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Mad Marx. (Chronicle)
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Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
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Mad Marx. (Chronicle)
Mad Marx. (Chronicle)
Dédé: Salut les gonzesses. C'est Dédé.
Dédé: Mad Marx.
Dédé: "Lénine réveille toi, ils sont devenus fous". Je crains qu'avec une entame comme ça j'me fasse allumer pas tard pasque j'vous connais, vous êtes pas tous des fans de Sardou. J'm'en tape remarquez qu'vous aimiez pas Sardou, on peut pas tous être de droite et fiers de l'être. Surtout en c'moment ! C'est vrai qu'l'arrière saison est plutôt belle et qu'ça engage aux déambulations moutonnières et aux cris d'orfraies de ceux qui viennent jouir de la vue du désespoir de ces pauvres futurs jeunes retraités battant le pavé dans la rudesse du froid des matins d'automne. Mais bon, qu'on soit pas tous de droite et qu'on soit encore moins à l'assumer ça empêche pas d'avoir les yeux en face des trous et d'aligner les promeneurs en rangs d'ognons pour faire un ordre juste et des comptes itou comme dirait la Madone du Poitou. Pasque là franchement ça fait quand même un peu désordre leur état des lieux post masturbatoire. A croire qu'y z'ont tout foutu sur les kleenex sur lesquels y font leurs comptes et qu'ça leur a brouillé les chiffres en même temps qu'les idées.
Dédé: Non c'est vrai. A les écouter, dans la fonction publique y aura bientôt plus de promeneurs du mardi que d'feignants d'la semaine. J'vous fait pas la liste de c'que c'est la fonction publique vous savez tous ça par cœur si vous avez des gamins à l'école ou si vous avez fait au moins une fois la queue à la poste, sans parler de ceux qu'ont eu à s'faire arracher une dent en urgence à l'hosto. J'suis sérieux, la seule chose qu'est vraiment urgente à l'hosto c'est d'libérer les lits des morts. Si, j'vous jure, à peine le mec il est cané qu'déjà la famille reçoit un SMS des pompes funèbres pour venir choisir les poignées du cercueil. Et venez pas m'dire que vous voyez pas bien c'que cette digression vient faire là pasque j'vais vous remettre les idées en place sur la notion d'urgence syndicale qui organise l'enterrement des futurs retraités avant même qu'y soient morts et qu'en plus y sont invités avec femmes et enfants à se joindre au cortège. Des fois qu'un chien ça s'rait pas suffisant, comme pour Mozart. Lui au moins il a fait chier personne avec sa retraite vu qu'il est mort à trente-cinq ans. Mais il a quand même assuré celle de ses descendants sur plusieurs générations, ç'est la preuve qu'il avait vraiment le sens de la répartition le mec. Et c'est pas terminé, sans compter tous ceux qui s'gavent avec son boulot de quand il était vivant. Quand j'pense qu'y avait qu'un chien pour l'accompagner et qu'pour les feignants d'la SNCF ou d'l'Education Nationale qui sont même pas encore morts et qu'en plus y laisseront rien de marquant derrière eux à part les jours de grève y prétendent être des millions ça m'fout la gerbe.
Dédé: Ah putain, c'est vrai qu'on peut les qualifier de génie des invalides ces cons. Et les autres, les politiques de gauche de mes deux qu'appellent les "jeunes" à se joindre au mouvement. Mais foutez leur donc la paix aux jeunes et laissez les baiser et se faire baiser en paix, y s'ra bien temps quand y commenceront à cotiser qu'y s'préoccupent de leur retraite, et c'est pas de rien foutre à l'école et d'se balader dans les rues à la place qui va leur en faire une belle. Sauf si y s'lancent dans des affaires douteuses, comme moi. Pasque moi j'vous l'dis j'ai pas d'soucis à m'faire pour ma retraite, entre les gonzesses qui bossent au noir dans ma p'tite entreprise, le poker et les macarons que j'vends sous l'manteau j'ai déjà les poches pleines, et tout ça c'est des activités qui craignent pas la crise, même si des fois faut faire un peu des prix d'appel sur les macarons pour mieux vendre les turlutes, mais c'est la loi du marché, y a pas d'quoi fouetter un chat. Bref, j'vais quand même revenir à mes moutons et à mes orfraies qui gueulent pasque j'vois bien qu'vous commencez à vous perdre malgré les p'tits cailloux que j'sème. Vous en faites pas j'les ramasserai à la fin, essayez pas d'égarer vos p'tits camarades en foutant des coups d'godasses dedans, et tenez-vous bien par la main pendant la manif.
