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L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination. (Movelle)
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Swann
Dédé
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Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
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L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination. (Movelle)
L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination. (Movelle)
Salut les gonzesses c’est Dédé.
Une petite movelle, ça faisait longtemps… Il est vrai que ma mission citoyenne des chronicles celle que j’exécute pour ma patrie, pour Papy, pour Dieu, contre Ségolène Royal et aussi contre l’enfoiré qui vient faire pisser son chien sur mon parking à vélo, ma mission, disais-je, ne me laisse que peu de loisirs, d’autant qu’il faut en plus que je bosse à mon clandé, que je m’occupe des gonzesses et de Papy. Et oui, m’occuper de Papy ça prend du temps. C'est-à-dire qu’il est plus tout jeune, il faut que j’aille lui acheter Libé, que je lui passe des disques de Tino Rossi (ça fait mûrir les fruits plus vite) et que je lui cherche sa caisse de Châteauneuf-du-Pape ou de Margaux… C’est du boulot.
Les movelles ça m’aide à faire travailler mon imaginaire, c’est comme une nouvelle mais en moins bien parce que j’ai pas été à l’école et que je ne connais pas assez de mot pour faire une vraie "œuvre" comme on dit par chez vous.
Et puis, je fais des fautes, je suis pas un vrai auteur. Je ne suis ni Alphonse Zola, ni Robert de Balzac les auteurs respectifs du "Nom de la rose" et de la saga des "Gendarmes à Saint Tropez".
Je fais des fautes mais je sais pas si vous avez remarqué, quand j'écris des movelles je mets pas d'apostrophes. La littérature ça les supporte pas bien.
Comme d’habitude je me perds en explications et digressions (c’est un nouveau mot que j’ai appris dans l’gros dico de Papy. Avant je croyais que c’était un mélange de digestion et d’agression). Donc, j’en viens au but, laissez-moi vous raconter.
L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination.
C’était une belle matinée de printemps, les hirondelles virevoltaient gaiement dans le ciel bleu azur et la rosée encore fraîche perlait en petites gouttelettes argentées et en éclats de lumière. Les filles passaient dans la rue et une légère brise faisait délicatement danser leurs jupes laissant apparaître le haut du genou encore pâle… Je me sentais comme un président des Etats-Unis à qui on souhaiterait un bon anniversaire et je commandais une citronnade (un tiers de Pulco, un tiers de limonade, un tiers de Gin et un tiers de Rhum) histoire de me rafraîchir un peu. Je lisais Libé d’une main en cherchant des idées de l’autre pour une nouvelle Chronicle. Je réfléchissais, réfléchissais mais il fallait bien le reconnaître, c’était la panne (intellectuelle j’entends). J’avais beau me creuser le citron et me faire secouer le grelot que j’avais dans la tête, rien. J’avais demandé à Papy comment faire quand on a pas d’inspiration et il m’avait dit qu’il fallait faire travailler son imagination et que l’imagination c’est comme un muscle, ça s’entretient.
Le truc c’est que moi comme je suis un ours en peluche je n’ai pas vraiment eu d’enfance, je n’ai jamais cru au père noël, j’ai jamais lu "Le Petit Prince" ni toutes ces niaiseries et j’ai tout de suite vu que les cascades de Cajoline dans les serviettes en mousse c’était fait par une doublure. Bref, je n’ai jamais rêvé. A cette pensée, je me suis dit que c’était mal barré pour ma carrière de Movelliste et de Chronicleur et qu’il était temps que je me mette sérieusement à bosser mon imaginaire.
J’ai dû reprendre à la base, je suis allé à la maison et j’ai cherché dans la réserve de cassettes vidéo (c’est comme des DVD mais en moins plat avec des images pourries) des trucs que M’man et P’pa regardaient quand ils étaient petits et c’est comme ça que je suis tombé sur "La belle et le clochard". C’est un film de Mickey Mouse (une sorte de grosse souris avec des gants blancs et un short) qui bosse pour une compagnie qui s’appelle Walt Disney.
