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Couleur mère
5 participants
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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Couleur mère
Couleur mère
L’amour braque les ténèbres à la recherche d’une vie, une petite vie sans importance, sans goût, sans odeur, sans couleur, sans forme.
Fondue dans l’inexistence - minuscule - elle vient se nicher dans les terres secrètes.
Mue dans la tiédeur heureuse, pulsée au sang du cordon ; un rythme palpitant envahit l’espace à la mesure animale.
Immersion dans un univers cataclysmique - le silence du néant - s’éloigne alors que la vie s’engage
dans ces terres à peine étayées.
Mère souterraine, la Terre peut trembler, tu loges dans tes chairs la vie qui aspire ton énergie et
t’ouvre à la joie.
Tu n’es qu’une enfant, pas encore née ; tu m’attendais.
La vie qui sauve la mort...la haine...l’accablement...oui la vie qui sauve jusqu’à la dernière miette.
Jusqu’à la dernière goutte d’espace, jusqu’à ce que pressions étreignent mon corps si mobile dans sa tendresse, jusqu’à ce qu’elles le tordent éprouvant sa souplesse et le poussent dans un tunnel abominablement étroit…
…j’étouffe !
Encore maintenant, je ne respire que lorsque je m’approche de la lumière au sortir des tunnels.
Née.
Nous étions en confidence charnelle, et soudain un vaste froid bien trop grand pour moi, m'attire à la nuit.
Tu es mon astre irradiant, la température idéale émane de ta peau, ton odeur, ta voix habillent
mon espace de sécurité.
Peau contre peau…dormir.
Ce n’est pas l’heure, pas l’heure de dormir, enfant.
Une révolte, appelant un cri mais / je n’ai pas crié ; ton lait abondant m’a comblée.
Comblé, ce vide découvert après l’éternité de la naissance.
Un vide que seul le plein pouvait absorber.
En toi j’étais la vie contenue, toujours soutenue, bordée de sérénité.
Hors de toi, la brûlure de l’air qui me pénètre, la douloureuse aspiration puis... la douceur, une douceur soufflée
jusqu’à la moindre cellule de ce corps que je dé-couvre.
Oh, berce-moi, mère, et que ta raison demeure bien au-delà de la saison des récoltes,
car le souffle peut conduire la conscience vers d’autres découvertes, toujours plus loin.
Tu le sais, toi, que le corps donné est vaste, tu comprends qu’il s’étend vers des terres insoupçonnées,
que découvrir ces horizons est un cadeau de vie pour peu que l'homme ignore la peur et le doute.
Ce n’est pas l’heure de dormir, mère.
L’amour braque les ténèbres à la recherche d’une vie, une petite vie sans importance, sans goût, sans odeur, sans couleur, sans forme.
Fondue dans l’inexistence - minuscule - elle vient se nicher dans les terres secrètes.
Mue dans la tiédeur heureuse, pulsée au sang du cordon ; un rythme palpitant envahit l’espace à la mesure animale.
Immersion dans un univers cataclysmique - le silence du néant - s’éloigne alors que la vie s’engage
dans ces terres à peine étayées.
Mère souterraine, la Terre peut trembler, tu loges dans tes chairs la vie qui aspire ton énergie et
t’ouvre à la joie.
Tu n’es qu’une enfant, pas encore née ; tu m’attendais.
La vie qui sauve la mort...la haine...l’accablement...oui la vie qui sauve jusqu’à la dernière miette.
Jusqu’à la dernière goutte d’espace, jusqu’à ce que pressions étreignent mon corps si mobile dans sa tendresse, jusqu’à ce qu’elles le tordent éprouvant sa souplesse et le poussent dans un tunnel abominablement étroit…
…j’étouffe !
Encore maintenant, je ne respire que lorsque je m’approche de la lumière au sortir des tunnels.
Née.
Nous étions en confidence charnelle, et soudain un vaste froid bien trop grand pour moi, m'attire à la nuit.
Tu es mon astre irradiant, la température idéale émane de ta peau, ton odeur, ta voix habillent
mon espace de sécurité.
Peau contre peau…dormir.
Ce n’est pas l’heure, pas l’heure de dormir, enfant.
Une révolte, appelant un cri mais / je n’ai pas crié ; ton lait abondant m’a comblée.
Comblé, ce vide découvert après l’éternité de la naissance.
Un vide que seul le plein pouvait absorber.
En toi j’étais la vie contenue, toujours soutenue, bordée de sérénité.
Hors de toi, la brûlure de l’air qui me pénètre, la douloureuse aspiration puis... la douceur, une douceur soufflée
jusqu’à la moindre cellule de ce corps que je dé-couvre.
Oh, berce-moi, mère, et que ta raison demeure bien au-delà de la saison des récoltes,
car le souffle peut conduire la conscience vers d’autres découvertes, toujours plus loin.
