ma mère

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Lu, Marc...

HA Marc...tu viens de me toucher fortement.

Un texte qui parait personnel mais qui, je le sais, va parler à bien des lecteurs.

J'ai eu le grand frisson
J'ai eu la scène devant mes yeux
J'ai eu mal
J'ai eu peur

J'ai eu....

Quel texte.

J'aime l'authenticité de ton écriture, Marc. Mais tu vas bien au-delà des faits pour nous faire ressentir la vulnérabilté qui est en nous. La beauté ou la bonté que nous manifestons avec tant de maladresse (ou pas) à cause de nos limites, nous devient proche et lève le sentiment de culpabilité. (impression toute perso)

Une distance qui n'est pas l'absence, un silence qui n'est pas l'indifférence, peut-être pour lever cette chape de blomb, même armée, même grise comme une ville l'hiver.

Dam, appel en présence.

Les femmes
Les blessures
Mais elle c’était ma mère
Tout est dit là dans ce texte halluciné.

Nilo, chut[e].

Brut et touchant.
(j'ai haïe)

Je rejoins complètement Carmen dans son commentaire.