Ça raconte l’histoire d’une chienne pétasse bourgeoise qui s’encanaille avec un clodo qu’à même pas de pédigrée. Ils ne s’aiment pas trop au début mais ils finissent par se rouler des pelles au milieu d’un plat de pâtes. Et ben ! C’est ça qu’on montre aux petits pour leur développer leur imagination. C’est du genre hardcore comme histoire. Merci de nous avoir épargné la scène de cul. Je sais pas vous mais moi si j’étais proprio d’un restau italien j’irais pas jouer la sérénade à deux clebs pour les voir forniquer dans mes nouilles.
Je me suis dis : Ok big Déd (c’est comme ça que j’m’appelle quand j’suis tout seul) t'as pas dû prendre le bon film. J’en ai donc choisi un autre : "Les Aristochats".
Alors ce coup là c’est des greffiers, des chats quoi. Mais putain de bordel ! Qu’est ce qu’ils ont avec les animaux ? C’est l’histoire d’une pétasse bourgeoise (encore) qui s’appelle Duchesse (ça s’invente pas !) qui a déjà trois gosses de pères différents (un black, une blanche et un roux, enfin je crois), ils ont le même âge donc j’imagine que ça s’est fait pendant une partouze. Cette fameuse Duchesse s’encanaille avec un clodo (encore). Ils se retrouvent à perpète de Paname et ils doivent retrouver leur chemin. Ils tombent sur un couple d’oies Anglaises, probablement lesbiennes, et sur un alcoolo qui a mariné dans un plat de whisky et ils finissent eux aussi par se rouler des pelles et se vautrent dans le luxe jusqu’à la fin de leur vie. Bravo les valeurs qu’on fait passer aux jeunes filles. Après on se demande pourquoi les gonzesses se mettent avec des pauvres types qui picolent et qui finissent par les cogner et que les mecs doivent se coltiner des bourgeoises pour s’en servir comme ascenseur social.
Là encore, je me suis dit que j’étais mal tombé. J’ai donc regardé un autre Disney. Je me suis mis en quête d’un film où il n’y avait pas d’animaux. Je suis tombé sur "Blanche Neige et les sept nains". Au vu du titre et compte tenu des vidéos que je regarde d'habitude j’imaginais le pire.
Blanche Neige c’est l’histoire d’une princesse qu’on a essayé de buter mais qui se retrouve dans la forêt et se fait élever par sept handicapés qui profitent de leur handicap pour bosser à la mine pendant que Blanche Neige fait le ménage avec des oiseaux. Ils adorent ça la mine, ils sont tellement contents d’y aller qu’ils y vont en sifflant une chanson digne des pires méfaits de Chantal Goya. Ensuite une reine se déguise en vieille bohémienne pour refiler à Blanche Neige une pomme pourrie et un prince charmant la guérit en lui roulant une pelle.
J’avoue ne pas savoir ce qui m’a le plus choqué. D’une, je ne vois pas ce que travailler à la mine peut avoir de réjouissant et c’est pas Jean-Pierre Zola qui va me contredire. On peut dire qu’ils cumulent : barbus, handicapés, avec des noms à coucher dehors et ils bossent à la mine (ça m'a fait penser à un mix de Robert Hue, de Mimi Maty et de Charles Pasqua) il n’y a vraiment pas de quoi se marrer tous les jours. Ensuite j’aime beaucoup cette vision de la femme qui adore faire le ménage, elle est contente de passer le balai et même les oiseaux viennent l’aider. Perso, j’ai jamais vu des oiseaux aider personne à faire le ménage et, là encore, c’est pas les employés de la mairie de Paris qui passent leur temps à nettoyer les merdes de pigeons sur les monuments qui diront le contraire. Allez demander à M’man si elle aimerait passer le balai et l’aspi avec des oiseaux pendant que son mec se fait exploiter à la mine.
