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si lent ce bonheur
5 participants
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
Page 1 sur 1
si lent ce bonheur
.
le bonheur évite l'homme heureux
il a déjà le ciel dans la tête
le feu au fond du coeur
...................................tout en dedans
il ne cherche pas au dehors
les franges d'un monde meilleur
quand le soir arrive
il sourit à l'avenir
ses mots taisent
la transparence frileuse
.
le bonheur évite l'homme heureux
il a déjà le ciel dans la tête
le feu au fond du coeur
...................................tout en dedans
il ne cherche pas au dehors
les franges d'un monde meilleur
quand le soir arrive
il sourit à l'avenir
ses mots taisent
la transparence frileuse
.
Carmen P.- MacadAccro
- Messages : 1525
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: si lent ce bonheur
Bien que le " t'aime " ne soit pas ma tasse de sucre préférée j'aime à lire encore des " gens heureux " pour le panorama.
Ratoune- MacadAccro
- Messages : 1891
Date d'inscription : 01/09/2009
Re: si lent ce bonheur
Un écrit pour faire passer le coup de blue.
Le bonheur jamais n'est acquis, mais il y a des petits moments bien agréables !
Les ennuis sont comme des coups de fil inopportuns, il faut bien aller vers eux et rien ne sert de "râler". (c'est dur de ne pas "râler" !)
Le bonheur jamais n'est acquis, mais il y a des petits moments bien agréables !
Les ennuis sont comme des coups de fil inopportuns, il faut bien aller vers eux et rien ne sert de "râler". (c'est dur de ne pas "râler" !)
Carmen P.- MacadAccro
- Messages : 1525
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: si lent ce bonheur
J'ai bonne envie de mettre ce poème à la suite du précédent.
Pour moi tout seul, il n'a pas beaucoup de sens.
ça donne ceci :
Deux en un ; est-ce mieux ?
Herbier des jours gris et roses
J’ouvre le livre qui s’écrit sous ma plume incertaine.
Graphies contrastées ; pattes de mésange ou empreintes de dinosaure.
Selon le jour et l’humeur j’accueille mes oiseaux des îles
..........................................................ou je contemple seule le vol des nocturnes.
Rire du pic vert ou pluie d’oiseaux morts. Quelle sera la moisson du jour ?
Peu importe l’heure avancée, je rêve de voyages qui se détournent de mon chemin.
Je suis sous la lampe dont la lumière prolonge l’espérance du jour
Je suis sous ma nuit où perle la rosée des mots de miel et le souvenir de corps épicés.
Je suis faite de ces liens qui toujours m’ont retenue,
.................de ces mains qui m’ont prise alors que je ne pensais que fuir,
........................................................alors que je ne voulais que m’appartenir.
Je suis faite de vent, de sable, de couleurs, de gênes de hasard.
Libre d’offrir mon amitié sans crainte d’être possédée
Libre d’aller et venir
Libre de donner et recevoir ce que je désire
Je me rêvais Libre
Je n’ai pas su féconder ma vie du pollen de mes attentes ;
je récolte ce que je n’ai jamais voulu semer
et, seule dans ma nuit, j’entends le cours de mes délires.
Chaque jour devrait écrire sa page de joies ; ma poésie je veux l’ignorer.
Je troque mes mots insipides contre des fleurs du jardin de l’oubli
que je rassemblerai dans un herbier perpétuel.
Ai-je vraiment voulu naître libre ?
Lentement je tente d’ apprivoiser le bonheur
mais le bonheur évite l'homme heureux
Celui qui a déjà le ciel dans la tête
et le feu au fond du cœur
..................................tout en dedans
celui-là ne cherche pas au dehors
les franges d'un monde meilleur
quand le soir arrive
il sourit à l'avenir
ses mots taisent
la transparence
frileuse.
.
Pour moi tout seul, il n'a pas beaucoup de sens.
ça donne ceci :
Deux en un ; est-ce mieux ?
Herbier des jours gris et roses
J’ouvre le livre qui s’écrit sous ma plume incertaine.
Graphies contrastées ; pattes de mésange ou empreintes de dinosaure.
Selon le jour et l’humeur j’accueille mes oiseaux des îles
..........................................................ou je contemple seule le vol des nocturnes.
Rire du pic vert ou pluie d’oiseaux morts. Quelle sera la moisson du jour ?
Peu importe l’heure avancée, je rêve de voyages qui se détournent de mon chemin.
Je suis sous la lampe dont la lumière prolonge l’espérance du jour
Je suis sous ma nuit où perle la rosée des mots de miel et le souvenir de corps épicés.
Je suis faite de ces liens qui toujours m’ont retenue,
.................de ces mains qui m’ont prise alors que je ne pensais que fuir,
........................................................alors que je ne voulais que m’appartenir.
Je suis faite de vent, de sable, de couleurs, de gênes de hasard.
Libre d’offrir mon amitié sans crainte d’être possédée
Libre d’aller et venir
Libre de donner et recevoir ce que je désire
Je me rêvais Libre
Je n’ai pas su féconder ma vie du pollen de mes attentes ;
je récolte ce que je n’ai jamais voulu semer
et, seule dans ma nuit, j’entends le cours de mes délires.
Chaque jour devrait écrire sa page de joies ; ma poésie je veux l’ignorer.
Je troque mes mots insipides contre des fleurs du jardin de l’oubli
que je rassemblerai dans un herbier perpétuel.
Ai-je vraiment voulu naître libre ?
Lentement je tente d’ apprivoiser le bonheur
mais le bonheur évite l'homme heureux
Celui qui a déjà le ciel dans la tête
et le feu au fond du cœur
..................................tout en dedans
celui-là ne cherche pas au dehors
les franges d'un monde meilleur
quand le soir arrive
il sourit à l'avenir
ses mots taisent
la transparence
frileuse.
