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la vindicte du rêve
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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la vindicte du rêve
Aux environ 1H.
Sans que cela se dise depuis lui !
J'opère bien plus bas, je sais y respirer. Vocation d'un monde !
(je ne sais pas me faire a ce silence d'un opus qui serait posthume et ferait honte)
sans silence donc
un rôle plus féminin, l'esprit avec souplesse. On ne regrette rien de ses vertiges.
Je sourie tendrement a mon amant. Son âme est tremblante, dans un corps parfait
ses mains sont ardentes, d'une telle fragilité
d'autres avec des mots plus durs, des marches forcées !
Comme on se réveille, on sort, on a peut-être redouter de respirer !
Je cracherai sur lui des serpents et des joyaux !
Mon grand silence, celui du corps !
Il souriait. J'avais l'impression que son esprit hoquetait sans cesse. Je l'appelle l'homme orchestre.
Après, après tout ce qui était à faire
mon corps retourne à la rue non loin de la cathédrale.
Et nous sommes aujourd'hui, a dire, a se redire tout cela
comme c'est aimer !
« as-tu du temps ? »
« j'ai tout le temps »
sans avenir, même proche
...
« oui lui dis-je j'ai tout mon temps »
l’obscurité, son corps endormis
tout, la vindicte du rêve !
Sans que cela se dise depuis lui !
J'opère bien plus bas, je sais y respirer. Vocation d'un monde !
(je ne sais pas me faire a ce silence d'un opus qui serait posthume et ferait honte)
sans silence donc
un rôle plus féminin, l'esprit avec souplesse. On ne regrette rien de ses vertiges.
Je sourie tendrement a mon amant. Son âme est tremblante, dans un corps parfait
ses mains sont ardentes, d'une telle fragilité
d'autres avec des mots plus durs, des marches forcées !
Comme on se réveille, on sort, on a peut-être redouter de respirer !
Je cracherai sur lui des serpents et des joyaux !
Mon grand silence, celui du corps !
Il souriait. J'avais l'impression que son esprit hoquetait sans cesse. Je l'appelle l'homme orchestre.
Après, après tout ce qui était à faire
mon corps retourne à la rue non loin de la cathédrale.
Et nous sommes aujourd'hui, a dire, a se redire tout cela
comme c'est aimer !
« as-tu du temps ? »
« j'ai tout le temps »
sans avenir, même proche
...
« oui lui dis-je j'ai tout mon temps »
l’obscurité, son corps endormis
tout, la vindicte du rêve !
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
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