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Retour au Sénégal, Nianing, Juillet 1974, 130° à 132° Bon°
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Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
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Retour au Sénégal, Nianing, Juillet 1974, 130° à 132° Bon°
Une véritable rupture.
Une arrivée attendue ?
Notre vie africaine commence...
Suresnes le 20 Juillet 1974, au matin…
…Et à Orly.
Une arrivée attendue ?
Notre vie africaine commence...
Suresnes le 20 Juillet 1974, au matin…
…Et à Orly.
Mon dernier coup de fil, avant de quitter Suresnes, a été pour mes parents, bien sûr, très émus. Hier soir, nous avions Tunis, et les parents de Ty. Ensuite elle a appelé son ami…J’ai appelé aussi mes cinq frères et mes cinq sœurs. Mon Paul, qui m’a bien aidé, m’a rappelé, il veut absolument, qu’on garde le contact. J’avais vu dans la semaine mon ami Jean-Claude avec la famille, et Marcelle Oury, mais je les ai appelés une dernière fois. Avec Hubert, qui est venu s’installer au Donjon, on a fait le tour de l’appartement. Il est enchanté.
A Orly, nous sommes arrivés en avance en fin de matinée. Bernard frère a fait le taxi. Hubert, avec ma voiture pratiquement vendue, a été mobilisé, et les coffres étaient pleins. Nous avons bien fait de confier à Jet Tours deux cantines qui suivront. Le fidèle René Tabone, est là, ainsi que le représentant Jet Tours. René a touché un mot au commandant de bord. Avec nous quatre, s’ajoute un petit groupe de voyageurs pour le Domaine, d’une vingtaine de personnes.
Ce 20 juillet 1974, fera date. L’énorme Boeing n’est parait-il pas complet. Nous avons six valises, et ça ne devrait pas poser de problème. Cette dernière matinée parisienne, nous gratifie d’une petite pluie. Espérons que les régions de France, en ce moment en période de sécheresse, bénéficieront jusqu’à la fin de l’été, d’une pluviométrie mieux répartie. Grâce à Jet tours, l’enregistrement s’est bien passé, et après l’affectueux au revoir, nous voici à deux doigts de rejoindre l'avion. Achats de quelques revues, d’illustrés pour Christian et Isabelle, qui vont connaître leur baptême de l’air vers l’Afrique noire. Nous voici embarqués !
Les hôtesses sont charmantes et nous ont placés en classe éco, sur la première rangée, vu qu’il y a de la place. Ty, me semble moins tendue. Ses derniers rendez-vous à Jet tours, les nouvelles consignes, vont lui permettre de mettre en place une représentation plus dynamique et une relation plus efficace avec l’hôtelier. Je ferai tout pour l’aider, la seconder. Elle doit rencontrer le Directeur de Sénégal Tours, Jean-Claude Rasch, qui gère et organise, toutes les excursions. Le vol est assez secoué par moments et le commandant a annoncé des orages sur le Sénégal. C’est vrai que nous arrivons au début de la saison des pluies, dont le caractère violent des fortes pluies, est bien connu. Nous arriverons vers vingt heures, heure locale. Apo, au courant de notre arrivée, m’a confirmé qu’il viendrait à Nianing dimanche. Nous prendrons le car pour rejoindre le Domaine. Autour de moi, tout le monde dort. La cabine est calme. Je songe qu’il y a moins de cinq mois, je faisais ce vol dans l’autre sens, avec Mathilde, et ce pari fou…de participer activement, aux équipements sportifs, du Domaine, et de revenir m’y installer, en famille ! Pour nous rassurer, le commandant de bord, nous signal, qu’il a contourné la zone orageuse et que l’on n’aura pas de retard. Je montre aux enfants par un hublot, l’arrivée sur Dakar dans les nuages. Quelques lumières apparaissent par endroits, enfin voici le balisage bleuté de la piste…Je suis toujours admiratif pour les atterrissages réussis et comme c’est le cas, J’applaudis et je ne suis pas le seul.
