Mes moires de peau

.



.

Bon, je vois que personne n'a touché à ton poème et moi, je ne l'avais pas vu tellement il a coulé vite...mais je fouille toujours...

J'aime le titre et j'aime le dernier vers.

J'aime la présentation soignée qui donne du cachet à ce poème

"Jeunesse distillée
rire au creux du cou
aux plis des coudes
entre tissu et peau"

Pour ce passage, personnellement j'aurais mis un article devant "jeunesse"


"Sucs et lames de vie
chatouillis en la demeure
dont les velours intimes
défroissent les oripeaux"

Pour celui ci, je le trouve un peu dénudé au niveau des deux premiers vers alors que pour les deux autres, je les trouve très fort et fort bien travaillés.

J'ai lu ton poème comme une histoire dans une main.

Au plaisir

Sylvie

De ton poème je retiendrais ce passage :

"Jeunesse distillée
rire au creux du cou
aux plis des coudes
entre tissu et peau"

Cette "focalisation" intimiste sur les détails du corps me plait beaucoup.

Comme d'habitude Carmen...de jolies choses !

H.

Un doux parfum dans le sillage de ce poème...

Swann,

Merci pour vos lectures qui prolongent ce sillage parfumé.
Rien ne se perd, même le souvenir d'un parfum.