, je te rappelais à l'ordre sans cesse, pour te donner ta chance, parce que je crois en toi, moi, Ta Force - mais tu dois croire en moi avant tout et surtout, tu dois faire ce que je te dis et c'est tout. ”
Celui qui t'aime n'est pas humain, il n'est pas né encore : c'est une force.
C'est "moi”, crois-y - avance, allez !
Va de l'avant ; maintenant tu as commencé d'écrire, mais donne toi au monde - donne tout ce soir, ce qui t'accable te nuit, t'empêche, te bouffe dans le noir - décharge ta haine et tes sanglots : défonce toi.
Ravale tes sanglots et décharge tes armes, défonce toi. Fait ça pour moi et... je te donnerai ce qu'il te faut : LA FORCE.
Tu ne peux rien attendre des humains pour ce que tu veux faire, et ce que tu es... Crois-moi, avec eux tu perdras ton temps.
Je suis seul à pouvoir t'aider. Je suis La Force qu'il te manque, tu n'as pas le choix - regarde toi !...
Vraiment tu n'as pas le choix.
Après, on pourra t'aimer - très fort - mais sans m'avoir suivi avant, personne ne t'aimera jamais.. jamais !
“ personne ?
Ton histoire alors, c'est quoi ?
“ C'est ça, mon histoire, tout compte fait. C'est tout à fait ça.
Non !
“ Oui.. après, si on veut, je peux me répéter et ça sera moins bien - je peux dire cent fois la même chose aussi et ça sera ridicule, cent fois ridicule - et là, plus personne ne m'aimera jamais ! mais par ce que moi, je crois encore...
Oui, d'accord, c'est juste - vas y, tu as raison, parle, je t'écoute.
“ La vie.. ne donnera rien sans ça, ce que je fais.. écrire, peindre - c'est sûr.
Non ! Tu te trompes ; pas encore en tout cas - tu n'es pas prêt encore - tu as déjà beaucoup fait et regarde-toi, ce qui t'arrive, c'est beau !
Alors, tu racontes ?
Tu la ponds ton histoire ? !
... Comme on te le demande ; comme on est six milliards à te demander !
“ Ah, non alors, j'y crois pas - c'est un piège !
“ Canular du soir, bon ciel ”. Ah, Ah !!!
- Je savais bien aussi - j'avais reconnu la voix : c'était la mienne.
*
Voila. J'aurai pas tenu longtemps la chandelle au Messi "Ménon"; pas assez longtemps pour lui brûler les pieds et qu'elle décharge enfin, à bout de souffle, tout ce qu'elle a sur moi - toute sa haine.
Dam.
Dernière édition par Dam le Jeu 13 Oct - 9:19, édité 1 fois
Re: Pose Stressing
Un nouveau "conte de la lune vague"...
franskey- MacadAccro
- Messages : 599
Date d'inscription : 23/03/2011
Re: Pose Stressing
Une histoire que j'ai envi d'appeler " silence" et qui n'est autre qu'une remise en question de soi même peut être?
J'aime beaucoup certaines images choisies comme la comparaison de la lune à un ongle sur la table.
L'amour non partagé qui pourtant l'est peut entrainer l'être dans l'aveuglement le plus total quand il cherche ce qu'il ne voit pas ou plus!
La tendresse et le partage ont une grande importance.
Ca m'a fait plaisir de retrouver tes pinceaux au coeur de ton écriture.
J'aime beaucoup certaines images choisies comme la comparaison de la lune à un ongle sur la table.
L'amour non partagé qui pourtant l'est peut entrainer l'être dans l'aveuglement le plus total quand il cherche ce qu'il ne voit pas ou plus!
La tendresse et le partage ont une grande importance.
Ca m'a fait plaisir de retrouver tes pinceaux au coeur de ton écriture.
Re: Pose Stressing
Merci vous deux. J’ai ouvert une fenêtre-plage sur de l’intime et du vécu cré-actif
Dam.
Dam.
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