Le mot du mois d'Août : FEMINITE

parce que j'ai envie ! na!

Ah celui-ci il devrait en inspirer quelques uns, et unes.

Nilo, dont moi.

Féminité

Depuis qu’elle avait trouvé ce poste dans cette entreprise parisienne, d’une part elle avait oublié son (re)bel amour, d’autre part elle voyait le futur, plus loin - “Je ne vais pas faire ça toute ma vie, ça non !” - car, disait-elle, “j’ai l’impression de ne rien faire”. Et moi qui étais seul, qui faisais tout, tout seul, j’aurais bien eu besoin d’un toutou. Mais je devais y aller molo, car elle ne jouerait certainement pas ce rôle non plus. Pas besoin de donner dans le péjoratif et de jouer le rôle qu’on lui sert toujours sur un plateau garni avec sa fiche de paye en coin.
Cela ne me surprenait pas qu’elle avouait être payée à ne rien f...,
féminité d'un sourire engageant !
Mais ce qui me faisait plaisir (autre que sourire), c’est qu’elle s’en rendait compte. Avec moi. Le problème (pour moi), c’est qu’elle regardera toujours combien elle est payée au bout, c’est devenu un tique, une manie, une obsession, une drogue. Je ne sais pas si on en revient jamais ? Elle ne m’apportera jamais la preuve du contraire, ni elle ni personne. Par ce qu’elle est envoûtée, elle a perdu ses moyens - puisse l’argent la rendre heureuse et libre, sa féminité fera le reste. Mais honnêtement, je ne pense pas qu’elle tombe dans le panneau, car elle est intelligente, ma soeur. On verra bien demain.

Tout sourit à la jeunesse,
Avec en prime, la féminité.

Dam.

Ca c'est un mot qui m'plait bien mais j'suis pas sûr que c'qu'y m'évoque soit du goût des gonzesses.
J'y reviendrai plus tard.

Dédé.

Un parfum

Nilo, à suivre.

Bah, je reste confiante car la féminité, même pour Dédé, ne peut evoquer des choses salasses.

Elle ne savait pas ce qu’elle cherchait en venant ici, à la maison de Milly de son amie d’enfance (ma soeur), après tout ce temps. Elle m’a trouvé, moi, et les lieux changés. Croyait-elle vraiment que nous avions déménagé ? C’était pourtant son impression première et elle me l’avait dit et répété souvent. Elle était loin de la vérité. Elle devait beaucoup aimer cette maison. Elle m’a trouvé moi, c’était un accident. Pour moi, c’était pas encore “la bonne”. Elle voulait avoir des sentiments amoureux, éprouver des sensations que peut-être elle n’avait jamais connues ? Le coeur qui bat... Moi..., je voulais juste qu’elle m’épaule, me rejoigne dans ma tâche, mon univers. Au présent. Et le pire c’est que j’y ai cru.
Avec du recul, je mettrai cela sur le compte de sa féminité, sa finesse de traits, son charme anglais. C’est ça qui m’a fait perdre la tête et plonger. Pourtant, je n’ai jamais été amoureux d’elle, ni même eu des sentiments forts, seulement des sensations mal élevées... J’étais simplement heureux de la voir et de la retrouver - trop simplement peut-être ?
Toujours est-il qu’elle a coupé les ponts quand moi je taillais ceux de mon train trop courts, trop bas, et c’était pas moins grave ! Seulement dommage. Les voies de débords restaient bien parallèles sur un décors tordu et chaotiques de montagnes Martiennes. Je m’en voulais de ne pas pouvoir faire rouler mes trains bas avec les pantographes levés ; pis encore, je ne pourrai jamais équiper mes voies principales en caténaires, tout ça à cause de mes ponts trop bas ! À cause d'elle. De cette féminité qui m'avait distraite.
Erreur impardonnable, d’autant plus que j’avais idée de le faire avant... Avant de commencer les travaux.


Mais bon, je trouverai bien une solution... artisanale. Solution qui n’aura que plus de charme et d’intérêt - vrai celui-là.
J’étais sur son passage de vie troublée ; et c’est pas un hasard si nous allions discuter au coul d’eau, le petit lavoir au bout d’une impasse. L’eau stagnante y était trouble et sale.
Nous ne nous y reflétions même pas.

Dam.

Lalou a écrit:Bah, je reste confiante car la féminité, même pour Dédé, ne peut evoquer des choses salasses.

Ouais, ben j'te garantis pas le résultat quand j'vais m'y coller. Et viens pas me gronder après.

Dédé.

?????????????

Là au moins ça va super vite à lire !!!!!!!!!!!!!!!!

Tu m'étonnes Sylvie !

Dam, je te prends aux mots.

La féminité ..ça vous en bouche un coin?

lol

Nilo, parfum de femme.

Grace Kelly.

Hitchcock disait d'elle : "Le feu qui couve sous la glace"

Il y a deux choses qui sont sans limites : la féminité et les moyens d'en abuser.
(par Fernande (Jeanne Moreau) à Nikita dans Nikita de Luc Besson).

Nilo, et j'aime ça.

J'vais vous la faire soft

Vous pourrez pas dire que j'ai pourri le sujet mais vous aurez quand même compris c'qui m'intéresse chez les gonzesses. A part leur esprit.

Dédé.

Oh putain !
T'as pas du avoir la bonne édition du bouquin, ou tu t'es fait arnaquer par un bouquiniste véreux, ou alors c'est qu'ils ont appelé un mec qui comprenait pas l'anglais pour faire la traduc'. Pasque j't'l'dis c'est pas vide dans la tronche d'un mec qui pense aux gonzesses

Dédé.

oui j'aurais pu rajouter dans la page blanche des fesses et des nénés !

> Le masculin est mêlé de féminité, le féminin est pur.
[Jean Rostand]
Extrait des Inquiétudes d'un biologiste

Jean Rostand, c’était le nom de mon collège à Fontainebleau, dans la forêt du même nom (Fontainebleau, pas Rostand). Pourquoi je dis ça ? Ha oui, le temps, l’âge, les périodes, les étapes, le temps où une fille peut tomber amoureuse de vous sans que vous le remarquiez...

Dam, mais en quoi cela serait-il une tare d’aimer à ce point la féminité ?... A s’y méprendre même ? En quoi ?

Je pense parfois à mon train fait main. Et ta présence, ton regard si féminins !

Dam.

Elle vous a pas trop inspiré la féminité!

Septembre nous voila.