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marc carnets
Macadam :: MacadaTextes :: MacadaZine
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marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
marc carnets :: Commentaires
juste ces deux vidéos pour sentir passer le monde, pour le sentiment du fugace et du merveilleux, du fantastique.
je ne connais pas Paris. je connais en revanche le gout que laisse les pages du Paris de Cortazar dans mon esprit. il s'accouple avec élégance, un peu déhanché, un peu désabusé, fumant toujours, nocturne bien sur et respirant du jazz a plein poumons.
les poètes sont à l’exacte opposée du journaliste.
invoquer, narrer contre réciter, récitation automatique, informer...nous déformer et apporter un savoir triste.
affabulations contre "réel statistique."
je ne connais pas Paris. je connais en revanche le gout que laisse les pages du Paris de Cortazar dans mon esprit. il s'accouple avec élégance, un peu déhanché, un peu désabusé, fumant toujours, nocturne bien sur et respirant du jazz a plein poumons.
les poètes sont à l’exacte opposée du journaliste.
invoquer, narrer contre réciter, récitation automatique, informer...nous déformer et apporter un savoir triste.
affabulations contre "réel statistique."
Un journal de bord poétique qui a du punch et qui saisit l'instant avec brio. Des flashs, des éclairs en pagaille...qui s'ancrent au réel, lettres et mots rugissants aux antipodes de la raison. Et puis ces vidéos qui confirment bel et bien la présence d'un monde intact depuis l'origine. Une dimension unique où il est possible de voir et d'entendre comme il faut.
…
L’encyclopédie d'instants las, morts ou immobiles.
…
Il est exactement 22.11. dormir quelques heures
a mon réveil, il n'y aura que cette nuit et moi. Autour un village aux lumières gercées.
…
(aimer, et comme ce mot est souple!)
…
Cela porte sûrement un nom de se heurter a ce genre d'infini.
…
Oui, des instants captés comme à la volée et qui te (nous ?) reviennent dans la gueule comme des revers d'infortune.
J'aime toujours autant ces pages de tes carnets que tu nous livres de temps en temps. Je les lis toujours avec beaucoup d'intérêt et de plaisir (même si le mot n'est pas forcément adapté aux situations que tu nous décris).
Nilo, spirale.
L’encyclopédie d'instants las, morts ou immobiles.
…
Il est exactement 22.11. dormir quelques heures
a mon réveil, il n'y aura que cette nuit et moi. Autour un village aux lumières gercées.
…
(aimer, et comme ce mot est souple!)
…
Cela porte sûrement un nom de se heurter a ce genre d'infini.
…
Oui, des instants captés comme à la volée et qui te (nous ?) reviennent dans la gueule comme des revers d'infortune.
J'aime toujours autant ces pages de tes carnets que tu nous livres de temps en temps. Je les lis toujours avec beaucoup d'intérêt et de plaisir (même si le mot n'est pas forcément adapté aux situations que tu nous décris).
Nilo, spirale.
Jeudi 8 décembre 2011
Sur la place du village, alentour 2h du matin.
Ils rêvent
et au-dessus des toits, « à l'arrière des taxis »...
dorment des écorchées, « la gueule en moins »
d'immenses serpents féminins se lèvent dans ma mémoire, prennent mon âme à revers.
Il fait froid cette nuit.
Tout est plus froid en elle ce soir...et a jamais.
En quoi l'avenir est-il au hasard ?
Provoquer les océans d'un revers de main !
///
avenir ensemble !
Monde ensemble !
L'apogée de ton odeur ancienne. Ces mots ne sont pas hors de moi.
Visitation béate/ résonance cardinale/devenir miracle !
Ça y est, là, bien de ce monde, aujourd'hui.
« après elle.... »
comme une tendresse anthropophage.
Tôt ou tard j'oublierais ces instants là, cette nuit. Je jette un dernier coup d’œil sur ces territoires en moi.
Dans quelques jours, je remonterais dans le train de la vie.
Jeudi 15 décembre 2011
soirée à Perpignan. On ingurgite
pizza
clopes
café
livres
…
Vendredi 16 décembre 2011
réveil à 00.40 l'estomac en vrac. Envie de vomir. Je traîne sur quelques sites.
Le froid au-dessus de cette nuit.
On voudrait entendre n'importe quoi dehors. Il n'y a rien !
La température hivernale déloge jusqu'à la moindre colère. Chacun en soi.
Et mes yeux vers les débuts, celui du jour, d'un amour, même une simple admiration passagère serait bonne à prendre.
Trajectoire de l’œil sous la lampe.
Plus de cigarette.
J'ai parfois comme des tensions nerveuses et des larmes, des malaises ou une joie incontrôlable.
Je savais que tout peut disparaître subitement.
J'étais calme.
