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Sénégal ,Nianing,Juillet 74 à... Marc tremsal, 161° à 165° Bon°
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Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
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Sénégal ,Nianing,Juillet 74 à... Marc tremsal, 161° à 165° Bon°
Un bateau blanc sur L’océan
Miss Bach se fâche….
Une accélération sensible.
Miss Bach se fâche….
Une accélération sensible.
Ayant fermé au cadenas le magasin, salué Monsieur Tiss, qui m’annonça qu’il allait s’occuper de notre maison, le personnel nous aida à charger le quatre x quatre américain. Il fallait transporter le bateau, son moteur, des accessoires, avec l’électricien Matar bien remis, et les enfants. Tout se fit dans une bonne humeur évidente. A notre arrivée à la plage s’était l’effervescence, car les pêcheurs traditionnels, s’inquiétaient de la pose du corps mort, avec une bouée, dans leur zone de pêche à la senne. Prenant le temps avec Cheikh Ba, de leur expliquer, que nous le mettrions dans l’axe et à coté de l’autre bateau de pêche, ils ne firent pas d’ennuis. En plus, ils savaient que j’avais tout fait, pour qu’ils puissent continuer à mettre leurs filets, où ils voulaient…En contre partie, ils s’engageaient à faire un peu de nettoyage après. J’avais intensifié pour nous, l’achat du poisson, dorades, petits mérous, balistes, lotes, etc, et ils étaient satisfaits, ainsi qu’Apo. Je n’oublie pas, la participation active et joyeuse des vacanciers, pour les aider à tirer les cordes des filets !
Il nous fallu deux bonnes heures, pour tout préparer, gonfler les boudins, installer le gros moteur Mercury, le volant, les commandes, placer le réservoir, faire le mélange huile, essence…Matar, semblait avoir toujours fait cela! Ce fut plus laborieux pour placer le lourd corps mort, sa bouée orange, à l’avant de la petite barque bleue et d’aller le couler à une petite centaine de mètres du bord. Autour de nous, une bonne dizaine de petits garçons, des petites filles, avaient observé notre manège, en riant. La mise en marche, au démarreur fut instantanée et Christian eut le privilège de piloter le premier notre bateau blanc, avec une bande rouge en pourtour, à la jonction de la coque rigide et du pneumatique. Nous étions cinq à bord, avec Cheikh Ba. Sur la plage, des cris de joies, des applaudissements nourris, de tous mes nouveaux amis. Le rodage était à finir, avant de faire du ski ou de la soucoupe. Ce mois de septembre était pour l’instant propice à la navigation. Après avoir bien attaché ce nouveau « locataire », on rentra vers la plage, avec la petite barque …
Mis à part le bar, tenu par Jules, à certaines heures, et un petit magasin, il n’ y avait point d'autres activités à la plage. C’était préoccupant, car avec les bateaux, les planches à voile, les accessoires, gilets… Nous manquions de place ! Il me tardait d’avoir Apo au fil, ou de le voir au Domaine. J’avais peu de nouvelles de Jet Tours et une idée me vint, en accord avec Ty, d’appeler Miss Bach. Il nous restait qu’un mois et demi avant l’ouverture et j’étais inquiet pour le retard des travaux de la piscine. C’était si important ! Après avoir déposé Matar aux ateliers, et rangé ce véhicule mythique, qui avait dû arpenter des champs de batailles en 39X45, on rentra chez nous. Au passage, nous constations que le sous bassement de la future maison, en béton, était presque terminé. Les enfants étaient heureux. A la réception, Ty était au fil….Je voulais lui dire mon projet d’appeler Jet Tours. Elle fut d’accord et au bout de quelques minutes, j’eus le plaisir d’entendre la douve voix de miss Bach. En fait, je voulais qu’elle fasse un télex urgent à Apo, dés plus alarmant, pour qu’il prenne conscience, que Jet Tours avait été submergé de plaintes, et qu’il n’aurait plus son soutien, s’il tardait encore ! Il fallait que la piscine soit opérationnelle, dans les meilleurs délais….L’amitié qui nous unissait avec Miss Bach, facilita les choses et elle ne tarda pas à me dire :
--Marc, je le fais aujourd’hui. Comment vont Mathilde et les enfants ?
Je parlais avec elle un moment, et j’étais vraiment encourager. Bien sûr, tout cela fut un secret entre elle et moi, et je le dévoile que maintenant. Juste avant de déjeuner on se retrouva aux villas. Le temps était beau, un peu humide. On se changea et la faim nous tenaillant, nous nous retrouvions vite attablés et contents. Je dégustais une bière Flag, glacée. Pendant le repas, tout à coté, la pompe bruyante mais efficace, vidait l’eau du fond de ce grand trou. Mais rien d’autre de très nouveau. C’est dans la soirée que tout allait commencer à bouger.