Il n’y a qu’un personnage que je comprends c’est la reine. C’est normal qu’elle soit en colère, il n’y a vraiment qu’un pauvre taré de miroir magique pour aller dire à une gonzesse que c’est pas la plus belle. Les gonzesses, il faut toujours leur dire que c’est les plus belles sinon elles se fâchent, tout le monde sait ça.
Je passe sur la niaiserie affligeante du prince et sur la scène de la bohémienne. Mais je préfère vous prévenir que si une vieille dégénérée frappe à votre porte pour vous offrir une pomme, il y a de fortes chances pour qu’elle vous tape du pognon, je vous conseille de lui claquer la porte sur la tronche. Surtout que là, vu son physique, elle ressemble dangereusement à une caricature de juif sous le 3ème Reich. Et puis ça finit toujours pareil, en roulage de pelle. Il faut pas s’étonner que les gamines commencent à porter des strings à l’âge de 12 ans. Ça vous apprendra à leur faire regarder n’importe quoi.
Je pourrais continuer longtemps et prendre tous les Disney un par un. J’en connais des tringleurs irresponsables qu’en ont rien à foutre des moyens de contraception mais quand même pour avoir 101 gamins faut le faire. Après t’as plus qu’à convoyer 3 ou 4 bus pour les emmener tous en même temps à Dysneyland ou à l’orphelinat.
Je me suis dit que l’imaginaire c’était pas pour moi et je vais vous dire, je suis content de pas avoir perverti mon esprit encore innocent avec les phantasmes lubriques d’une souris en short et puis si elle porte des gants à mon avis c’est pour pas laisser d’empreintes. C’est un dangereux psychopathe ce type et il vous torture l’esprit à l’échelle mondiale depuis trois générations. Il doit bosser avec Ronald Mc Donald, il y en a un qui s’occupe de vous rendre gros et moches et l’autre de vous rendre abrutis, s’il y a un complot mondial quelque part c’est ni du côté des juifs, ni du côté des islamistes qu’il faut chercher c’est plutôt de celui des rongeurs et des clowns.
Donc l’imaginaire j’arrête, je vais continuer de lire Libé et de critiquer les conneries que je lis dedans. En tout cas, ça m’a bien gâché ma journée ensoleillée heureusement qu’après tout ça, je me suis repassé "Deap throat" (ah oui, c'est vrai que vous l'avez regardé en VF sur Canal+ alors je vous signale que le titre en français, c'est "Gorge profonde") c’est quand même moins tordu.
Allez à plus.
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Salut les gonzesses c’est Dédé.
Une petite movelle, ça faisait longtemps… Il est vrai que ma mission citoyenne des chronicles celle que j’exécute pour ma patrie, pour Papy, pour Dieu, contre Ségolène Royal et aussi contre l’enfoiré qui vient faire pisser son chien sur mon parking à vélo, ma mission, disais-je, ne me laisse que peu de loisirs, d’autant qu’il faut en plus que je bosse à mon clandé, que je m’occupe des gonzesses et de Papy. Et oui, m’occuper de Papy ça prend du temps. C'est-à-dire qu’il est plus tout jeune, il faut que j’aille lui acheter Libé, que je lui passe des disques de Tino Rossi (ça fait mûrir les fruits plus vite) et que je lui cherche sa caisse de Châteauneuf-du-Pape ou de Margaux… C’est du boulot.
Les movelles ça m’aide à faire travailler mon imaginaire, c’est comme une nouvelle mais en moins bien parce que j’ai pas été à l’école et que je ne connais pas assez de mot pour faire une vraie "œuvre" comme on dit par chez vous.
Et puis, je fais des fautes, je suis pas un vrai auteur. Je ne suis ni Alphonse Zola, ni Robert de Balzac les auteurs respectifs du "Nom de la rose" et de la saga des "Gendarmes à Saint Tropez".
Je fais des fautes mais je sais pas si vous avez remarqué, quand j'écris des movelles je mets pas d'apostrophes. La littérature ça les supporte pas bien.
Comme d’habitude je me perds en explications et digressions (c’est un nouveau mot que j’ai appris dans l’gros dico de Papy. Avant je croyais que c’était un mélange de digestion et d’agression). Donc, j’en viens au but, laissez-moi vous raconter.