.
Carmen P.- MacadAccro
- Messages : 1525
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: si lent ce bonheur
Ha oui, c'est bien. La seconde partie est insupportable - ça existe ? C'est vrai ?
Dam, insupportable.
Dam, insupportable.
Re: si lent ce bonheur
J'ai revu le poème (trop de JE). J'ai essayé de garder le même état d'esprit (même s'il date de quelques jours).
Cette seconde version est sûrement moins spontanée, j'espère qu'elle parlera malgré tout au lecteur.
2 - Herbier des jours gris et des nuits roses
J’ouvre le livre qui s’écrit sous ma plume incertaine.
Graphies contrastées ; pattes de mésange ou empreintes de dinosaure.
Selon le jour et l’humeur j’accueille mes oiseaux des îles
…………………………………………......................ou je contemple seule le vol des nocturnes.
Rire du pic vert ou pluie d’oiseaux morts. Quelle sera la moisson du jour ?
Peu importe l’heure avancée ;
les songes de voyage se détournent de mon chemin
la lumière de la lampe prolonge l’espérance du jour
la nuit intensifie le miel des mots et l’épice des souvenirs, jusqu’au matin des perles de rosée.
Le corps tissé par les liens accordés, caressé par des mains aimantes
le corps - cocon-paysage – ensemencé de vent, de sable, de couleurs, de brumes de hasard
vogue vers l’amitié sans crainte d’être possédé, vers la douceur du donner et du recevoir.
Il se rêve libre d’aller et venir, mais a-t-il jamais voulu naître libre ?
L’obscurité affine le cœur, le prépare à l’écoute des soupirs
et la vie prolonge son cours
négligeant les essences qu’elle a malencontreusement semées
fécondant les lendemains du pollen de ses attentes.
Chaque jour devrait écrire sa page de joies ;
le poète en a conscience qui troque ses mots – insipides -
contre les fleurs du jardin de l’oubli
Il les rassemble dans son herbier perpétuel
et lentement tente d’apprivoiser le bonheur.
Le bonheur – pourtant - évite l'homme heureux
celui qui a déjà le ciel dans la tête
et le feu au fond du cœur
..................................tout en dedans
ne cherche pas au dehors
les franges d'un monde meilleur
quand le soir arrive
il sourit à l'avenir
ses mots taisent
la transparence
frileuse
.
Cette seconde version est sûrement moins spontanée, j'espère qu'elle parlera malgré tout au lecteur.
2 - Herbier des jours gris et des nuits roses
J’ouvre le livre qui s’écrit sous ma plume incertaine.
Graphies contrastées ; pattes de mésange ou empreintes de dinosaure.
Selon le jour et l’humeur j’accueille mes oiseaux des îles
…………………………………………......................ou je contemple seule le vol des nocturnes.
Rire du pic vert ou pluie d’oiseaux morts. Quelle sera la moisson du jour ?
Peu importe l’heure avancée ;
les songes de voyage se détournent de mon chemin
la lumière de la lampe prolonge l’espérance du jour
la nuit intensifie le miel des mots et l’épice des souvenirs, jusqu’au matin des perles de rosée.
Le corps tissé par les liens accordés, caressé par des mains aimantes
le corps - cocon-paysage – ensemencé de vent, de sable, de couleurs, de brumes de hasard
vogue vers l’amitié sans crainte d’être possédé, vers la douceur du donner et du recevoir.
Il se rêve libre d’aller et venir, mais a-t-il jamais voulu naître libre ?
L’obscurité affine le cœur, le prépare à l’écoute des soupirs
et la vie prolonge son cours
négligeant les essences qu’elle a malencontreusement semées
fécondant les lendemains du pollen de ses attentes.
Chaque jour devrait écrire sa page de joies ;
le poète en a conscience qui troque ses mots – insipides -
contre les fleurs du jardin de l’oubli
Il les rassemble dans son herbier perpétuel
et lentement tente d’apprivoiser le bonheur.
Le bonheur – pourtant - évite l'homme heureux
celui qui a déjà le ciel dans la tête
et le feu au fond du cœur
..................................tout en dedans
ne cherche pas au dehors
les franges d'un monde meilleur
quand le soir arrive
il sourit à l'avenir
ses mots taisent
la transparence
frileuse
.
Carmen P.- MacadAccro
- Messages : 1525
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: si lent ce bonheur
Carmen P. a écrit:.
le bonheur évite l'homme heureux
il a déjà le ciel dans la tête
le feu au fond du coeur
...................................tout en dedans
il ne cherche pas au dehors
les franges d'un monde meilleur
quand le soir arrive
il sourit à l'avenir
ses mots taisent
la transparence frileuse
.
Bravo au moins pour le titre qui est u n poème en soi !
printemps d'avril- MacadMalade
- Messages : 357
Date d'inscription : 09/01/2011
Age : 67
Localisation : québec au québec
Re: si lent ce bonheur
Merci Printemps d'Avril.
Ce poème depuis que j'ai essayé de lui donner un ton moins personnel, me donne du fil à retordre. Je l'ai encore modifié (mais je ne vais pas importuner les lecteurs avec une troisième version !) Je vais le laisser décanter, et je l'examinerai plus tard.
Ce poème depuis que j'ai essayé de lui donner un ton moins personnel, me donne du fil à retordre. Je l'ai encore modifié (mais je ne vais pas importuner les lecteurs avec une troisième version !) Je vais le laisser décanter, et je l'examinerai plus tard.
Carmen P.- MacadAccro
- Messages : 1525
Date d'inscription : 18/11/2009
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