En effet, l’arrivée surprise vers dix huit heures d’Apo et d’Estival, venant de Dakar, et la décision d’une réunion imminente de travail, était un signe. Bernard et moi-même, devions aller à son bureau, les rejoindre. Apo, sans hésiter, après nous avoir salués, lança de suite :
--Messieurs, comme objectif absolu et prioritaire, il ya la finition de la piscine et des tennis. Monsieur Estival, sera l’ingénieur en chef. Nous dédouanons tout le matériel de filtration demain.
Chacun s’exprima, et je savourais cette décision. A aucun moment il ne fut question de jet Tours…Je restais avec Apo, qui voulait me dire un mot. Il fut question de Matar et de sa prompte guérison, de notre maison du parc et de Hertz …
--Marc, Alex mon frère fait un travail remarquable, si tout va bien, pour Noêl, toutes les voitures seront terminées et j’ai des contacts pour la vente. Si tu peux appeler ton ami Tuil, ce serait bien. Apo, avait l’air fatigué et avait pris beaucoup de poids. Il repartirait demain dans la matinée. On convenu qu’on dinerait ensemble le soir. Le compte à rebours avait commencé et seul le mauvais temps pouvait nuire aux travaux. Des dizaines de dalles de pourtour avaient été fabriquées, de couleur ocre claire, et l’armature générale en acier, était presque finie. Une plus grosse bétonnière était arrivée et sa mise en service était imminente.
Retrouvant Ty, je lui racontais notre entrevue, et elle me rassura, en me disant, qu’elle avait eu un télex via Dakar, Sénégal Tour, au sujet des dernières plaintes de touristes à ce sujet, qui avaient aussi joué à Paris. Ty était en beauté, bronzée et me rappelait la jeune fille de Tunisie, et nos premiers amours…Nous commencions à vivre plus détendus, et de petits gestes affectueux, étaient des signes, que notre relation s’améliorait. Le bonheur des enfants étaient pour nous, tellement encourageant !
Le diner, dans un restaurant tout vide, avec Apo, les Bernard, Estival et nous, eu un aspect familial et sympathique. J’avais mis une nouvelle et superbe bande revox et Apo le remarqua. Un Domaine sans touristes, ni Dakarois, cela faisait un grand calme. On ne veilla, pas et je remerciais Apo, pour sa décision, Ty fit de même. Comme chaque soir, j’aimais voir le ciel bleuté, toujours changeant, et l’approche de la nuit. Christian avait pris l’habitude et avait la lampe de poche avec lui. Isabelle s’était fait une amie avec Nathalie et nous trouvions cela bien pour elles. Estival qui regagnait sa maison, fit un bout de chemin avec nous et il ne tarda pas à me lancer :
--Vous savez Marc, s’il pleut c’est foutu !
Je ne vous dirais pas ce que je répondis, mais il comprit que mon moral était d’acier, et qu’il faudrait compter avec. On se dit Bonne nuit. Je me réveillais à l’aurore, teintée orangée, et sans faire de bruit, je partais déjeuner au restaurant des cuisines. J’appréciais les tartines beurrées et un bon café au lait. On bavarda avec Bernard, tôt levé aussi. Il semblait lui aussi satisfait de voir enfin Apo, plus que motivé ! Dés huit heures, un monde fou d’ouvriers, s’afféraient déjà au chantier piscine, avec un Monsieur Tiss, tout excité. Le temps était clair, sans nuages et sans vent. Tous les bois de la grande paillote devaient être dépoussiérés et passer au vernis satiné. Prenant le vélo, j’allais voir au fond du parc l’avancement de la maison. Il y avait encore du boulot. Aux ateliers, la fabrication des poteaux de tennis, se poursuivait. C’était un gros travail. L’acier coutait très cher et sans le génie du récupérateur Apo, je ne sais pas comment on aurait fait.
Avant qu’Apo reparte, je désirais lui parler du bilant financier des quelques mois passés. Diene le comptable, l’avait fait. Ce n’était pas brillant. Mais grâce aux cartes de sports, à la pêche, aux calèches, on avait fais du chiffre. Sans statut légal, sans salaire, ma situation était plus que grave. Heureusement que le salaire de Ty, compensait. Pourtant j’avais averti Apo, souvent, mais sans véritable réponse, ou alors…
--Marc, ne t’ inquiète pas, on verra…
Mon frère Bernard qui suivait mes comptes à Paris, m’avait averti, qu’il fallait alimenter mon compte. Désirant aller à Dakar, ou j’avais à faire, je verrais d’en parler peut être à Armande, sans toutefois, nuire à ma relation directe avec Apo. Je le savais assez susceptible, et il m’avait aussi, bien fait comprendre, qu’il était le boss !