Des murmures vers le jour...
ce monde passait décidément assez mal.
Je méprise cette époque, un peu comme une fantaisie morale. Je lui trouve des points noirs, des bubons, la laideur adolescente.
Longue discussion avec Damien cette nuit.
Couché aux alentours de 5h.
Couché dans une ville sans une seule personne, mes rêves au front !
Ce matin, assis sur un banc de la promenade du Palais des congrès...
je suis tellement hanté d'autre histoires, d'autres temps.
Presque tape a l’œil ma nostalgie.
Et le piège s'est refermé durant les années 90...
le ciel est inchangé depuis des milliers d'années. Cela me rassure
un visage d'arrogance passe et regarde, des regards trop sérieux, affectés
je pense à quelques amants
et cela finit dans des après-midi comme aujourd'hui.
Avec moi et le monde.
Rêves bunkerisés du sommeil sur des décennies !
Bien sur que je croise des regards, les gens, personnes, personnages passent mal aussi.
…
attente du dernier bus et retour vers st Hippolyte.
Lundi 19 décembre 2011
début de nuit, silence dans la demeure parentale. Échange de SMS avec R que je dois rencontrer demain. Un dialogue d'excitation réciproque, assez idiot, ponctué par les bips du téléphone.
Depuis trois jours le vent heurte, cogne mes nerfs. Ce week-end a été difficile. Même s'il n'est minuit passé que de quelques minutes, je suis content d'être lundi matin/nuit.
Ce silence maintenant prend les proportions d'une méditation, d'un songe.
Le clocher sonne une demie-heure nuit
somnolé une heure. Les autres ne prennent pas en charge ce que tu vis. Même pas concrètement en « artiste du Dimanche »
ha ha « je comprends tout, je comprends tout ! »
c'est une autre personne, là, enfant, hors du monde
tu le sais
les êtres affairés avec le temps
pas de communion pour eux
je ne dois arriver à aucune violence
je dois savoir que les limites de mon corps...
sans la honte d'être seul
mardi 20 décembre 2011
Après le petit matin, vers 9h la journée s’annonce grise.
Samedi 24 décembre 2011
Un vent violent s’est levé pendant la nuit. Je ne sais rien de la solitude, j’y accoste à peine.
Le soleil est un cercle froid.
Il me semble qu’aujourd’hui…
Aujourd’hui : NATIVITE !
Les jours ordinaires me trouvent mieux, des exaltations ici !
On ne demande rien, le temps passe
Le monde passe.
Dimanche 25 décembre 2011
Il me faudrait trouver quelque territoire paisible en moi. Début de soirée…et le malaise grandit au contact des personnes.
Mon débit de parole est chaotique.
Je pense annuler mon rendez-vous avec M demain.
Ou mènera cette recherche de tranquillité ?
M’y tiendrais-je ?
Peut-être une ivresse au bout de tout cela mais pour l’instant dormir un peu.
L’éveil dans le contact du monde est terrifiant mais comme d’autres nous le nommerons « bonheur ! »
…
Une mélodie de Gainsbourg sur un amour maladif me réveille. Je m’assois dans l’espace semi obscur de ma chambre, j’écris ces quelques notes.
« Mauvaises nouvelles des étoiles »
Je me rappelais un été mis en scène, des journées sismiques ou devant « elle », j’avais honte d’exister et cela jusqu'à la poussière sur les meubles.
Pas de miroir dans la salle d’eau pour refléter mon visage hirsute
Est-ce que le monde continuerait sans cesse ainsi ?
Je viens de confirmer mon rendez-vous pour demain. Regarde t il le reflet de son âme et moi celui de la mienne ?
Je tisse malgré tout des silences en moi sur ces questions, préférant être comme un « autre » pour ces plaisirs ou nous macérons.
L’oubli, puis de l’oubli à l’identité !
Lundi 26 décembre 2011
Je ne crois pas avoir dormis plus de 10 a 20 minutes. Au final, vers 4h, c’est l’agacement de me tourner et retourner dans le lit qui m’a fait me lever. Un peu d’eau fraiche sur le visage, une grande tasse de café. Lecture de Henry Miller.
…
Fin de nuit. Mon enthousiasme ne se trouvant aucun but ou aucun objet à dévorer, il se retournait contre moi me consumant les nerfs.
Les premières voitures dans la rue, un semblant d’animation extérieure arrivèrent à propos.
Le jour !
Mardi 27 décembre 20011
Arrivé à Perpignan en début d’après-midi. Un temps frais et clair.
…
Au réveil d’une sieste qui m’a bien reposé. L’appartement minuscule, la fin d’après-midi….
Je dois aller faire quelques courses pour la soirée. Muscat et Champagne au frigo.
