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Sénégal,Nianing, Décembre74 à..201° à 206° Bon°
Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
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Sénégal,Nianing, Décembre74 à..201° à 206° Bon°
Une maison de rêve !
Il faut vivre un Noël en Afrique.
Nianing, vaut bien une messe ?
Il faut vivre un Noël en Afrique.
Nianing, vaut bien une messe ?
N’Diaye arriva chez nous avec un gros cabas dans les bras, en disant :
--Mademoiselle Isabelle, mademoiselle…
Isa sortit come une trombe et alla vers lui en criant :
--C’est mes lapins papa, mes lapins.
La porte du clapier ouverte, on libéra tant bien que mal à l’intérieur, ses braves petites bêtes, cinq au total de couleurs diverses. N’Diaye alla au potager leur chercher quelques feuilles de salade, des carottes et Isa leur apporta de quoi se désaltérer. Je fis quelques photos et on remercia notre ami de sa gentillesse. Christian s’esclaffa en riant :
--Moi je veux un coq !
Ali, nous avait bien aidés avec toute l’équipe d’Ada. Tout était rangé. Je disais à Ty qu’Apo m’avait proposé un local pour en faire un atelier. Ce qui libérerait tout ce qui était ici en attente.
La prochaine nuit, nous allions la passer chez nous, dans cette maison si longtemps attendue. A plus de deux cent mètres de la piscine, sans sonos, sans personnes, que les calaos rouges et d’autres aux becs noirs, qui avaient pris pension ici ! Avec chacun nos vélos, nous serions vite rendus, « au travail ».
A la veille du vingt trois décembre, le Domaine s’était rempli et une joyeuse effervescence dominait. Armande avait annoncé sa présence et c’était un événement de l’avoir avec nous. Désirant me parler, je la retrouvais à la réception. Nous fîmes un rapide tour d'horizon sur le programme des festivités remis à Apo, et elle m'annonça qu'elle avait prévu des petits paquets cadeaux pour les enfants de Dakarois et pour les rares enfants de touristes. Pour le soir de Noël, j’avais dessiné avec N’Dongo, un panneau religieux, représentant une crèche d’un mètre de coté, qui prendrait place à l’entrée du restaurant. De son coté, elle avait amené un stock de boules de noël, du fil de nylon et me confia le tout pour décorer le restaurant. On ferait ça cette nuit. Dans le programme, rien n’était à redire, mis à part la soirée boubous, car elle aurait voulu le savoir plus tôt, pour avoir plus de choix dans sa mini boutique. Je lui disais que le temps viendrait et que c’était vrai, pas mal de gens étaient allés à l’Aldiana. On parla de ma situation financière et du courrier remis à Apo.
--Marc, il n’y a pas que toi…
Tiens elle me tutoyait ? Elle me dit qu’elle aussi était souvent stressée, mais qu’on trouverait un arrangement pour ma situation, que je tienne le coup. Ca y est vous êtes chez vous ? A mon sourire elle comprit notre joie récente. Je ne la connaissais pas et pourtant je sentais que je pouvais avoir confiance. Apo et elle dinèrent au personnel. Ty, passa aux tables et ayant fais mes annonces, on dina avec des amis vacanciers. C’est fou comme ce métier nous rapprochait naturellement des gens. Ce soir là, la discothèque fit le plein et avec une bonne équipe d’acrobates et d’échelles, on accrocha plus de deux cents boules aux armatures de la paillote. C’était super.
Les plantes vertes de N’Diaye, serviraient à mettre en valeur mon panneau où brillerait une belle étoile au firmament. La grotte était remplacée par une bergerie africaine et le petit Jésus… Serait Noir.
--Mademoiselle Isabelle, mademoiselle…
Isa sortit come une trombe et alla vers lui en criant :
--C’est mes lapins papa, mes lapins.