Dés la sortie de l’avion, sur la passerelle, une forte chaleur humide, nous envahit. Il fait nuit noir. On rejoint à pied une des entrées d’un des bâtiments de l’aéroport. Une foule dense, bruyante, est ce que l’on découvre en entrant dans la salle d’accueil, et une ribambelle de porteurs s’époumonent ! Le représentant Jet Tours est présent et accueille notre petit groupe. Avec Ty, nous reconnaissons les lieux et les enfants ouvrent grands leurs yeux. Nos bagages retirés, nous arrivons à franchir la bousculade et à trouver le car de Sénégal Tours. Le chauffeur nous reconnait, on avait fait un transfert avec lui…Ty, s’est assoupie. Je suis surpris de voir le degré de résistance de nos enfants. En plein embouteillage, Ils regardent dans la nuit, de la vitre du car, un troupeau de zébus qui traverse affolé la route. Longeant la chaussée encombrée, des femmes en boubous bariolés, éclairées par des lampes champêtres, vendent encore, malgré l’heure tardive des fruits, des légumes. Il faut encore gagner quelques francs cfa !
Nous ne sommes pas loin de la ville de Rufisque, appelée la Portugaise…Le car roule mieux et loin des lumières, tout est plongé dans la nuit noire. Il me tarde d’arriver. Je suis dans un état d’impatience et de joie, heureux d’être avec les miens. Que nous réserveront, ces semaines d’acclimatation, et comment les enfants vont réagir, tant le changement de vie va être radical. Il va être bientôt minuit. Au loin, je reconnais le carrefour, les stations d’essence et l’éclairage urbain de l’entrée de M’Bour. Nous ne sommes plus qu’à neuf kilomètres du Domaine…Mon cœur se serre, nous voici arrivés et toujours au même endroit, à l’entrée du parc, le car s’arrête. Calme absolu, dans la nuit, éclairée par de rares lumières. Un choc, sur la droite, je constate que le trou de la future piscine est toujours là, et qu’aucuns travaux n’ont été entrepris. Il y a même au fond de l’eau de pluie ! Le représentant Sénégal Tours est à l’accueil avec Ada, responsable des chambres, et le petit groupe se dirige vers la paillotte restaurant, pour un verre de rafraichissement. Seuls deux enfants, les nôtres, ont fait partie du voyage. Quelques mots de sympathie, Ada, s »approche et embrasse Ty, et lui remet deux clefs de…Villas. J’ai juste le temps de réaliser que nous n’habiterons pas encore, notre maison au fond du parc…Et, c’est ma deuxième déception. IL fait une chaleur moite et de petites flaques d’eau, témoignent d’une bonne pluie récente. Nous voici répartis dans deux petites habitations, ce sera plus pratique. Ada, en nous quittant me dit que notre maison avance…N’oubliez pas demain dix heures, le pot d’accueil.
Nous voici chez nous. La Villa voisine où vont dormir les enfants et communicante avec la notre. Il est tard, on fera les rangements demain.
--Papa, on est en Afrique ? C’est des crapauds que l'on entend? Où est l’océan…
--Oui, Christian, ça y est, on est arrivé et l’océan est de l’autre coté de la route, à trois cents mètres. Oui, ce sont des crapauds, car c’est la saison des pluies.
-- Mes chéris, au dodo, demain on ira au petit déjeuner ensemble.
--Papa, on est encore en vacances, comme en France ?
--Oui, Isabelle, on visitera le Domaine tous ensemble. Bonne nuit.
Christian s’est endormi…Pour Ty et moi, nous avons deux lits séparés, c’est très bien…Ty, aura le temps de se préparer, elle prend son poste à partir du 1er aout. En m’endormant je réalise le chemin parcouru et tout ce qui nous attend. Apo, devrait venir au Domaine demain et déjà, j’ai à lui dire, le souci de la direction de Hertz Afrique, sur son silence…Puis la piscine ! Et notre maison. Pourtant plusieurs fois, il m’a affirmé au fil, que tout avancé! Vers quatre heures, tonnerre, pluie, vent, je me réveille et vais ouvrir la porte. C’est impressionnant, rien à voir avec nos pluies en France. Ici, ça souffle fort. Le courant est coupé. Et c’est un concert de croassements. Ty se réveille et se demande ce que je fais ?