La famille était debout. Ty me rappela de dire à Apo, de mettre les peintres à la case Jet Tours. Mais je ne voulais pas « trop charger la barque », cela se ferait au moment opportun. Christian et Isa devait préparer leur rentrée scolaire, et leurs cartables. Nous étions, avec l’arrivée des deux cantines, de plus en plus à l’étroit. Christian me proposa de mettre dans l’armoire vitrée de la réception, ou se battait en duel quelques livres, sa collection de Tintin et Milou….
Il nous fallu deux bonnes heures, pour tout préparer, gonfler les boudins, installer le gros moteur Mercury, le volant, les commandes, placer le réservoir, faire le mélange huile, essence…Matar, semblait avoir toujours fait cela! Ce fut plus laborieux pour placer le lourd corps mort, sa bouée orange, à l’avant de la petite barque bleue et d’aller le couler à une petite centaine de mètres du bord. Autour de nous, une bonne dizaine de petits garçons, des petites filles, avaient observé notre manège, en riant. La mise en marche, au démarreur fut instantanée et Christian eut le privilège de piloter le premier notre bateau blanc, avec une bande rouge en pourtour, à la jonction de la coque rigide et du pneumatique. Nous étions cinq à bord, avec Cheikh Ba. Sur la plage, des cris de joies, des applaudissements nourris, de tous mes nouveaux amis. Le rodage était à finir, avant de faire du ski ou de la soucoupe. Ce mois de septembre était pour l’instant propice à la navigation. Après avoir bien attaché ce nouveau « locataire », on rentra vers la plage, avec la petite barque …
Mis à part le bar, tenu par Jules, à certaines heures, et un petit magasin, il n’ y avait point d'autres activités à la plage. C’était préoccupant, car avec les bateaux, les planches à voile, les accessoires, gilets… Nous manquions de place ! Il me tardait d’avoir Apo au fil, ou de le voir au Domaine. J’avais peu de nouvelles de Jet Tours et une idée me vint, en accord avec Ty, d’appeler Miss Bach. Il nous restait qu’un mois et demi avant l’ouverture et j’étais inquiet pour le retard des travaux de la piscine. C’était si important ! Après avoir déposé Matar aux ateliers, et rangé ce véhicule mythique, qui avait dû arpenter des champs de batailles en 39X45, on rentra chez nous. Au passage, nous constations que le sous bassement de la future maison, en béton, était presque terminé. Les enfants étaient heureux. A la réception, Ty était au fil….Je voulais lui dire mon projet d’appeler Jet Tours. Elle fut d’accord et au bout de quelques minutes, j’eus le plaisir d’entendre la douve voix de miss Bach. En fait, je voulais qu’elle fasse un télex urgent à Apo, dés plus alarmant, pour qu’il prenne conscience, que Jet Tours avait été submergé de plaintes, et qu’il n’aurait plus son soutien, s’il tardait encore ! Il fallait que la piscine soit opérationnelle, dans les meilleurs délais….L’amitié qui nous unissait avec Miss Bach, facilita les choses et elle ne tarda pas à me dire :
--Marc, je le fais aujourd’hui. Comment vont Mathilde et les enfants ?
Je parlais avec elle un moment, et j’étais vraiment encourager. Bien sûr, tout cela fut un secret entre elle et moi, et je le dévoile que maintenant. Juste avant de déjeuner on se retrouva aux villas. Le temps était beau, un peu humide. On se changea et la faim nous tenaillant, nous nous retrouvions vite attablés et contents. Je dégustais une bière Flag, glacée. Pendant le repas, tout à coté, la pompe bruyante mais efficace, vidait l’eau du fond de ce grand trou. Mais rien d’autre de très nouveau. C’est dans la soirée que tout allait commencer à bouger.
En effet, l’arrivée surprise vers dix huit heures d’Apo et d’Estival, venant de Dakar, et la décision d’une réunion imminente de travail, était un signe. Bernard et moi-même, devions aller à son bureau, les rejoindre. Apo, sans hésiter, après nous avoir salués, lança de suite :
--Messieurs, comme objectif absolu et prioritaire, il ya la finition de la piscine et des tennis. Monsieur Estival, sera l’ingénieur en chef. Nous dédouanons tout le matériel de filtration demain.