La porte du clapier ouverte, on libéra tant bien que mal à l’intérieur, ses braves petites bêtes, cinq au total de couleurs diverses. N’Diaye alla au potager leur chercher quelques feuilles de salade, des carottes et Isa leur apporta de quoi se désaltérer. Je fis quelques photos et on remercia notre ami de sa gentillesse. Christian s’esclaffa en riant :
--Moi je veux un coq !
Ali, nous avait bien aidés avec toute l’équipe d’Ada. Tout était rangé. Je disais à Ty qu’Apo m’avait proposé un local pour en faire un atelier. Ce qui libérerait tout ce qui était ici en attente.
La prochaine nuit, nous allions la passer chez nous, dans cette maison si longtemps attendue. A plus de deux cent mètres de la piscine, sans sonos, sans personnes, que les calaos rouges et d’autres aux becs noirs, qui avaient pris pension ici ! Avec chacun nos vélos, nous serions vite rendus, « au travail ».
A la veille du vingt trois décembre, le Domaine s’était rempli et une joyeuse effervescence dominait. Armande avait annoncé sa présence et c’était un événement de l’avoir avec nous. Désirant me parler, je la retrouvais à la réception. Nous fîmes un rapide tour d'horizon sur le programme des festivités remis à Apo, et elle m'annonça qu'elle avait prévu des petits paquets cadeaux pour les enfants de Dakarois et pour les rares enfants de touristes. Pour le soir de Noël, j’avais dessiné avec N’Dongo, un panneau religieux, représentant une crèche d’un mètre de coté, qui prendrait place à l’entrée du restaurant. De son coté, elle avait amené un stock de boules de noël, du fil de nylon et me confia le tout pour décorer le restaurant. On ferait ça cette nuit. Dans le programme, rien n’était à redire, mis à part la soirée boubous, car elle aurait voulu le savoir plus tôt, pour avoir plus de choix dans sa mini boutique. Je lui disais que le temps viendrait et que c’était vrai, pas mal de gens étaient allés à l’Aldiana. On parla de ma situation financière et du courrier remis à Apo.
--Marc, il n’y a pas que toi…
Tiens elle me tutoyait ? Elle me dit qu’elle aussi était souvent stressée, mais qu’on trouverait un arrangement pour ma situation, que je tienne le coup. Ca y est vous êtes chez vous ? A mon sourire elle comprit notre joie récente. Je ne la connaissais pas et pourtant je sentais que je pouvais avoir confiance. Apo et elle dinèrent au personnel. Ty, passa aux tables et ayant fais mes annonces, on dina avec des amis vacanciers. C’est fou comme ce métier nous rapprochait naturellement des gens. Ce soir là, la discothèque fit le plein et avec une bonne équipe d’acrobates et d’échelles, on accrocha plus de deux cents boules aux armatures de la paillote. C’était super.
Les plantes vertes de N’Diaye, serviraient à mettre en valeur mon panneau où brillerait une belle étoile au firmament. La grotte était remplacée par une bergerie africaine et le petit Jésus… Serait Noir.
*
Dès le lendemain, Apo me fis dire que je pouvais installer mes affaires dans le nouveau local qu’il m’avait désigné. Les choses allaient vite et, avec Christian on alla le visiter. Tout en longueur, peu lumineux, mais dotait d’une armoire, d’une table à dessin, ce qui me fit plaisir et, surprise, il était climatisé ! Il suffirait de rajouter des néons, une autre armoire métallique et quelques étagères. Avec le petit car woswagen, on fit l’aller et retour. Ty était contente de récupérer de la place. Christian me suggéra qu’on pourrait ranger ici, le matériel sono à réparer, et les vieux disques. On frappa à la porte entrouverte, et Estival se montra avec son petit sourire.
--Et bien, vous en prenez de la place les Tremsal ! Non, je plaisante, c’est moi qui est construit cette bâtisse. Vous serez bien ici, comme atelier.
Et puis il nous fit signe de le suivre chez lui, à coté et on passa un moment sympa. Des photos de la famille, de sa femme qui ne tarderait pas. Son Whisky hors d’âge, me monta à la tête et Christian me faisait des signes pour partir. Estival avait le profil du français d’ Afrique, toujours halé, aimant bavarder, et son petit verre... Sa compétence était hors paire.