--Je vais voir les enfants, ne t’inquiète pas.
Je suis rassuré, Ils dorment profondément…Comme il est encore très tôt, je regagne mon lit en attendant l'aurore. A mon réveil, j’entre ouvre la porte, une éclaircie! Certains beaux chants d’oiseaux mêlés à des cris assourdissants résonnent à mes oreilles…C’est l’époque de la nidification et l'on se chamaille de partout ! Ty dort encore. Christian est levé et déjà en tenu d’été. Il a trouvé son bonheur en farfouillant dans les valises....Isabelle ouvre un œil. Il ne lui faut guère de temps pour plonger, à son tour, ses petites mains dans les affaires d'été et les voilà fin prêts pour aller à la découverte de la case restaurant. Ty, se réveille et nous rejoindra. La végétation est impressionnante. Depuis mars, c’est fou ce qu'elle a poussé! Les enfants évitent les flaques de boue rouge, nous passons devant le trou béant de la piscine…Rien a changé ! La paillote du restaurant se profile, de loin Grégoire nous a aperçus..
--Bonjour Monsieur Marc…Bonjour la famille ! Nous vous attendions!
--Bonjour Grégoire, nous revoilà !
Les enfants admirent l’immense table décorée et remplie de divers plats, de croissants, de fruits…de boissons chaudes et froides. On s’est installés et j’aperçois Bernard, le gérant qui vient nous saluer. Et puis je reconnais quelques nouveaux touristes…Les enfants se régalent, mais il leur tarde d’aller voir l’océan. Ty arrive, elle est habillée comme hier. La journée va être superbe. Il me semble que les chants d’oiseaux se sont calmés….
A Orly, nous sommes arrivés en avance en fin de matinée. Bernard frère a fait le taxi. Hubert, avec ma voiture pratiquement vendue, a été mobilisé, et les coffres étaient pleins. Nous avons bien fait de confier à Jet Tours deux cantines qui suivront. Le fidèle René Tabone, est là, ainsi que le représentant Jet Tours. René a touché un mot au commandant de bord. Avec nous quatre, s’ajoute un petit groupe de voyageurs pour le Domaine, d’une vingtaine de personnes.
Ce 20 juillet 1974, fera date. L’énorme Boeing n’est parait-il pas complet. Nous avons six valises, et ça ne devrait pas poser de problème. Cette dernière matinée parisienne, nous gratifie d’une petite pluie. Espérons que les régions de France, en ce moment en période de sécheresse, bénéficieront jusqu’à la fin de l’été, d’une pluviométrie mieux répartie. Grâce à Jet tours, l’enregistrement s’est bien passé, et après l’affectueux au revoir, nous voici à deux doigts de rejoindre l'avion. Achats de quelques revues, d’illustrés pour Christian et Isabelle, qui vont connaître leur baptême de l’air vers l’Afrique noire. Nous voici embarqués !
Les hôtesses sont charmantes et nous ont placés en classe éco, sur la première rangée, vu qu’il y a de la place. Ty, me semble moins tendue. Ses derniers rendez-vous à Jet tours, les nouvelles consignes, vont lui permettre de mettre en place une représentation plus dynamique et une relation plus efficace avec l’hôtelier. Je ferai tout pour l’aider, la seconder. Elle doit rencontrer le Directeur de Sénégal Tours, Jean-Claude Rasch, qui gère et organise, toutes les excursions. Le vol est assez secoué par moments et le commandant a annoncé des orages sur le Sénégal. C’est vrai que nous arrivons au début de la saison des pluies, dont le caractère violent des fortes pluies, est bien connu. Nous arriverons vers vingt heures, heure locale. Apo, au courant de notre arrivée, m’a confirmé qu’il viendrait à Nianing dimanche. Nous prendrons le car pour rejoindre le Domaine. Autour de moi, tout le monde dort. La cabine est calme. Je songe qu’il y a moins de cinq mois, je faisais ce vol dans l’autre sens, avec Mathilde, et ce pari fou…de participer activement, aux équipements sportifs, du Domaine, et de revenir m’y installer, en famille ! Pour nous rassurer, le commandant de bord, nous signal, qu’il a contourné la zone orageuse et que l’on n’aura pas de retard. Je montre aux enfants par un hublot, l’arrivée sur Dakar dans les nuages. Quelques lumières apparaissent par endroits, enfin voici le balisage bleuté de la piste…Je suis toujours admiratif pour les atterrissages réussis et comme c’est le cas, J’applaudis et je ne suis pas le seul.