J’ai ramené de st Hippolyte quelques lectures en cours : Matzneff et Spengler. De bons compagnons pour la soirée.
Mercredi 28 décembre 2011
Je suis heureux de noter plus de choses sur cette période de l’année qu’en 2010. Je pense parfois a Aude, je ne souffre pas de ce souvenir.
Hier soir, discussion avec R et partie de jambes en l’air avec M. en a suivi un fort mal de tête.
Il est bientôt 6h, je me promets de d’arrêter le Poppers, préférer plutôt quelques joints d’herbes.
Ecoute ce matin d’un album des Beatles et hier soir des « variations Diabelli » par Richter.
Tranquillité d’esprit
Quasi insouciance
Le froid pénètre l’appartement et le chauffage fonctionne a plein régime.
Bleu dans l’azur. Enième cigarette et première bière. Ecoute d’une compilation des Rolling stones.
Jeudi 29 décembre 2010
Un temps froid avec du vent en rafales. Un bar bourgeois par très loin de chez mon psy. J’ai trouvé par hasard chez un petit libraire une vielle édition du docteur Faustus de TH. Mann.
Sortir de ce bar ou il fait trop chaud
L’inconfort d’être parmi ces conversations idiotes et complaisantes. Le monde comme il va !
Sortir…
Salle d’attente.
Souplesse de l’esprit.
Je regarde la coiffure hystérique des arbres exilés dans le parc voisin. Le soleil vient peu a peu sur les façades blanches.
Je pense rester à Perpignan jusqu’en milieu d’après-midi.
Sur la place du village, alentour 2h du matin.
Ils rêvent
et au-dessus des toits, « à l'arrière des taxis »...
dorment des écorchées, « la gueule en moins »
d'immenses serpents féminins se lèvent dans ma mémoire, prennent mon âme à revers.
Il fait froid cette nuit.
Tout est plus froid en elle ce soir...et a jamais.
En quoi l'avenir est-il au hasard ?
Provoquer les océans d'un revers de main !
///
avenir ensemble !
Monde ensemble !
L'apogée de ton odeur ancienne. Ces mots ne sont pas hors de moi.
Visitation béate/ résonance cardinale/devenir miracle !
Ça y est, là, bien de ce monde, aujourd'hui.
« après elle.... »
comme une tendresse anthropophage.
Tôt ou tard j'oublierais ces instants là, cette nuit. Je jette un dernier coup d’œil sur ces territoires en moi.
Dans quelques jours, je remonterais dans le train de la vie.
Jeudi 15 décembre 2011
soirée à Perpignan. On ingurgite
pizza
clopes
café
livres
…
Vendredi 16 décembre 2011
réveil à 00.40 l'estomac en vrac. Envie de vomir. Je traîne sur quelques sites.
Le froid au-dessus de cette nuit.
On voudrait entendre n'importe quoi dehors. Il n'y a rien !
La température hivernale déloge jusqu'à la moindre colère. Chacun en soi.
Et mes yeux vers les débuts, celui du jour, d'un amour, même une simple admiration passagère serait bonne à prendre.
Trajectoire de l’œil sous la lampe.
Plus de cigarette.
J'ai parfois comme des tensions nerveuses et des larmes, des malaises ou une joie incontrôlable.
Je savais que tout peut disparaître subitement.
J'étais calme.
Des murmures vers le jour...
ce monde passait décidément assez mal.
Je méprise cette époque, un peu comme une fantaisie morale. Je lui trouve des points noirs, des bubons, la laideur adolescente.
Longue discussion avec Damien cette nuit.
Couché aux alentours de 5h.
Couché dans une ville sans une seule personne, mes rêves au front !
Ce matin, assis sur un banc de la promenade du Palais des congrès...
je suis tellement hanté d'autre histoires, d'autres temps.
Presque tape a l’œil ma nostalgie.
Et le piège s'est refermé durant les années 90...
le ciel est inchangé depuis des milliers d'années. Cela me rassure
un visage d'arrogance passe et regarde, des regards trop sérieux, affectés
je pense à quelques amants
et cela finit dans des après-midi comme aujourd'hui.
Avec moi et le monde.
Rêves bunkerisés du sommeil sur des décennies !
Bien sur que je croise des regards, les gens, personnes, personnages passent mal aussi.
…
attente du dernier bus et retour vers st Hippolyte.
Lundi 19 décembre 2011
début de nuit, silence dans la demeure parentale. Échange de SMS avec R que je dois rencontrer demain. Un dialogue d'excitation réciproque, assez idiot, ponctué par les bips du téléphone.
Depuis trois jours le vent heurte, cogne mes nerfs. Ce week-end a été difficile. Même s'il n'est minuit passé que de quelques minutes, je suis content d'être lundi matin/nuit.
Ce silence maintenant prend les proportions d'une méditation, d'un songe.