Apo passait son temps aux cuisines, et savourait l’importance de ses stocks, bien en sécurité. Il venait d’acheter à un fournisseur de crevettes, plus de deux cents cinquante kilos, à congeler. Il en avait fait autant avec un pécheur d’énormes Tiofs ou mérous, de plus de quatre vingt dix centimètres de long. Pour Apo, la table était prioritaire et comme il aimait à le dire, on ne gagne rien financièrement avec « la bouffe » que des soucis, mais, ce qui fait plaisir c'est, qu'en retour nous obtenons, quand même, bien de félicitations!.
*
Cette journée de veille de Noël, le Domaine archi plein, c'est-à-dire avec les enfants plus de cent vingt personnes, le temps était plus chaud. L’océan s’était rafraichi et les soirs la brise de mer venait jusqu’au cœur du parc. Le vingt quatre au soir, spécialement, le ballet Déguédiou était venu, avec un spectacle à thème, que m’avaient inspiré des contes Africains. J’avais expliqué, à Pape Gueye ce que je désirais et ils avaient bien préparé, ce qui s’apparentait plus au théâtre, qu’à un ballet folklorique. En fait, il était question d’un royaume africain, et de combats, de joutes, entre un esclave et un des fils du roi. Si l’esclave l’emportait il était affranchi et pouvait après divers épreuves réussies, demander en mariage, une des filles du monarque. Le fils battu, devait subir seulement une série d’épreuves physiques.
--Et bien, vous en prenez de la place les Tremsal ! Non, je plaisante, c’est moi qui est construit cette bâtisse. Vous serez bien ici, comme atelier.
Et puis il nous fit signe de le suivre chez lui, à coté et on passa un moment sympa. Des photos de la famille, de sa femme qui ne tarderait pas. Son Whisky hors d’âge, me monta à la tête et Christian me faisait des signes pour partir. Estival avait le profil du français d’ Afrique, toujours halé, aimant bavarder, et son petit verre... Sa compétence était hors paire.
Apo passait son temps aux cuisines, et savourait l’importance de ses stocks, bien en sécurité. Il venait d’acheter à un fournisseur de crevettes, plus de deux cents cinquante kilos, à congeler. Il en avait fait autant avec un pécheur d’énormes Tiofs ou mérous, de plus de quatre vingt dix centimètres de long. Pour Apo, la table était prioritaire et comme il aimait à le dire, on ne gagne rien financièrement avec « la bouffe » que des soucis, mais, ce qui fait plaisir c'est, qu'en retour nous obtenons, quand même, bien de félicitations!.
*
Cette journée de veille de Noël, le Domaine archi plein, c'est-à-dire avec les enfants plus de cent vingt personnes, le temps était plus chaud. L’océan s’était rafraichi et les soirs la brise de mer venait jusqu’au cœur du parc. Le vingt quatre au soir, spécialement, le ballet Déguédiou était venu, avec un spectacle à thème, que m’avaient inspiré des contes Africains. J’avais expliqué, à Pape Gueye ce que je désirais et ils avaient bien préparé, ce qui s’apparentait plus au théâtre, qu’à un ballet folklorique. En fait, il était question d’un royaume africain, et de combats, de joutes, entre un esclave et un des fils du roi. Si l’esclave l’emportait il était affranchi et pouvait après divers épreuves réussies, demander en mariage, une des filles du monarque. Le fils battu, devait subir seulement une série d’épreuves physiques.