Dés la sortie de l’avion, sur la passerelle, une forte chaleur humide, nous envahit. Il fait nuit noir. On rejoint à pied une des entrées d’un des bâtiments de l’aéroport. Une foule dense, bruyante, est ce que l’on découvre en entrant dans la salle d’accueil, et une ribambelle de porteurs s’époumonent ! Le représentant Jet Tours est présent et accueille notre petit groupe. Avec Ty, nous reconnaissons les lieux et les enfants ouvrent grands leurs yeux. Nos bagages retirés, nous arrivons à franchir la bousculade et à trouver le car de Sénégal Tours. Le chauffeur nous reconnait, on avait fait un transfert avec lui…Ty, s’est assoupie. Je suis surpris de voir le degré de résistance de nos enfants. En plein embouteillage, Ils regardent dans la nuit, de la vitre du car, un troupeau de zébus qui traverse affolé la route. Longeant la chaussée encombrée, des femmes en boubous bariolés, éclairées par des lampes champêtres, vendent encore, malgré l’heure tardive des fruits, des légumes. Il faut encore gagner quelques francs cfa !
Nous ne sommes pas loin de la ville de Rufisque, appelée la Portugaise…Le car roule mieux et loin des lumières, tout est plongé dans la nuit noire. Il me tarde d’arriver. Je suis dans un état d’impatience et de joie, heureux d’être avec les miens. Que nous réserveront, ces semaines d’acclimatation, et comment les enfants vont réagir, tant le changement de vie va être radical. Il va être bientôt minuit. Au loin, je reconnais le carrefour, les stations d’essence et l’éclairage urbain de l’entrée de M’Bour. Nous ne sommes plus qu’à neuf kilomètres du Domaine…Mon cœur se serre, nous voici arrivés et toujours au même endroit, à l’entrée du parc, le car s’arrête. Calme absolu, dans la nuit, éclairée par de rares lumières. Un choc, sur la droite, je constate que le trou de la future piscine est toujours là, et qu’aucuns travaux n’ont été entrepris. Il y a même au fond de l’eau de pluie ! Le représentant Sénégal Tours est à l’accueil avec Ada, responsable des chambres, et le petit groupe se dirige vers la paillotte restaurant, pour un verre de rafraichissement. Seuls deux enfants, les nôtres, ont fait partie du voyage. Quelques mots de sympathie, Ada, s »approche et embrasse Ty, et lui remet deux clefs de…Villas. J’ai juste le temps de réaliser que nous n’habiterons pas encore, notre maison au fond du parc…Et, c’est ma deuxième déception. IL fait une chaleur moite et de petites flaques d’eau, témoignent d’une bonne pluie récente. Nous voici répartis dans deux petites habitations, ce sera plus pratique. Ada, en nous quittant me dit que notre maison avance…N’oubliez pas demain dix heures, le pot d’accueil.
Nous voici chez nous. La Villa voisine où vont dormir les enfants et communicante avec la notre. Il est tard, on fera les rangements demain.
--Papa, on est en Afrique ? C’est des crapauds que l'on entend? Où est l’océan…
--Oui, Christian, ça y est, on est arrivé et l’océan est de l’autre coté de la route, à trois cents mètres. Oui, ce sont des crapauds, car c’est la saison des pluies.
-- Mes chéris, au dodo, demain on ira au petit déjeuner ensemble.
--Papa, on est encore en vacances, comme en France ?
