brume

la calculatrice se plait dans la matrice
virtuose de ces choses qui n'ont ni queue ni tête
amoureuse virtuelle elle en fait son rituel
encore,encore une fusion bercée d'illusion

changements d'optique sur un air psychédélique

retour de la vision de la peur à foison
la magie n'est plus,la grande chaine est rompue
celle es idées claire
la raison n'a pas de chaire

et quand plus de magie, la vie s'étiole sans boussoles

Il y a ici un sujet à explorer, une vision à décrypter... un monde nouveau émerge des limbes de la matrice, un monde inédit dans l'histoire de l'humanité. On commence à entrevoir des modes opératoires bien spécifiques derrière le rideau virtuel du Spectacle permanent. Nous pouvons d'ores et déjà affirmer qu'il existe une menace certaine pour tous les vivants. Ce poème méritait mieux dans la forme. L'utilisation de quelques facilités banales : ni queue ni tête ; bercée d'illusion est dommageable. Attention également aux fautes de frappe. Il faut être vigilant cela peut coûter...Il subsiste néanmoins une voix qui tente l'impossible aventure poétique et cet élan, dans la juste mesure des mots, est louable.