Dédé: Au fait, y a une question que j'me pose à propos d'leurs contes d'apothicaire (non, y pas d'faute, allez pas m'emmerder vous savez bien que j'mets jamais un mot au hasard moi, c'est pas comme vous) : les landaus et les gamins de moins d'dix ans ça compte pour combien de manifestants ? Pasque si on les enlève y va pas en rester beaucoup des p'tites croix sur les kleenex souillés du fond d'leurs poches. Pour deux adultes à banderole y a toujours un landau et deux chiards avec leur doudou qui gueulent plus fort qu'les parents pasqu'y arrivent pas à attraper la queue du Mickey qu'est au bout d'l'antenne de la bagnole sono qui balance des chansons à la con sur tous les mecs assis peinards aux terrasses des troquets et qu'aimeraient bien siroter leur pastis en paix.
Dédé: Donc, j'vous disais : "Lénine réveille toi, ils sont devenus fous". Tiens, un exemple au hasard. Y a un canard indépendant (ça c'est lui qui l'dit) et qu'on peut pas soupçonner de faire le lit du gouvernement puisque c'est Médiapart, vous savez le truc "indépendant" de gauche qui publie pas d'papier pasqu'il a pas les moyens et qui fait rien qu'à chier un peu dans les bottes du Ministre du travail et beaucoup aussi dans celles de Sarkozy rien que par principe (c'est quand même con de chier dans les bottes des gens sans même avoir de papier pour s'torcher l'cul après, vous trouvez pas ? Y doivent pas avoir les mains bien propres chez Médiapart). Et ben Médiapart il a fait l'compte des promeneurs des grands boul'vards hier à Paname. Pas ceux qu'allaient faire leurs courses aux galeries Lafayette, non les autres, ceux qui s'promenaient avec des banderoles niaises et des ballons de baudruches tenus par les baudruches syndicales. Et vous savez combien il en a comptés ? J'vous l'donne en mille : quatre-vingts mille moins des brouettes. Moins qu'la police. Je me marre. Eux moins. Tellement moins qu'y z'en font pas leurs choux gras. Personne d'ailleurs en fait ses choux gras. Même les compteurs officiels d'la CGT y z'ont pas pipés un mot là-dessus. Tu m'étonnes ! Cinq fois moins que c'qu'y mettent dans l'Huma, le canard que plus personne ne lit, même pas le "peuple de gauche". R'marquez, le "peuple de gauche" comme disent ceux qui prétendent le représenter, même Marx il l'a pas lu, alors lire l'Huma c'est pas demain la veille, sauf si y mettaient dedans les pronostics du quinté. C'est tout c'qu'y lui reste au "peuple de gauche" pour pouvoir espérer être soumis à l'ISF et avoir à se battre pour défendre son bouclier fiscal : gagner au quinté + ou au super loto. C'est pas l'travail qui l'motive le "peuple de gauche". Ah si, y a un truc qui lui a fait chaud au cœur hier dans la morosité ambiante au "peuple de gauche" : les bleus ont gagné contre le Luxembourg. Une belle victoire de la France qui gagne ! Ca m'a fait marrer pasque la France qui gagne elle gagne contre une équipe d'amateurs d'un paradis fiscal un jour de manif contre les professionnels de la finance et tous les inféodés du pouvoir. J'espère que vous avez remarqué la qualité de la rhétorique de c'qui précède.
Dédé: Putain ! Qu'est ce que je me marre. Donc y z'étaient que moins de quatre-vingts mille dans les rues d'Paname. Chiffre officiel d'un organe de presse (j'suis embêté, j'peux même pas app'ler ça un torche-cul puisqu'y font pas d'papier) de gauche et fier de l'être. Moins de quatre-vingts mille, y a quand même pas de quoi fouetter un chat. Je sais, j'me répète mais c'est pour faire comme tous ceux qui font qu'à faire que ça, se répéter sans avancer une preuve ou au moins une référence vérifiable. Moi au moins je démontre, j'étaye, j'argumente, je fais pas dans la glose comme les duettistes de la CFGT (Confédération Française des Grévistes des Transports) à moins que ce soient ceux de la CGDT (Centre de Gestion de la Désorganisation du Travail) on finit par s'y perdre. Mais vous laissez pas avoir, c'est les mêmes, y a que l'ordre dans lequel ils causent qui permette de les identifier. Tous des spécialistes de l'ABS, abuseurs de biens sociaux en tous genres (surtout le droit au travail des autres) et freineurs des quatre fers sur toute proposition de réforme depuis des lustres (ouais, en gros ça remonte à juste après les congés payés qu'y z'ont plus accepté la moindre réforme. Eux y z'appellent ça la défense des droits acquis, moi j'appelle ça des prébendes). Les cons !