--Oui, Isabelle, on visitera le Domaine tous ensemble. Bonne nuit.
Christian s’est endormi…Pour Ty et moi, nous avons deux lits séparés, c’est très bien…Ty, aura le temps de se préparer, elle prend son poste à partir du 1er aout. En m’endormant je réalise le chemin parcouru et tout ce qui nous attend. Apo, devrait venir au Domaine demain et déjà, j’ai à lui dire, le souci de la direction de Hertz Afrique, sur son silence…Puis la piscine ! Et notre maison. Pourtant plusieurs fois, il m’a affirmé au fil, que tout avancé! Vers quatre heures, tonnerre, pluie, vent, je me réveille et vais ouvrir la porte. C’est impressionnant, rien à voir avec nos pluies en France. Ici, ça souffle fort. Le courant est coupé. Et c’est un concert de croassements. Ty se réveille et se demande ce que je fais ?
--Je vais voir les enfants, ne t’inquiète pas.
Je suis rassuré, Ils dorment profondément…Comme il est encore très tôt, je regagne mon lit en attendant l'aurore. A mon réveil, j’entre ouvre la porte, une éclaircie! Certains beaux chants d’oiseaux mêlés à des cris assourdissants résonnent à mes oreilles…C’est l’époque de la nidification et l'on se chamaille de partout ! Ty dort encore. Christian est levé et déjà en tenu d’été. Il a trouvé son bonheur en farfouillant dans les valises....Isabelle ouvre un œil. Il ne lui faut guère de temps pour plonger, à son tour, ses petites mains dans les affaires d'été et les voilà fin prêts pour aller à la découverte de la case restaurant. Ty, se réveille et nous rejoindra. La végétation est impressionnante. Depuis mars, c’est fou ce qu'elle a poussé! Les enfants évitent les flaques de boue rouge, nous passons devant le trou béant de la piscine…Rien a changé ! La paillote du restaurant se profile, de loin Grégoire nous a aperçus..
--Bonjour Monsieur Marc…Bonjour la famille ! Nous vous attendions!
--Bonjour Grégoire, nous revoilà !
Les enfants admirent l’immense table décorée et remplie de divers plats, de croissants, de fruits…de boissons chaudes et froides. On s’est installés et j’aperçois Bernard, le gérant qui vient nous saluer. Et puis je reconnais quelques nouveaux touristes…Les enfants se régalent, mais il leur tarde d’aller voir l’océan. Ty arrive, elle est habillée comme hier. La journée va être superbe. Il me semble que les chants d’oiseaux se sont calmés….
*
Dernière édition par tremsal le Jeu 28 Juil - 14:39, édité 13 fois
tremsal- MacadAdo
- Messages : 113
Date d'inscription : 12/08/2010
re
Je n'ai jamais laissé de commentaires sur tes textes mais celui-ci m'apparaît plus fort que les autres. Notamment avec des passages comme :
Les enfants admirent l’immense table décorée et remplie de divers plats, de croissants, de fruits…de boissons chaudes et froides. On s’est installés et j’aperçois Bernard, le gérant qui vient nous saluer. Et puis je reconnais quelques nouveaux touristes…Les enfants se régalent, mais il leur tarde d’aller voir l’océan. Ty arrive, elle est habillée comme hier.
La journée va être superbe. Il me semble que les cris d’oiseaux se sont calmés….
Une belle conclusion !
En attendant la suite...
Les enfants admirent l’immense table décorée et remplie de divers plats, de croissants, de fruits…de boissons chaudes et froides. On s’est installés et j’aperçois Bernard, le gérant qui vient nous saluer. Et puis je reconnais quelques nouveaux touristes…Les enfants se régalent, mais il leur tarde d’aller voir l’océan. Ty arrive, elle est habillée comme hier.
La journée va être superbe. Il me semble que les cris d’oiseaux se sont calmés….
Une belle conclusion !
En attendant la suite...
léo- MacadAccro
- Messages : 1224
Date d'inscription : 25/03/2010
Age : 40
Localisation : Nord
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