Le clocher sonne une demie-heure nuit
somnolé une heure. Les autres ne prennent pas en charge ce que tu vis. Même pas concrètement en « artiste du Dimanche »
ha ha « je comprends tout, je comprends tout ! »
c'est une autre personne, là, enfant, hors du monde
tu le sais
les êtres affairés avec le temps
pas de communion pour eux
je ne dois arriver à aucune violence
je dois savoir que les limites de mon corps...
sans la honte d'être seul
mardi 20 décembre 2011
Après le petit matin, vers 9h la journée s’annonce grise.
Samedi 24 décembre 2011
Un vent violent s’est levé pendant la nuit. Je ne sais rien de la solitude, j’y accoste à peine.
Le soleil est un cercle froid.
Il me semble qu’aujourd’hui…
Aujourd’hui : NATIVITE !
Les jours ordinaires me trouvent mieux, des exaltations ici !
On ne demande rien, le temps passe
Le monde passe.
Dimanche 25 décembre 2011
Il me faudrait trouver quelque territoire paisible en moi. Début de soirée…et le malaise grandit au contact des personnes.
Mon débit de parole est chaotique.
Je pense annuler mon rendez-vous avec M demain.
Ou mènera cette recherche de tranquillité ?
M’y tiendrais-je ?
Peut-être une ivresse au bout de tout cela mais pour l’instant dormir un peu.
L’éveil dans le contact du monde est terrifiant mais comme d’autres nous le nommerons « bonheur ! »
…
Une mélodie de Gainsbourg sur un amour maladif me réveille. Je m’assois dans l’espace semi obscur de ma chambre, j’écris ces quelques notes.
« Mauvaises nouvelles des étoiles »
Je me rappelais un été mis en scène, des journées sismiques ou devant « elle », j’avais honte d’exister et cela jusqu'à la poussière sur les meubles.
Pas de miroir dans la salle d’eau pour refléter mon visage hirsute
Est-ce que le monde continuerait sans cesse ainsi ?
Je viens de confirmer mon rendez-vous pour demain. Regarde t il le reflet de son âme et moi celui de la mienne ?
Je tisse malgré tout des silences en moi sur ces questions, préférant être comme un « autre » pour ces plaisirs ou nous macérons.
L’oubli, puis de l’oubli à l’identité !
Lundi 26 décembre 2011
Je ne crois pas avoir dormis plus de 10 a 20 minutes. Au final, vers 4h, c’est l’agacement de me tourner et retourner dans le lit qui m’a fait me lever. Un peu d’eau fraiche sur le visage, une grande tasse de café. Lecture de Henry Miller.
…
Fin de nuit. Mon enthousiasme ne se trouvant aucun but ou aucun objet à dévorer, il se retournait contre moi me consumant les nerfs.
Les premières voitures dans la rue, un semblant d’animation extérieure arrivèrent à propos.
Le jour !
Mardi 27 décembre 20011
Arrivé à Perpignan en début d’après-midi. Un temps frais et clair.
…
Au réveil d’une sieste qui m’a bien reposé. L’appartement minuscule, la fin d’après-midi….
Je dois aller faire quelques courses pour la soirée. Muscat et Champagne au frigo.
J’ai ramené de st Hippolyte quelques lectures en cours : Matzneff et Spengler. De bons compagnons pour la soirée.
Mercredi 28 décembre 2011
Je suis heureux de noter plus de choses sur cette période de l’année qu’en 2010. Je pense parfois a Aude, je ne souffre pas de ce souvenir.
Hier soir, discussion avec R et partie de jambes en l’air avec M. en a suivi un fort mal de tête.
Il est bientôt 6h, je me promets de d’arrêter le Poppers, préférer plutôt quelques joints d’herbes.
Ecoute ce matin d’un album des Beatles et hier soir des « variations Diabelli » par Richter.
Tranquillité d’esprit
Quasi insouciance
Le froid pénètre l’appartement et le chauffage fonctionne a plein régime.
Bleu dans l’azur. Enième cigarette et première bière. Ecoute d’une compilation des Rolling stones.
Jeudi 29 décembre 2010
Un temps froid avec du vent en rafales. Un bar bourgeois par très loin de chez mon psy. J’ai trouvé par hasard chez un petit libraire une vielle édition du docteur Faustus de TH. Mann.
Sortir de ce bar ou il fait trop chaud
L’inconfort d’être parmi ces conversations idiotes et complaisantes. Le monde comme il va !
Sortir…
Salle d’attente.
Souplesse de l’esprit.
Je regarde la coiffure hystérique des arbres exilés dans le parc voisin. Le soleil vient peu a peu sur les façades blanches.
Je pense rester à Perpignan jusqu’en milieu d’après-midi.
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