L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination.
C’était une belle matinée de printemps, les hirondelles virevoltaient gaiement dans le ciel bleu azur et la rosée encore fraîche perlait en petites gouttelettes argentées et en éclats de lumière. Les filles passaient dans la rue et une légère brise faisait délicatement danser leurs jupes laissant apparaître le haut du genou encore pâle… Je me sentais comme un président des Etats-Unis à qui on souhaiterait un bon anniversaire et je commandais une citronnade (un tiers de Pulco, un tiers de limonade, un tiers de Gin et un tiers de Rhum) histoire de me rafraîchir un peu. Je lisais Libé d’une main en cherchant des idées de l’autre pour une nouvelle Chronicle. Je réfléchissais, réfléchissais mais il fallait bien le reconnaître, c’était la panne (intellectuelle j’entends). J’avais beau me creuser le citron et me faire secouer le grelot que j’avais dans la tête, rien. J’avais demandé à Papy comment faire quand on a pas d’inspiration et il m’avait dit qu’il fallait faire travailler son imagination et que l’imagination c’est comme un muscle, ça s’entretient.
Le truc c’est que moi comme je suis un ours en peluche je n’ai pas vraiment eu d’enfance, je n’ai jamais cru au père noël, j’ai jamais lu "Le Petit Prince" ni toutes ces niaiseries et j’ai tout de suite vu que les cascades de Cajoline dans les serviettes en mousse c’était fait par une doublure. Bref, je n’ai jamais rêvé. A cette pensée, je me suis dit que c’était mal barré pour ma carrière de Movelliste et de Chronicleur et qu’il était temps que je me mette sérieusement à bosser mon imaginaire.
J’ai dû reprendre à la base, je suis allé à la maison et j’ai cherché dans la réserve de cassettes vidéo (c’est comme des DVD mais en moins plat avec des images pourries) des trucs que M’man et P’pa regardaient quand ils étaient petits et c’est comme ça que je suis tombé sur "La belle et le clochard". C’est un film de Mickey Mouse (une sorte de grosse souris avec des gants blancs et un short) qui bosse pour une compagnie qui s’appelle Walt Disney.
Ça raconte l’histoire d’une chienne pétasse bourgeoise qui s’encanaille avec un clodo qu’à même pas de pédigrée. Ils ne s’aiment pas trop au début mais ils finissent par se rouler des pelles au milieu d’un plat de pâtes. Et ben ! C’est ça qu’on montre aux petits pour leur développer leur imagination. C’est du genre hardcore comme histoire. Merci de nous avoir épargné la scène de cul. Je sais pas vous mais moi si j’étais proprio d’un restau italien j’irais pas jouer la sérénade à deux clebs pour les voir forniquer dans mes nouilles.
Je me suis dis : Ok big Déd (c’est comme ça que j’m’appelle quand j’suis tout seul) t'as pas dû prendre le bon film. J’en ai donc choisi un autre : "Les Aristochats".
Alors ce coup là c’est des greffiers, des chats quoi. Mais putain de bordel ! Qu’est ce qu’ils ont avec les animaux ? C’est l’histoire d’une pétasse bourgeoise (encore) qui s’appelle Duchesse (ça s’invente pas !) qui a déjà trois gosses de pères différents (un black, une blanche et un roux, enfin je crois), ils ont le même âge donc j’imagine que ça s’est fait pendant une partouze. Cette fameuse Duchesse s’encanaille avec un clodo (encore). Ils se retrouvent à perpète de Paname et ils doivent retrouver leur chemin. Ils tombent sur un couple d’oies Anglaises, probablement lesbiennes, et sur un alcoolo qui a mariné dans un plat de whisky et ils finissent eux aussi par se rouler des pelles et se vautrent dans le luxe jusqu’à la fin de leur vie. Bravo les valeurs qu’on fait passer aux jeunes filles. Après on se demande pourquoi les gonzesses se mettent avec des pauvres types qui picolent et qui finissent par les cogner et que les mecs doivent se coltiner des bourgeoises pour s’en servir comme ascenseur social.