Tu le sais, toi, que le corps donné est vaste, tu comprends qu’il s’étend vers des terres insoupçonnées,
que découvrir ces horizons est un cadeau de vie pour peu que l'homme ignore la peur et le doute.
Ce n’est pas l’heure de dormir, mère.
Dernière édition par Carmen P. le Ven 12 Fév - 9:37, édité 11 fois
Carmen P.- MacadAccro
- Messages : 1525
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Couleur mère
Ce qui me plait chez toi, c'est ta force de combat, ta volonté et la façon que tu as d'analyser les coms des autres toujours en positif!! ça me donne doublement envie de participer à tes écrits qui ne me laissent jamais de marbre.
Je me suis donc arrêtée sur ce poème où j'ai découvert la souffrance et aussi peut être la colère face à l'impuissance de ces "hiers" si pénibles parfois à porter.
Je vais me permettre, et ceci en direct et sans filet ! d'apporter mon avis sur les choses que je pense positives et celles qui mériteraient, à mes yeux, d'être un peu améliorées.
Zou...je plonge dans le vide :
Couleur mère : j'aime vraiment beaucoup ton titre
L’amour braque les ténèbres à la recherche d’une vie, une petite vie sans importance, sans goût, sans odeur, sans couleur, sans forme.
Fondue dans l’inexistence, minuscule, elle vient se nicher dans les terres secrètes. là, j'aurais pas mis de point
Mue dans la tiédeur heureuse, pulsée au sang du cordon, un rythme palpitant envahit l’espace à la mesure animale.
Immersion dans un univers cataclysmique ; ici, pas de point virgule mais juste un espace avec " le silence du néant" en italique le silence du néant s’éloigne alors que la vie s’engage
dans ces terres à peine étayées.
Mère souterraine, la Terre peut trembler, tu loges dans tes chairs la vie qui aspire ton énergie et
t’ouvre à la joie.
Tu n’es qu’une enfant, pas encore née ; tu m’attendais. magnifique passage, très fort
La vie qui sauve la mort, et la haine, et l’accablement, ( pour la répétition du "et" moi j'aurais mis en valeur ce passage avec soit une police différente ou des points de suspensions parce que je ressentais cet essoufflement que tu cherches à faire passer) oui la vie qui sauve jusqu’à la dernière miette.
Jusqu’à la dernière goutte d’espace, jusqu’à ce que pressions étreignent mon corps si tendre,
jusqu’à ce qu’elles le tordent dans sa souplesse, et le poussent dans un tunnel abominablement étroit…
…j’étouffe ! hyper bel instant très fort en émotions
Encore maintenant, je ne respire que lorsque je m’approche de la lumière au sortir des tunnels.
Née.
Nous étions en confidence charnelle, et je tombe dans le froid, dans un vaste froid bien trop grand pour moi.
Tu es mon astre irradiant, la température idéale émane de ta peau, ton odeur, ta voix habillent
mon espace de sécurité. pour ce passage, j'aurais bien vu + une image qui représente soit "le froid" soit " la chaleur" ainsi ça évite les citations directes qui font tomber un peu le contraste
Peau contre peau…dormir.
Il paraît que ce n’est pas l’heure, pas l’heure de dormir. là aussi je regrette ce passage qui ôte toute la puissance du dernier vers On me stimule…je m’aperçois que j’ai une bouche,
qui s’ouvre appelant un cri. ( bel instant mais je regrette la suite, ..dommage car elle casse le vers d'avant qui était justement là pour "crier") Non du lait, et la douceur pénètre mon palais.
Je n’ai pas crié mère, ton lait abondant m’a comblée.
Comblé, ce vide découvert après l’éternité de la naissance. je n'aurais pas mis ce passage que je trouve trop chargé, en trop quoi
Un vide que seul le plein pouvait absorber.
En toi j’étais le contenu, toujours soutenue, bordée de sérénité.
Hors de toi, la brûlure de l’air qui pénètre,
l’aspiration à la douceur, cette douceur-souffle
que je pouvais toujours pousser plus loin, jusqu’à la moindre cellule de ce corps
qu’il allait bien falloir que je possède. je trouve ce passage un peu maladroit et du coup, il perd beaucoup de la puissance, qui à mon avis, tu aurais voulu donner
Oh, berce-moi mère, et que ta raison demeure bien au-delà de la saison des récoltes,
car le souffle peut conduire la conscience vers d’autres découvertes, toujours plus loin.