*
A la suggestion d’Apo, j’avais fais une table décorée de présentation de vins français, proposés à la carte. Chaque jour un bon vin rouge était à discrétion, pour les vacanciers, mais deux fois par an, à Noël et au jour de l’an, tradition oblige, la clientèle jouait le jeu et le maître d’hôtel engrangeait les commandes. Après l’apéritif, la grande paillote accueillait ses habitués, et les Dakarois, pour le grand diner. Symbolisant cette soirée divine, la peinture de la crèche, bien éclairée, faisait l’objet de curiosité et l’intérêt des photographes. J’avais installés la sono dehors, pour la soirée dansante. Armande et Apo, aux cuisines, feraient une apparition à minuit pour la remise des cadeaux, Apo habillé en boubou rouge, comme le père Noël. Nous avions avec les enfants, fait comme tous les vacanciers, un effort, pour revêtir une tenue de soirée. Isa, avait une petite robe à fleurs, Christian, comme moi, une chemise pastelle et un pantalon noir et Ty, un ensemble deux pièces, africain. Avant d’arriver au restaurant, je les emmenais, au quartier de mon atelier. Il y avait une petite paillote et je leur fis la surprise. Un tout petit arbre de Noël, décoré et une crèche. On fit une prière pour tous les nôtres, pour nous, pour notre prochain. Il manquait que les cadeaux, c’était la première fois…
Le grand buffet ne tarda pas à présenter ses grands plats froids, où les grands poissons farcis, crevettes et plateaux de charcuterie, firent l’objet des convoitises de tous. J’avais annoncé au fur et à mesure, le menu par le micro. En plat chaud, le plat national, Boeuf au maffé (sauce à l’arachide), servi aux tables. Ce qui fit le maximum d’effet, ce fut le grand plateau de fromages de France, vraiment exceptionnel, et les corbeilles de fruits exotiques, en présentation sur les buffets. Samba, le maître d’hôtel, me dit à l’oreille d’aller voir Apo, aux cuisines. Installés à la table du personnel, Apo et Armande, tout en grignotant, comptabilisaient les extras de la soirée.
--Bravo marc, ta présentation du vin, tes annonces, le menu, ont fait que nous battons des records de vente de nos vins de cave. Tiens, bois un coup de Bordeaux. A ta santé et aux tiens.
Armande se leva et me fit une bise.
Le bruit avait couru qu’une messe de Noêl, avait lieu à vingt deux heures trente à M’Bodienne et Babacar, mis au courant, avait stationné son petit car, à l’entrée du Domaine. Le diner se prolongeait et nous étions avec des amis en salle, lorsqu’Apo, presque en furie, de l’extérieur me fit des signes…
--Marc, qu’est-ce que c’est, que cette histoire de messe ?
Apo, ça ne vient pas de moi, je ne suis pas au courant.
--On m’a dit que c’était toi, les gens vont quitter le repas, je ne vendrai pas mon vin… Atterré et devant cette attitude, je rejoignais notre table. Ce qui fut grave dans cette affaire, c’est qu’au retour de la première navette sur m’Bodiene, Apo, dit aux gens qu’il y en avait plus, et qu’une bonne dizaine de vacanciers, firent les frais de sa colère. Vraiment, j’étais déçu, et contrarié. A l’approche de Minuit, je mettais une cassette de chants de Noël, et sur la grande table du jardin, Jacqueline avait installé les cadeaux. Apo et Armande arrivèrent sous les applaudissements. Photos, bonne ambiance et chacun, chacune commencèrent à prendre place dans le jardin. N’ayant pas revu Apo depuis l’incident, il ne me restait plus qu’à animer la soirée dansante.
Ma petite sono personnelle, fit bon effet, avec un bon choix de musiques. L’ambiance était à la valse, au tango, au rock et vers une heure, de la Disco. Le Merle Bleu, ne tarda pas à accueillir les couche-tard. Le calme était revenu, Apo avait dû rentrer se coucher, comme ma petite famille. Après avoir siroté un Whisky, avec un couple sympa, je rentrais chez nous, au fin fond du parc. Sous un ciel noir, où se cachaient des milliers de galaxies, je découvrais, mes deux étoiles favorites, les plus brillantes, la polaire et vénus. Ici, plus de bruits, plus d’éclats de voix, plus de tensions, que l’intime bonheur de voir dormir mes enfants. Ty, s’étant réveillée, elle me dit simplement.
--Marc, c’était très bien, ta soirée aussi. Bonne nuit.