Là encore, je me suis dit que j’étais mal tombé. J’ai donc regardé un autre Disney. Je me suis mis en quête d’un film où il n’y avait pas d’animaux. Je suis tombé sur "Blanche Neige et les sept nains". Au vu du titre et compte tenu des vidéos que je regarde d'habitude j’imaginais le pire.
Blanche Neige c’est l’histoire d’une princesse qu’on a essayé de buter mais qui se retrouve dans la forêt et se fait élever par sept handicapés qui profitent de leur handicap pour bosser à la mine pendant que Blanche Neige fait le ménage avec des oiseaux. Ils adorent ça la mine, ils sont tellement contents d’y aller qu’ils y vont en sifflant une chanson digne des pires méfaits de Chantal Goya. Ensuite une reine se déguise en vieille bohémienne pour refiler à Blanche Neige une pomme pourrie et un prince charmant la guérit en lui roulant une pelle.
J’avoue ne pas savoir ce qui m’a le plus choqué. D’une, je ne vois pas ce que travailler à la mine peut avoir de réjouissant et c’est pas Jean-Pierre Zola qui va me contredire. On peut dire qu’ils cumulent : barbus, handicapés, avec des noms à coucher dehors et ils bossent à la mine (ça m'a fait penser à un mix de Robert Hue, de Mimi Maty et de Charles Pasqua) il n’y a vraiment pas de quoi se marrer tous les jours. Ensuite j’aime beaucoup cette vision de la femme qui adore faire le ménage, elle est contente de passer le balai et même les oiseaux viennent l’aider. Perso, j’ai jamais vu des oiseaux aider personne à faire le ménage et, là encore, c’est pas les employés de la mairie de Paris qui passent leur temps à nettoyer les merdes de pigeons sur les monuments qui diront le contraire. Allez demander à M’man si elle aimerait passer le balai et l’aspi avec des oiseaux pendant que son mec se fait exploiter à la mine.
Il n’y a qu’un personnage que je comprends c’est la reine. C’est normal qu’elle soit en colère, il n’y a vraiment qu’un pauvre taré de miroir magique pour aller dire à une gonzesse que c’est pas la plus belle. Les gonzesses, il faut toujours leur dire que c’est les plus belles sinon elles se fâchent, tout le monde sait ça.
Je passe sur la niaiserie affligeante du prince et sur la scène de la bohémienne. Mais je préfère vous prévenir que si une vieille dégénérée frappe à votre porte pour vous offrir une pomme, il y a de fortes chances pour qu’elle vous tape du pognon, je vous conseille de lui claquer la porte sur la tronche. Surtout que là, vu son physique, elle ressemble dangereusement à une caricature de juif sous le 3ème Reich. Et puis ça finit toujours pareil, en roulage de pelle. Il faut pas s’étonner que les gamines commencent à porter des strings à l’âge de 12 ans. Ça vous apprendra à leur faire regarder n’importe quoi.
Je pourrais continuer longtemps et prendre tous les Disney un par un. J’en connais des tringleurs irresponsables qu’en ont rien à foutre des moyens de contraception mais quand même pour avoir 101 gamins faut le faire. Après t’as plus qu’à convoyer 3 ou 4 bus pour les emmener tous en même temps à Dysneyland ou à l’orphelinat.
Je me suis dit que l’imaginaire c’était pas pour moi et je vais vous dire, je suis content de pas avoir perverti mon esprit encore innocent avec les phantasmes lubriques d’une souris en short et puis si elle porte des gants à mon avis c’est pour pas laisser d’empreintes. C’est un dangereux psychopathe ce type et il vous torture l’esprit à l’échelle mondiale depuis trois générations. Il doit bosser avec Ronald Mc Donald, il y en a un qui s’occupe de vous rendre gros et moches et l’autre de vous rendre abrutis, s’il y a un complot mondial quelque part c’est ni du côté des juifs, ni du côté des islamistes qu’il faut chercher c’est plutôt de celui des rongeurs et des clowns.
