Espoir amoureux...

Nul besoin d'eau ni de vivres . Pour aller la ou je vais. Nul besoin de carte ni de boussole pour écouter le refrain , celui de son cœur bien sur. Le battement de son coeur résonne sur l'eau , les vaguelettes s'emplissent d'un parfum divin , mais ce chemin devant moi n'a pas de fin , ni de repère. Tout se ressemble et s'assemble.

Je marche , je regarde l'horizon et j'en y perd la raison , je deviens dingue : fou d'avaler ces kilomètres comme l'air que je respire. Je ne peux plus marcher sans sentir l'odeur de tes main douces.
J'avance dans le brouillard identique depuis des jours. j'avance sans notion de temps ni d'espace j'avance vers mon but .

Je ne pense plus qu'a toi et à force d'être récurent, c'est devenu mon mode de pensée.
Je ne sais pas quand je te reverrai mais je suis sur ce chemin , sur cette route sans fin ni début qui nous lie je peux sentir ton souffle dans l'air que je respire mais je ne te vois pas....

Et bien voilà.
Pour un premier texte ici tu as bien fait de le publier dans l'atelier parce que ce n'est pas le boulot qui manque pour le remettre d'aplomb.
Alors je me lance, en vrac :
- ponctuation à revoir (à voir peut-être tout simplement).
- "Nul besoin de carte ni de boussole pour écouter le refrain", là honnêtement et malgré les efforts de compréhension que je suis enclin à faire je dois avouer que je suis passé à côté de ton propos. Sans doute à cause de l'incohérence du champ sémantique (remarque que je vais appliquer à l'ensemble du texte).
- "Tout se ressemble et s'assemble", si tu veux avoir une chance d'être lu et apprécié évite ce genre de poncifs qui ne peuvent que te nuire.
- répétitions lourdes à force de te voir te débattre avec ce clou que tu tentes d'enfoncer.
- ...
Bref, tout ça pour t'aider tu le comprends bien.
Je ne suis pas là pour te faire du mal mais puisque tu as eu le "courage" de poster dans l'atelier j'ai celui de te mettre en face des nombreuses faiblesses de ton texte.
Je reviendrai peut-être faire un tour par ici pour mettre une couche de vernis après que quelques uns de mes petits camarades auront joué de la massette, du marteau, de la ponceuse et du mastic.

Nilo, maître de stage.

Oui pour ce que t'as dit Nilo..
Par contre, j'ai saisi, je pense, où tu voulais nous emmener . Ya de l'idée mais en effet, tu dois aller chercher un petit plus loin dans les images pour donner une véritable couleur poétique à tout ça.
On ressent tout de même une fibre qu'il faut que tu affines et tu as tout de même tenter de dire cet amour autrement , et c'est bien !

T'arrête pas à ça et continue.

le but de l'atelier étant d'appeler le concours des autres, pour la forme il y a effectivement à revoir des choses, mais le fond t'appartenant, libre à toi d'y mettre un nom sinon une figure. le style est "crabolesque" mais la traversée du désert l'impose certainement. Alors courage et au boulot !

Dam self service