Chacun s’exprima, et je savourais cette décision. A aucun moment il ne fut question de jet Tours…Je restais avec Apo, qui voulait me dire un mot. Il fut question de Matar et de sa prompte guérison, de notre maison du parc et de Hertz …
--Marc, Alex mon frère fait un travail remarquable, si tout va bien, pour Noêl, toutes les voitures seront terminées et j’ai des contacts pour la vente. Si tu peux appeler ton ami Tuil, ce serait bien. Apo, avait l’air fatigué et avait pris beaucoup de poids. Il repartirait demain dans la matinée. On convenu qu’on dinerait ensemble le soir. Le compte à rebours avait commencé et seul le mauvais temps pouvait nuire aux travaux. Des dizaines de dalles de pourtour avaient été fabriquées, de couleur ocre claire, et l’armature générale en acier, était presque finie. Une plus grosse bétonnière était arrivée et sa mise en service était imminente.
Retrouvant Ty, je lui racontais notre entrevue, et elle me rassura, en me disant, qu’elle avait eu un télex via Dakar, Sénégal Tour, au sujet des dernières plaintes de touristes à ce sujet, qui avaient aussi joué à Paris. Ty était en beauté, bronzée et me rappelait la jeune fille de Tunisie, et nos premiers amours…Nous commencions à vivre plus détendus, et de petits gestes affectueux, étaient des signes, que notre relation s’améliorait. Le bonheur des enfants étaient pour nous, tellement encourageant !
Le diner, dans un restaurant tout vide, avec Apo, les Bernard, Estival et nous, eu un aspect familial et sympathique. J’avais mis une nouvelle et superbe bande revox et Apo le remarqua. Un Domaine sans touristes, ni Dakarois, cela faisait un grand calme. On ne veilla, pas et je remerciais Apo, pour sa décision, Ty fit de même. Comme chaque soir, j’aimais voir le ciel bleuté, toujours changeant, et l’approche de la nuit. Christian avait pris l’habitude et avait la lampe de poche avec lui. Isabelle s’était fait une amie avec Nathalie et nous trouvions cela bien pour elles. Estival qui regagnait sa maison, fit un bout de chemin avec nous et il ne tarda pas à me lancer :
--Vous savez Marc, s’il pleut c’est foutu !
Je ne vous dirais pas ce que je répondis, mais il comprit que mon moral était d’acier, et qu’il faudrait compter avec. On se dit Bonne nuit. Je me réveillais à l’aurore, teintée orangée, et sans faire de bruit, je partais déjeuner au restaurant des cuisines. J’appréciais les tartines beurrées et un bon café au lait. On bavarda avec Bernard, tôt levé aussi. Il semblait lui aussi satisfait de voir enfin Apo, plus que motivé ! Dés huit heures, un monde fou d’ouvriers, s’afféraient déjà au chantier piscine, avec un Monsieur Tiss, tout excité. Le temps était clair, sans nuages et sans vent. Tous les bois de la grande paillote devaient être dépoussiérés et passer au vernis satiné. Prenant le vélo, j’allais voir au fond du parc l’avancement de la maison. Il y avait encore du boulot. Aux ateliers, la fabrication des poteaux de tennis, se poursuivait. C’était un gros travail. L’acier coutait très cher et sans le génie du récupérateur Apo, je ne sais pas comment on aurait fait.
Avant qu’Apo reparte, je désirais lui parler du bilant financier des quelques mois passés. Diene le comptable, l’avait fait. Ce n’était pas brillant. Mais grâce aux cartes de sports, à la pêche, aux calèches, on avait fais du chiffre. Sans statut légal, sans salaire, ma situation était plus que grave. Heureusement que le salaire de Ty, compensait. Pourtant j’avais averti Apo, souvent, mais sans véritable réponse, ou alors…
--Marc, ne t’ inquiète pas, on verra…
Mon frère Bernard qui suivait mes comptes à Paris, m’avait averti, qu’il fallait alimenter mon compte. Désirant aller à Dakar, ou j’avais à faire, je verrais d’en parler peut être à Armande, sans toutefois, nuire à ma relation directe avec Apo. Je le savais assez susceptible, et il m’avait aussi, bien fait comprendre, qu’il était le boss !
La famille était debout. Ty me rappela de dire à Apo, de mettre les peintres à la case Jet Tours. Mais je ne voulais pas « trop charger la barque », cela se ferait au moment opportun. Christian et Isa devait préparer leur rentrée scolaire, et leurs cartables. Nous étions, avec l’arrivée des deux cantines, de plus en plus à l’étroit. Christian me proposa de mettre dans l’armoire vitrée de la réception, ou se battait en duel quelques livres, sa collection de Tintin et Milou….
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tremsal- MacadAdo
- Messages : 113
Date d'inscription : 12/08/2010
Re: Sénégal ,Nianing,Juillet 74 à... Marc tremsal, 161° à 165° Bon°
Un carnet de bord vraiment sympa à feuilleter.. A quand la suite ?
franskey- MacadAccro
- Messages : 599
Date d'inscription : 23/03/2011
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