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Nous avons 448 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est Marine8316
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cher F
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Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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cher F
« Un jour j’irai vers l’irréel, j’irai vers une ombrelle, y seras tu ? » Bashung
Cendrier
Café
Store
Dehors s’évaporent les mémoires
« Aimant l’amour »
Je me marre
Il est loin maintenant, loin du lit, loin de mon appétit dégoutant et je me rappelle toujours son visage de chien battu
Torturé suis-je ?
« Vertiges de l’amour »
Allons menteur !
Je vais luis briser les tibias, je vais lui sectionner les jarrets, je vais manger son cœur.
Full time job
Samedi aprèm
On se prélasse sur l’autoroute
Et la ville à beau hurler
Je resterai sourd
Je passe
Mes pas les siens
La solitude est le cadeau des âmes rares
Encore faut-il la peupler ?
« Je positive »
J’ai vu des choses merveilleuses un samedi soir comme les autres
Des hommes qui se dirigent, le regard froid où fier
Des amoureux qui cherchent encore l’amour
De paroles échangées et une guitare au milieu
Des passages tagués
J’ai laissé le monde derrière moi ce soir et mes yeux tanguaient
Vertiges
Mais contrôle
Ce regard fier, assuré dans son veston
Ma foi
Un jour
Il aura existé
Un jour
Nous aurons vécu
Il y avait la guerre entre leurs deux yeux
Plats à emporter
Sushi bar
Un jeune arriviste passe accompagnée d’une jeune arriviste
Je suppose
Pas encore couché ?
Non
On tâte dans le vestibule
Rues, places, ponts, bars
Rues, places, ponts, bars
Et bien plus encore
Je n’ai croisé aucun funambule
Bah c’est le sang qui fleurit aux tempes
Et pourtant
Il devait y avoir un miracle /mirage derrière un regard
Passons
Une rue
Puis une autre
Mon immeuble
Mon ascenseur
Ma porte
Et puis tu sais
« Ma musique de mort »
Cendrier
Café
Store
Dehors s’évaporent les mémoires
« Aimant l’amour »
Je me marre
Il est loin maintenant, loin du lit, loin de mon appétit dégoutant et je me rappelle toujours son visage de chien battu
Torturé suis-je ?
« Vertiges de l’amour »
Allons menteur !
Je vais luis briser les tibias, je vais lui sectionner les jarrets, je vais manger son cœur.
Full time job
Samedi aprèm
On se prélasse sur l’autoroute
Et la ville à beau hurler
Je resterai sourd
Je passe
Mes pas les siens
La solitude est le cadeau des âmes rares
Encore faut-il la peupler ?
« Je positive »
J’ai vu des choses merveilleuses un samedi soir comme les autres
Des hommes qui se dirigent, le regard froid où fier
Des amoureux qui cherchent encore l’amour
De paroles échangées et une guitare au milieu
Des passages tagués
J’ai laissé le monde derrière moi ce soir et mes yeux tanguaient
Vertiges
Mais contrôle
Ce regard fier, assuré dans son veston
Ma foi
Un jour
Il aura existé
Un jour
Nous aurons vécu
Il y avait la guerre entre leurs deux yeux
Plats à emporter
Sushi bar
Un jeune arriviste passe accompagnée d’une jeune arriviste
Je suppose
Pas encore couché ?
Non
On tâte dans le vestibule
Rues, places, ponts, bars
Rues, places, ponts, bars
Et bien plus encore
Je n’ai croisé aucun funambule
Bah c’est le sang qui fleurit aux tempes
Et pourtant
Il devait y avoir un miracle /mirage derrière un regard
Passons
Une rue
Puis une autre
Mon immeuble
Mon ascenseur
Ma porte
Et puis tu sais
« Ma musique de mort »
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
Re: cher F
Un clic-Dédé et je tombe sur ce poème sans réponse...
Pourtant il en vaut bien au moins une...
La mienne sera que OUI il manquera l'artiste.
Très bien écrit en +
Merci Marc
Sylvie
Pourtant il en vaut bien au moins une...
La mienne sera que OUI il manquera l'artiste.
Très bien écrit en +
Merci Marc
Sylvie
Re: cher F
Sylvie a écrit:Un clic-Dédé et je tombe sur ce poème sans réponse...
Pourtant il en vaut bien au moins une...
La mienne sera que OUI il manquera l'artiste.
Très bien écrit en +
Merci Marc
Sylvie
Je n'ai rien à ajouter ni à enlever (sauf les lignes vides) au commentaire de Sylvie.
Nilo, il en vaut même deux, et certainement plus.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: cher F
j'aime et j'aime moins
mais pour des trucs comme ça, j'aime, :
"La solitude est le cadeau des âmes rares"
"Il y avait la guerre entre leurs deux yeux"
"Rues, places, ponts, bars
Rues, places, ponts, bars
Et bien plus encore
Je n’ai croisé aucun funambule
Bah c’est le sang qui fleurit aux tempes"
mais pour des trucs comme ça, j'aime, :
"La solitude est le cadeau des âmes rares"
"Il y avait la guerre entre leurs deux yeux"
"Rues, places, ponts, bars
Rues, places, ponts, bars
Et bien plus encore
Je n’ai croisé aucun funambule
Bah c’est le sang qui fleurit aux tempes"
Re: cher F
Tiens encore un heureux retour du PUTCH Dédé.
Nilo, N.
Nilo, N.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
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