Dédé: Et pendant ce temps qu'est ce qu'il fait Lénine ? Il continue à roupiller. Et du sommeil du juste en plus. Y a plus que ça qu'est juste de toute façon dans les idées à la con du communisme international en général et de la gauche française en particulier : le sommeil de Lénine. Faut dire que lui au moins il avait lu Marx, et que tous comptes faits il avait bien mérité de s'reposer un peu au calme après. Pasque c'est pas franchement bandant comme lecture. J'vous jure, quitte à lire un best-seller autant qu'vous vous lanciez dans la Bible, là au moins y a des aventures, des gonzesses, des aventures avec des gonzesses aussi, des rebondissements, du suspense, des catastrophes naturelles et des miracles surnaturels, des morts et même des ressuscités (si, au moins deux, j'vous dirai pas leurs noms, vous avez qu'à lire).
Dédé: Donc, Lénine après avoir lu Marx et fait une petite révolution pour voir l'effet qu'ça fait il a décidé de faire un peu la sieste et de laisser reposer le foutoir. Bien mal lui en a pris. Y en a qui se sont pris au jeu. Y se sont mis sur la gueule, lui ont piqué son taf, ont foutu le pays à feu et à sang jusqu'à ce que tout s'effondre et que le pays en question se réveille un jour dans les draps d'un capitalisme braillard. Vous imaginez ça vous, le berceau du communisme, fils ainé de Marx et de Lénine qui se met à exporter ses milliardaires sur Notre French Riviera, berceau des riches retraités de l'occidentale décadence.
Dédé: Ca y est, vous avez raccroché les wagons ? J'suis pas certain vu qu'vous avez le cerveau mité par les discours de gauche. Moi j'm'en tape, j'suis d'droite. Mais à vous ça va vous faire mal après qu'la gauche bien-pensante vous aura remis dans les bras de Karl et qu'vous vous réveillerez un jour au milieu de milliardaires mafieux sans un sous pour votre retraite bande de nazes. Surtout qu'pour vous endormir y aura même pas Lénine pour vous bercer d'illusions, ce s'ra que Mélanchon, Besancenot, Ségolène et les sept nains du syndicalisme béat (dont j'vous rappelle qu'ils représentent moins de 10% des "travailleurs" comme ils disent en oubliant que les paysans, les commerçants, les artisans, les putes, les voleurs à la tire, les libéraux et plein d'autres travaillent aussi et font pas chier l'monde). Vous risquez d'être déçus.
Dédé: Un conseil, mettez-vous fissa à la lecture, et pas des niaiseries style Harry Potter, non, des trucs chiant qui endorment. J'vous l'dis, tel que c'est parti pour vous c'est capital.
Dédé: J'vous aurais prév'nus, vous allez pas vers des lendemains qui chantent, et c'est pas du cinéma la violence de la lutte des classes. Papy et moi on est équipés, on a chacun notre barre à mine. Ca va être Mad Marx !
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé: Salut les gonzesses. C'est Dédé.
Dédé: Mad Marx.
Dédé: "Lénine réveille toi, ils sont devenus fous". Je crains qu'avec une entame comme ça j'me fasse allumer pas tard pasque j'vous connais, vous êtes pas tous des fans de Sardou. J'm'en tape remarquez qu'vous aimiez pas Sardou, on peut pas tous être de droite et fiers de l'être. Surtout en c'moment ! C'est vrai qu'l'arrière saison est plutôt belle et qu'ça engage aux déambulations moutonnières et aux cris d'orfraies de ceux qui viennent jouir de la vue du désespoir de ces pauvres futurs jeunes retraités battant le pavé dans la rudesse du froid des matins d'automne. Mais bon, qu'on soit pas tous de droite et qu'on soit encore moins à l'assumer ça empêche pas d'avoir les yeux en face des trous et d'aligner les promeneurs en rangs d'ognons pour faire un ordre juste et des comptes itou comme dirait la Madone du Poitou. Pasque là franchement ça fait quand même un peu désordre leur état des lieux post masturbatoire. A croire qu'y z'ont tout foutu sur les kleenex sur lesquels y font leurs comptes et qu'ça leur a brouillé les chiffres en même temps qu'les idées.