Donc l’imaginaire j’arrête, je vais continuer de lire Libé et de critiquer les conneries que je lis dedans. En tout cas, ça m’a bien gâché ma journée ensoleillée heureusement qu’après tout ça, je me suis repassé "Deap throat" (ah oui, c'est vrai que vous l'avez regardé en VF sur Canal+ alors je vous signale que le titre en français, c'est "Gorge profonde") c’est quand même moins tordu.
Allez à plus.
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
_________________
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
RE:L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination. (Movelle)
Mickey, ça doit être un boulot qui rapporte, n'empèche! j'ai croisé une nenette avec un tee-shirt Mickey et ben il avait de sacrées bonnes joues le bougre, ça faisait plaisir à voir.
Swann, naif
Swann, naif
Swann- MacadAccro
- Messages : 1023
Date d'inscription : 31/08/2009
Age : 72
Localisation : entre deux cafés
Re: L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination. (Movelle)
Tu sais quoi Dédé ? Je me suis fendue la poire en lisant ta movelle au bureau cette après-midi...
Pour tes exemples de Walt disney, t'as aussi la Warner Bross qui a donné dans le même registre avec Titi dans le style Canari bourgeois , ya pas mieux (je ne le supportais pas quand j'etais môme et je n'avais qu'une envie c'est qu'il se fasse choper par le gros minet !)..
Pour tes exemples de Walt disney, t'as aussi la Warner Bross qui a donné dans le même registre avec Titi dans le style Canari bourgeois , ya pas mieux (je ne le supportais pas quand j'etais môme et je n'avais qu'une envie c'est qu'il se fasse choper par le gros minet !)..
Re: L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination. (Movelle)
Moi je trouve ça injuste pour Mickey parce que quand j'étais morveuse, j'en voyais que des extraits à l'ORTF en noir et blanc en plus, le jour de noël, parce que mes darons y z'avaient pas assez de flouze pour nous payer le ciné. Le reste du temps, je regardais des niaiseries comme crime et châtiment où alors les oiseaux. J'ai beaucoup aimé ton regard d'hurluberlu qui sort de l'oeuf, Dédé.
Messaline, poivrée.
Messaline, poivrée.
Messaline- MacadAccro
- Messages : 635
Date d'inscription : 29/08/2009
Age : 65
Localisation : Dans une étagère
Re: L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination. (Movelle)
Ouais ben Mickey, Titi et même Peter Pan c'est que des nazes.
J'en ai jamais vu un avec une gonzesse.
Le poker c'est pas la peine d'en parler, y z'ont pas d'pognon.
C'est pas d'main la veille que j'vais être pote avec eux. Et c'est bien comme ça.
Dédé.
J'en ai jamais vu un avec une gonzesse.
Le poker c'est pas la peine d'en parler, y z'ont pas d'pognon.
C'est pas d'main la veille que j'vais être pote avec eux. Et c'est bien comme ça.
Dédé.
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Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
Re: L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination. (Movelle)
Moi j'ai tout simplement trouvé ça fendard. Où Dédé se fait beaucoup plus ours que peluche, et tape à bras raccourci sur les clichés du genre. D'autant que je suis parfaitement d'accord avec toi : tant qu'à mater un dessin animé, autant regarder du Miyazaki, Le Château ambulant, Princesse Mononoké ou Le voyage de Chihiro, c'est quand même autre chose... ! Ca a le mérite de nous sortir des stupidités manichéennes et visuellement abêtissantes de ce bon vieux Disney. Allez-y, c'est que du bon.
Z, se marre encore.
Z, se marre encore.
Zlatko- MacadAccro
- Messages : 1621
Date d'inscription : 30/08/2009
Age : 32
Localisation : Centre
Re: L’histoire édifiante d’un ours en peluche qui n’avait pas d’imagination. (Movelle)
Un coup dans le mur ça ne mange pas de pain.
Nilo, même pas faim.
Nilo, même pas faim.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
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