Tu le sais, toi, que le corps donné est vaste, tu comprends qu’il s’étend vers des terres insoupçonnées,
que découvrir ces horizons est un cadeau de vie pour peu qu’on ignore la peur et le doute. je regrette ici, juste le "qu'on"
Ce n’est pas l’heure de dormir. Mets en valeur dans ton texte cette superbe chute
Merci Carmen de ta présence, de ta poésie et de toi
Un plaisir de + à ma journée
Sylvie
Je me suis donc arrêtée sur ce poème où j'ai découvert la souffrance et aussi peut être la colère face à l'impuissance de ces "hiers" si pénibles parfois à porter.
Je vais me permettre, et ceci en direct et sans filet ! d'apporter mon avis sur les choses que je pense positives et celles qui mériteraient, à mes yeux, d'être un peu améliorées.
Zou...je plonge dans le vide :
Couleur mère : j'aime vraiment beaucoup ton titre
L’amour braque les ténèbres à la recherche d’une vie, une petite vie sans importance, sans goût, sans odeur, sans couleur, sans forme.
Fondue dans l’inexistence, minuscule, elle vient se nicher dans les terres secrètes. là, j'aurais pas mis de point
Mue dans la tiédeur heureuse, pulsée au sang du cordon, un rythme palpitant envahit l’espace à la mesure animale.
Immersion dans un univers cataclysmique ; ici, pas de point virgule mais juste un espace avec " le silence du néant" en italique le silence du néant s’éloigne alors que la vie s’engage
dans ces terres à peine étayées.
Mère souterraine, la Terre peut trembler, tu loges dans tes chairs la vie qui aspire ton énergie et
t’ouvre à la joie.
Tu n’es qu’une enfant, pas encore née ; tu m’attendais. magnifique passage, très fort
La vie qui sauve la mort, et la haine, et l’accablement, ( pour la répétition du "et" moi j'aurais mis en valeur ce passage avec soit une police différente ou des points de suspensions parce que je ressentais cet essoufflement que tu cherches à faire passer) oui la vie qui sauve jusqu’à la dernière miette.
Jusqu’à la dernière goutte d’espace, jusqu’à ce que pressions étreignent mon corps si tendre,
jusqu’à ce qu’elles le tordent dans sa souplesse, et le poussent dans un tunnel abominablement étroit…
…j’étouffe ! hyper bel instant très fort en émotions
Encore maintenant, je ne respire que lorsque je m’approche de la lumière au sortir des tunnels.
Née.
Nous étions en confidence charnelle, et je tombe dans le froid, dans un vaste froid bien trop grand pour moi.
Tu es mon astre irradiant, la température idéale émane de ta peau, ton odeur, ta voix habillent
mon espace de sécurité. pour ce passage, j'aurais bien vu + une image qui représente soit "le froid" soit " la chaleur" ainsi ça évite les citations directes qui font tomber un peu le contraste
Peau contre peau…dormir.
Il paraît que ce n’est pas l’heure, pas l’heure de dormir. là aussi je regrette ce passage qui ôte toute la puissance du dernier vers On me stimule…je m’aperçois que j’ai une bouche,
qui s’ouvre appelant un cri. ( bel instant mais je regrette la suite, ..dommage car elle casse le vers d'avant qui était justement là pour "crier") Non du lait, et la douceur pénètre mon palais.
Je n’ai pas crié mère, ton lait abondant m’a comblée.
Comblé, ce vide découvert après l’éternité de la naissance. je n'aurais pas mis ce passage que je trouve trop chargé, en trop quoi
Un vide que seul le plein pouvait absorber.
En toi j’étais le contenu, toujours soutenue, bordée de sérénité.
Hors de toi, la brûlure de l’air qui pénètre,
l’aspiration à la douceur, cette douceur-souffle
que je pouvais toujours pousser plus loin, jusqu’à la moindre cellule de ce corps
qu’il allait bien falloir que je possède. je trouve ce passage un peu maladroit et du coup, il perd beaucoup de la puissance, qui à mon avis, tu aurais voulu donner
Oh, berce-moi mère, et que ta raison demeure bien au-delà de la saison des récoltes,
car le souffle peut conduire la conscience vers d’autres découvertes, toujours plus loin.
Tu le sais, toi, que le corps donné est vaste, tu comprends qu’il s’étend vers des terres insoupçonnées,
que découvrir ces horizons est un cadeau de vie pour peu qu’on ignore la peur et le doute. je regrette ici, juste le "qu'on"
Ce n’est pas l’heure de dormir. Mets en valeur dans ton texte cette superbe chute
Merci Carmen de ta présence, de ta poésie et de toi
Un plaisir de + à ma journée
Sylvie
Re: Couleur mère
Merci pour vos lectures.
La femme sera à l'honneur cette année au Printemps des Poètes...alors avant hier j'ai pris ma plume et je me suis lancée. Je pense que j'écrirai d'autres textes sur ce thème car je ne souhaite pas ne parler que de maternité.
Ce lien est essentiel pourtant, je pense que c'est pour cette raison que je l'ai abordé en premier ; il ne faut pas renier sa sensorialité, il faut asseoir nos réalisations d'homme sur un fort ancrage charnel - notre identité de Terrien.