Dédé: Non c'est vrai. A les écouter, dans la fonction publique y aura bientôt plus de promeneurs du mardi que d'feignants d'la semaine. J'vous fait pas la liste de c'que c'est la fonction publique vous savez tous ça par cœur si vous avez des gamins à l'école ou si vous avez fait au moins une fois la queue à la poste, sans parler de ceux qu'ont eu à s'faire arracher une dent en urgence à l'hosto. J'suis sérieux, la seule chose qu'est vraiment urgente à l'hosto c'est d'libérer les lits des morts. Si, j'vous jure, à peine le mec il est cané qu'déjà la famille reçoit un SMS des pompes funèbres pour venir choisir les poignées du cercueil. Et venez pas m'dire que vous voyez pas bien c'que cette digression vient faire là pasque j'vais vous remettre les idées en place sur la notion d'urgence syndicale qui organise l'enterrement des futurs retraités avant même qu'y soient morts et qu'en plus y sont invités avec femmes et enfants à se joindre au cortège. Des fois qu'un chien ça s'rait pas suffisant, comme pour Mozart. Lui au moins il a fait chier personne avec sa retraite vu qu'il est mort à trente-cinq ans. Mais il a quand même assuré celle de ses descendants sur plusieurs générations, ç'est la preuve qu'il avait vraiment le sens de la répartition le mec. Et c'est pas terminé, sans compter tous ceux qui s'gavent avec son boulot de quand il était vivant. Quand j'pense qu'y avait qu'un chien pour l'accompagner et qu'pour les feignants d'la SNCF ou d'l'Education Nationale qui sont même pas encore morts et qu'en plus y laisseront rien de marquant derrière eux à part les jours de grève y prétendent être des millions ça m'fout la gerbe.
Dédé: Ah putain, c'est vrai qu'on peut les qualifier de génie des invalides ces cons. Et les autres, les politiques de gauche de mes deux qu'appellent les "jeunes" à se joindre au mouvement. Mais foutez leur donc la paix aux jeunes et laissez les baiser et se faire baiser en paix, y s'ra bien temps quand y commenceront à cotiser qu'y s'préoccupent de leur retraite, et c'est pas de rien foutre à l'école et d'se balader dans les rues à la place qui va leur en faire une belle. Sauf si y s'lancent dans des affaires douteuses, comme moi. Pasque moi j'vous l'dis j'ai pas d'soucis à m'faire pour ma retraite, entre les gonzesses qui bossent au noir dans ma p'tite entreprise, le poker et les macarons que j'vends sous l'manteau j'ai déjà les poches pleines, et tout ça c'est des activités qui craignent pas la crise, même si des fois faut faire un peu des prix d'appel sur les macarons pour mieux vendre les turlutes, mais c'est la loi du marché, y a pas d'quoi fouetter un chat. Bref, j'vais quand même revenir à mes moutons et à mes orfraies qui gueulent pasque j'vois bien qu'vous commencez à vous perdre malgré les p'tits cailloux que j'sème. Vous en faites pas j'les ramasserai à la fin, essayez pas d'égarer vos p'tits camarades en foutant des coups d'godasses dedans, et tenez-vous bien par la main pendant la manif.
Dédé: Au fait, y a une question que j'me pose à propos d'leurs contes d'apothicaire (non, y pas d'faute, allez pas m'emmerder vous savez bien que j'mets jamais un mot au hasard moi, c'est pas comme vous) : les landaus et les gamins de moins d'dix ans ça compte pour combien de manifestants ? Pasque si on les enlève y va pas en rester beaucoup des p'tites croix sur les kleenex souillés du fond d'leurs poches. Pour deux adultes à banderole y a toujours un landau et deux chiards avec leur doudou qui gueulent plus fort qu'les parents pasqu'y arrivent pas à attraper la queue du Mickey qu'est au bout d'l'antenne de la bagnole sono qui balance des chansons à la con sur tous les mecs assis peinards aux terrasses des troquets et qu'aimeraient bien siroter leur pastis en paix.
