ma soif !

Misères, vertiges !
La misère est dans ma bouche

Empire d’aujourd’hui ou « fronts de fer » ?

Révoltes adolescentes
Illusions des présents
Cela est rassasié !
La vie nouvelle….dans le cœur !

« Ma soif, ma soif ! »
Les désordres de la vue
Et les arrêts de cœur

Procession sous les lambris, dans les alcôves
Pour les nudités, crues, affamées

Les prémices de vie a deux, de vie avec la bêtise

Nous redevenons (in memoriam)
La foule, le ventre
La chaleur burlesque de la femme
L’orgie photographique des familles

Ici, la raison prend le pas des soirées !
Le désir : casus belli !

« Je voudrais casser la beauté dans ce qu’elle a de certain »

J'aime te lire dans ces formes courtes, concises, rares chez toi somme toute.

Nilo, satiété.

oui une poésie de bois vert
qui assèche certes mais flatte le flanc de la "crudité"

ez

Tiens, au cours d'une opération Missing j'ai trouvé ceci qui mérite largement de sortir du no man's land.

Nilo, hélitreuillage.

Une jolie découverte effectivement, qui ma parle et me porte.

Je ne l'avais pas vu ton poème Marc et je suis contente que Nilo l'est remis au grand jour car j'aime vraiment ta plume

Le dernier vers est un régal fort bien trouvé.

Sylvie

Ca c'est l'effet HEUREUX d'un coup dans le Mur à Dédé.

Nilo, jusqu'à plus soif.

c'est avec plaisir que j'ai relu ce poème où là encore j'ai flashé sur le dernier vers.

Un plaisir renouvelé. Tes écrits, Marc, ont la précision d’horloge dont le secret reste entier, bien gardé. Jalousement, je dirais.

Dam, quand ça sonne juste !