Je n'ai qu'un problème ; autant en deux ans j'ai appris à travailler l' écriture de mes poèmes, autant en prose (que j'espère néanmoins poétique), je m'exprime comme je pense. Alors je te remercie Sylvie pour ta lecture commentée. Je la relirai avec attention dans la journée, certainement en soirée.
La femme sera à l'honneur cette année au Printemps des Poètes...alors avant hier j'ai pris ma plume et je me suis lancée. Je pense que j'écrirai d'autres textes sur ce thème car je ne souhaite pas ne parler que de maternité.
Ce lien est essentiel pourtant, je pense que c'est pour cette raison que je l'ai abordé en premier ; il ne faut pas renier sa sensorialité, il faut asseoir nos réalisations d'homme sur un fort ancrage charnel - notre identité de Terrien.
Je n'ai qu'un problème ; autant en deux ans j'ai appris à travailler l' écriture de mes poèmes, autant en prose (que j'espère néanmoins poétique), je m'exprime comme je pense. Alors je te remercie Sylvie pour ta lecture commentée. Je la relirai avec attention dans la journée, certainement en soirée.
Carmen P.- MacadAccro
- Messages : 1525
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Couleur mère
Bon, j'ai juste modifié un passage que j'avais l'intention de retravailler.
Celui-ci :
"...jusqu''à ce que pressions étreignent mon corps tendre et mobile, jusqu'à ce qu'elles le tordent dans sa souplesse" par "jusqu'à ce que pressions étreignent mon corps si mobile dans sa tendresse, jusqu'à ce qu'elles le tordent éprouvant sa souplesse"
Je n'ai pas le temps de poursuivre maintenant. Laisse ton com Sylvie !
Celui-ci :
"...jusqu''à ce que pressions étreignent mon corps tendre et mobile, jusqu'à ce qu'elles le tordent dans sa souplesse" par "jusqu'à ce que pressions étreignent mon corps si mobile dans sa tendresse, jusqu'à ce qu'elles le tordent éprouvant sa souplesse"
Je n'ai pas le temps de poursuivre maintenant. Laisse ton com Sylvie !
Carmen P.- MacadAccro
- Messages : 1525
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Couleur mère
Et pourquoi n'étais-je pas passé ici.
Poésie, Prose, Prose poétique ?
Je ne suis pas du genre à dire "peu importe le flacon" parce qu'effectivement il importe. La poésie en prose est un art difficile à maîtriser, peu s'y sont essayé, moins encore s'y sont distingués.
"Ecrire comme on parle" n'est pas forcément de la poésie. Ce qui n'enlève rien à la pertinence du propos qui n'a pas forcément besoin d'être poétique.
Bref, je suis passé, j'ai lu.
Vive donc l'Auteur à la Une qui m'a renvoyé ici.
Nilo, il est tard c'est vrai.
Poésie, Prose, Prose poétique ?
Je ne suis pas du genre à dire "peu importe le flacon" parce qu'effectivement il importe. La poésie en prose est un art difficile à maîtriser, peu s'y sont essayé, moins encore s'y sont distingués.
"Ecrire comme on parle" n'est pas forcément de la poésie. Ce qui n'enlève rien à la pertinence du propos qui n'a pas forcément besoin d'être poétique.
Bref, je suis passé, j'ai lu.
Vive donc l'Auteur à la Une qui m'a renvoyé ici.
Nilo, il est tard c'est vrai.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Couleur mère
j'ai trouvé le poème agréable et ta prose de bonne qualité.
d'un autre coté, mon rapport personnel aux mythes maternels aurait tendance a vouloir briser coute que coute la prépondérance ou prédominance de la mère mais bon mon itinéraire personnel rêve la mère et l'enfant sur le carrelage froid des hôpitaux et l'air brutal dans le gorge de l'enfant
ta prose tient bien le coup^^
d'un autre coté, mon rapport personnel aux mythes maternels aurait tendance a vouloir briser coute que coute la prépondérance ou prédominance de la mère mais bon mon itinéraire personnel rêve la mère et l'enfant sur le carrelage froid des hôpitaux et l'air brutal dans le gorge de l'enfant
ta prose tient bien le coup^^
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
Re: Couleur mère
Merci Nilo. Non il n'est pas tard, puisque ce texte je le pense encore.
Merci Marc d'avoir lu ce texte, surtout si ton questionnement personnel t'en éloigne.
Le non-amour maternel cause tant de dégâts !
Merci Marc d'avoir lu ce texte, surtout si ton questionnement personnel t'en éloigne.
Le non-amour maternel cause tant de dégâts !
Carmen P.- MacadAccro
- Messages : 1525
Date d'inscription : 18/11/2009
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