Dédé: Donc, j'vous disais : "Lénine réveille toi, ils sont devenus fous". Tiens, un exemple au hasard. Y a un canard indépendant (ça c'est lui qui l'dit) et qu'on peut pas soupçonner de faire le lit du gouvernement puisque c'est Médiapart, vous savez le truc "indépendant" de gauche qui publie pas d'papier pasqu'il a pas les moyens et qui fait rien qu'à chier un peu dans les bottes du Ministre du travail et beaucoup aussi dans celles de Sarkozy rien que par principe (c'est quand même con de chier dans les bottes des gens sans même avoir de papier pour s'torcher l'cul après, vous trouvez pas ? Y doivent pas avoir les mains bien propres chez Médiapart). Et ben Médiapart il a fait l'compte des promeneurs des grands boul'vards hier à Paname. Pas ceux qu'allaient faire leurs courses aux galeries Lafayette, non les autres, ceux qui s'promenaient avec des banderoles niaises et des ballons de baudruches tenus par les baudruches syndicales. Et vous savez combien il en a comptés ? J'vous l'donne en mille : quatre-vingts mille moins des brouettes. Moins qu'la police. Je me marre. Eux moins. Tellement moins qu'y z'en font pas leurs choux gras. Personne d'ailleurs en fait ses choux gras. Même les compteurs officiels d'la CGT y z'ont pas pipés un mot là-dessus. Tu m'étonnes ! Cinq fois moins que c'qu'y mettent dans l'Huma, le canard que plus personne ne lit, même pas le "peuple de gauche". R'marquez, le "peuple de gauche" comme disent ceux qui prétendent le représenter, même Marx il l'a pas lu, alors lire l'Huma c'est pas demain la veille, sauf si y mettaient dedans les pronostics du quinté. C'est tout c'qu'y lui reste au "peuple de gauche" pour pouvoir espérer être soumis à l'ISF et avoir à se battre pour défendre son bouclier fiscal : gagner au quinté + ou au super loto. C'est pas l'travail qui l'motive le "peuple de gauche". Ah si, y a un truc qui lui a fait chaud au cœur hier dans la morosité ambiante au "peuple de gauche" : les bleus ont gagné contre le Luxembourg. Une belle victoire de la France qui gagne ! Ca m'a fait marrer pasque la France qui gagne elle gagne contre une équipe d'amateurs d'un paradis fiscal un jour de manif contre les professionnels de la finance et tous les inféodés du pouvoir. J'espère que vous avez remarqué la qualité de la rhétorique de c'qui précède.
Dédé: Putain ! Qu'est ce que je me marre. Donc y z'étaient que moins de quatre-vingts mille dans les rues d'Paname. Chiffre officiel d'un organe de presse (j'suis embêté, j'peux même pas app'ler ça un torche-cul puisqu'y font pas d'papier) de gauche et fier de l'être. Moins de quatre-vingts mille, y a quand même pas de quoi fouetter un chat. Je sais, j'me répète mais c'est pour faire comme tous ceux qui font qu'à faire que ça, se répéter sans avancer une preuve ou au moins une référence vérifiable. Moi au moins je démontre, j'étaye, j'argumente, je fais pas dans la glose comme les duettistes de la CFGT (Confédération Française des Grévistes des Transports) à moins que ce soient ceux de la CGDT (Centre de Gestion de la Désorganisation du Travail) on finit par s'y perdre. Mais vous laissez pas avoir, c'est les mêmes, y a que l'ordre dans lequel ils causent qui permette de les identifier. Tous des spécialistes de l'ABS, abuseurs de biens sociaux en tous genres (surtout le droit au travail des autres) et freineurs des quatre fers sur toute proposition de réforme depuis des lustres (ouais, en gros ça remonte à juste après les congés payés qu'y z'ont plus accepté la moindre réforme. Eux y z'appellent ça la défense des droits acquis, moi j'appelle ça des prébendes). Les cons !