Un premier Noël en Afrique… Cette nuit là, Il fallait que le meilleur reste, en survolant les tracasseries et veiller sur ceux que j’ aimais. Demain, serait une journée encore de fête, avec certainement beaucoup de passages. En m’endormant je revoyais ce cher Apo hors de lui. Quel dommage. Moi, n’étant pour rien dans cette affaire, mais lui pensant le contraire, il faudrait avoir une explication, encore une…
Le grand buffet ne tarda pas à présenter ses grands plats froids, où les grands poissons farcis, crevettes et plateaux de charcuterie, firent l’objet des convoitises de tous. J’avais annoncé au fur et à mesure, le menu par le micro. En plat chaud, le plat national, Boeuf au maffé (sauce à l’arachide), servi aux tables. Ce qui fit le maximum d’effet, ce fut le grand plateau de fromages de France, vraiment exceptionnel, et les corbeilles de fruits exotiques, en présentation sur les buffets. Samba, le maître d’hôtel, me dit à l’oreille d’aller voir Apo, aux cuisines. Installés à la table du personnel, Apo et Armande, tout en grignotant, comptabilisaient les extras de la soirée.
--Bravo marc, ta présentation du vin, tes annonces, le menu, ont fait que nous battons des records de vente de nos vins de cave. Tiens, bois un coup de Bordeaux. A ta santé et aux tiens.
Armande se leva et me fit une bise.
Le bruit avait couru qu’une messe de Noêl, avait lieu à vingt deux heures trente à M’Bodienne et Babacar, mis au courant, avait stationné son petit car, à l’entrée du Domaine. Le diner se prolongeait et nous étions avec des amis en salle, lorsqu’Apo, presque en furie, de l’extérieur me fit des signes…
--Marc, qu’est-ce que c’est, que cette histoire de messe ?
Apo, ça ne vient pas de moi, je ne suis pas au courant.
--On m’a dit que c’était toi, les gens vont quitter le repas, je ne vendrai pas mon vin… Atterré et devant cette attitude, je rejoignais notre table. Ce qui fut grave dans cette affaire, c’est qu’au retour de la première navette sur m’Bodiene, Apo, dit aux gens qu’il y en avait plus, et qu’une bonne dizaine de vacanciers, firent les frais de sa colère. Vraiment, j’étais déçu, et contrarié. A l’approche de Minuit, je mettais une cassette de chants de Noël, et sur la grande table du jardin, Jacqueline avait installé les cadeaux. Apo et Armande arrivèrent sous les applaudissements. Photos, bonne ambiance et chacun, chacune commencèrent à prendre place dans le jardin. N’ayant pas revu Apo depuis l’incident, il ne me restait plus qu’à animer la soirée dansante.
Ma petite sono personnelle, fit bon effet, avec un bon choix de musiques. L’ambiance était à la valse, au tango, au rock et vers une heure, de la Disco. Le Merle Bleu, ne tarda pas à accueillir les couche-tard. Le calme était revenu, Apo avait dû rentrer se coucher, comme ma petite famille. Après avoir siroté un Whisky, avec un couple sympa, je rentrais chez nous, au fin fond du parc. Sous un ciel noir, où se cachaient des milliers de galaxies, je découvrais, mes deux étoiles favorites, les plus brillantes, la polaire et vénus. Ici, plus de bruits, plus d’éclats de voix, plus de tensions, que l’intime bonheur de voir dormir mes enfants. Ty, s’étant réveillée, elle me dit simplement.
--Marc, c’était très bien, ta soirée aussi. Bonne nuit.
Un premier Noël en Afrique… Cette nuit là, Il fallait que le meilleur reste, en survolant les tracasseries et veiller sur ceux que j’ aimais. Demain, serait une journée encore de fête, avec certainement beaucoup de passages. En m’endormant je revoyais ce cher Apo hors de lui. Quel dommage. Moi, n’étant pour rien dans cette affaire, mais lui pensant le contraire, il faudrait avoir une explication, encore une…
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