J'adore ce gars là, et cette chanson en particulier, avec bien d'autres... la chanson du maçon... etc...

J'étais là, à cette heure, avec ma clope même pas allumée puisque je ne pouvais fumer, obligé que j'étais de dire le texte, synchro... j'ai bien bandé, même si je connais par coeur.

Allez, maintenant : et dodo.

Tu me fais plaisir du coup j'm'en roule une et j'réécoute avant dodo

1967

Extrait de l'album "Toulouse"

"C'est ainsi que parlait sans un mot ce jeune homme
Entre le fleuve ancien et le fleuve nouveau
Où les hommes noyés nagent dans leurs autos.
C'est ainsi, sans un mot, que parlait ce jeune homme
Et moi l'oiseau-forçat, casseur d'amère croûte
Vers mon ciel du dedans j'ai replongé ma route,
Le long tunnel grondant sur le dos de ses murs
Aspiré tout au bout par un goulot d'azur
Là-bas brillent la paix, la rencontre des pôles
Et l'épée du printemps qui sacre notre épaule"

Quel texte!

Moi j'écoute souvent ses chansons car j'aime ses textes

Merci Splandrell

Sylvie

Tu as bien fait de mettre ça dans la machine.
D'abord parce que c'est une belle chanson, ensuite parce que c'était un pote et que ça me touche particulièrement.

Nilo, mais Paris.

Nilo a écrit:Tu as bien fait de mettre ça dans la machine.

J'ai mis en marche la machine,
poussé la fièvre au maximum...

Bon, c'est vrai que c'est pas le même niveau que Nougaro (Lavilliers)