Dédé: Et pendant ce temps qu'est ce qu'il fait Lénine ? Il continue à roupiller. Et du sommeil du juste en plus. Y a plus que ça qu'est juste de toute façon dans les idées à la con du communisme international en général et de la gauche française en particulier : le sommeil de Lénine. Faut dire que lui au moins il avait lu Marx, et que tous comptes faits il avait bien mérité de s'reposer un peu au calme après. Pasque c'est pas franchement bandant comme lecture. J'vous jure, quitte à lire un best-seller autant qu'vous vous lanciez dans la Bible, là au moins y a des aventures, des gonzesses, des aventures avec des gonzesses aussi, des rebondissements, du suspense, des catastrophes naturelles et des miracles surnaturels, des morts et même des ressuscités (si, au moins deux, j'vous dirai pas leurs noms, vous avez qu'à lire).
Dédé: Donc, Lénine après avoir lu Marx et fait une petite révolution pour voir l'effet qu'ça fait il a décidé de faire un peu la sieste et de laisser reposer le foutoir. Bien mal lui en a pris. Y en a qui se sont pris au jeu. Y se sont mis sur la gueule, lui ont piqué son taf, ont foutu le pays à feu et à sang jusqu'à ce que tout s'effondre et que le pays en question se réveille un jour dans les draps d'un capitalisme braillard. Vous imaginez ça vous, le berceau du communisme, fils ainé de Marx et de Lénine qui se met à exporter ses milliardaires sur Notre French Riviera, berceau des riches retraités de l'occidentale décadence.
Dédé: Ca y est, vous avez raccroché les wagons ? J'suis pas certain vu qu'vous avez le cerveau mité par les discours de gauche. Moi j'm'en tape, j'suis d'droite. Mais à vous ça va vous faire mal après qu'la gauche bien-pensante vous aura remis dans les bras de Karl et qu'vous vous réveillerez un jour au milieu de milliardaires mafieux sans un sous pour votre retraite bande de nazes. Surtout qu'pour vous endormir y aura même pas Lénine pour vous bercer d'illusions, ce s'ra que Mélanchon, Besancenot, Ségolène et les sept nains du syndicalisme béat (dont j'vous rappelle qu'ils représentent moins de 10% des "travailleurs" comme ils disent en oubliant que les paysans, les commerçants, les artisans, les putes, les voleurs à la tire, les libéraux et plein d'autres travaillent aussi et font pas chier l'monde). Vous risquez d'être déçus.
Dédé: Un conseil, mettez-vous fissa à la lecture, et pas des niaiseries style Harry Potter, non, des trucs chiant qui endorment. J'vous l'dis, tel que c'est parti pour vous c'est capital.
Dédé: J'vous aurais prév'nus, vous allez pas vers des lendemains qui chantent, et c'est pas du cinéma la violence de la lutte des classes. Papy et moi on est équipés, on a chacun notre barre à mine. Ca va être Mad Marx !
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
_________________
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
Re: Mad Marx. (Chronicle)
Oh putain, ça y est.
Oui, ce soir enfin il a été question des comptes de Médiapart et d'un autre "compteur" aux infos.
Et vous savez quoi ?
Non, vous ne savez pas. Alors je vais vous le dire.
Les syndicats bottent en touche.
Etonnant non ! Comme aurait dit Desproges.
Nilo, ON SE MARRE.
Oui, ce soir enfin il a été question des comptes de Médiapart et d'un autre "compteur" aux infos.
Et vous savez quoi ?
Non, vous ne savez pas. Alors je vais vous le dire.
Les syndicats bottent en touche.
Etonnant non ! Comme aurait dit Desproges.
Nilo, ON SE MARRE.
Dernière édition par Nilo le Ven 15 Oct - 20:24, édité 1 fois
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Mad Marx. (Chronicle)
C'est pour ça que j'ai un jardin aussi grand et que je cultive mes patates.
Sylvie
Sylvie
Re: Mad Marx. (Chronicle)
Putain, c'qu'est bien avec celle-là c'est que j'vais pouvoir m'en servir souvent.
Ce s'ra un peu comme un marronnier sur le bord du Macadam.
D'ailleurs demain j'vous en remettrai une giclée, elle s'ra encore comme neuve bien que faite avec du vieux.
Dédé.
Ce s'ra un peu comme un marronnier sur le bord du Macadam.
D'ailleurs demain j'vous en remettrai une giclée, elle s'ra encore comme neuve bien que faite avec du vieux.
Dédé.
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Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
Re: Mad Marx. (Chronicle)
Tout à fait Dédé !
3.500.000 le compteur syndical est bloqué.
Nilo, compte à dormir debout.
3.500.000 le compteur syndical est bloqué.
Nilo, compte à dormir debout.
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... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
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